Lycée de Fontaines
Grand rassemblement à Fontaines
140 jeunes apprenants de Terminale bac pro CGEA (conduite et gestion de
l’exploitation agricole) de Fontaines, Mazille, Davayé, Gueugnon et Anzy
ont participé à leur dernière journée professionnelle le jeudi 30 mars
au lycée de Fontaines.
l’exploitation agricole) de Fontaines, Mazille, Davayé, Gueugnon et Anzy
ont participé à leur dernière journée professionnelle le jeudi 30 mars
au lycée de Fontaines.
Comme chaque année, les JA de Saône-et-Loire proposent une semaine de formation organisée en journées professionnelles afin de traiter les principales problématiques liées à l’installation des jeunes en agriculture.
Cinq établissements de Saône-et-Loire ont encadré leurs apprenants lors de la journée de clôture de la session ouverte depuis octobre-novembre 2015. Une trentaine de professionnels, conseillers à l’installation, techniciens, formateurs-enseignants et animateurs ont apporté leurs connaissances aux jeunes afin d’accompagner la réflexion des apprenants.
Les spécialistes ont donc choisi de faire travailler les jeunes sur leur avenir.
A partir de témoignages, l’idée était de se projeter dans l’avenir et de répondre à la question : « A quoi ressemblera votre vie dans cinq ans ? ».
La thématique centrale invitait donc tous les jeunes du département à méditer sur ce futur proche.
Cette session de formation destinée aux élèves et apprentis a permis une approche concrète du projet d’installation encadrée par des spécialistes de la question.
Un programme « professionnalisant »
Ce sont six « journées découvertes » qui ont jalonné l’année scolaire ; les deux premières abordaient l’installation du jeune en agriculture. Une autre séquence a été dédiée à une formation sur la coopération et les Cuma. Un autre temps d’étude qui a eu lieu à Mâcon a été consacré à la connaissance des OPA (organisations professionnelles agricoles) où les apprenants ont découvert les missions de la DDT (Direction départementale des territoires) et des OPA de Saône-et-Loire donc. Un autre moment fort a porté sur des points administratifs et juridiques : les sociétés (Gaec et sociétés), les statuts en agriculture et le marché de l’emploi.
Enfin la dernière séance proposée s’articulait donc autour de l’avenir du jeune dans ce secteur.
Des partenaires impliqués
La formation des jeunes s’est voulue toujours concrète, autrement dit « de terrain ». Les intervenants qui se sont succédé ont apporté une connaissance professionnelle et une analyse précise afin de traiter les principales problématiques liées à l’installation des jeunes en agriculture ou au salariat dans ce même domaine.
Les Jeunes agriculteurs de Saône-et-Loire, organisateurs de ces six journées professionnelles, sont parvenus à mobiliser de nombreux partenaires comme la MSA de Bourgogne, la DDT, Groupama, la chambre d’agriculture, la Fédération des coopératives ou la FD Cuma, lAS 71 (cabinet comptable associatif) et la FDSEA.
Dans l’ensemble, les jeunes ont plutôt accroché à la thématique. Tous les accompagnateurs s’accordent à dire que durant le temps fort en grand groupe, la salle est restée très attentive tout au long des témoignages : « on sent que ça cogite ! » d’après les intervenants. Objectif atteint pour les jeunes agriculteurs qui souhaitent amorcer des réflexions, des questionnements…
Pour la plupart des jeunes, ils ont bien compris l’idée qu’on construit un projet de vie, tout au long de sa vie, puisqu’on vient intégrer un projet professionnel à ce projet de vie, et non pas l’inverse.
Cinq établissements de Saône-et-Loire ont encadré leurs apprenants lors de la journée de clôture de la session ouverte depuis octobre-novembre 2015. Une trentaine de professionnels, conseillers à l’installation, techniciens, formateurs-enseignants et animateurs ont apporté leurs connaissances aux jeunes afin d’accompagner la réflexion des apprenants.
Les spécialistes ont donc choisi de faire travailler les jeunes sur leur avenir.
A partir de témoignages, l’idée était de se projeter dans l’avenir et de répondre à la question : « A quoi ressemblera votre vie dans cinq ans ? ».
La thématique centrale invitait donc tous les jeunes du département à méditer sur ce futur proche.
Cette session de formation destinée aux élèves et apprentis a permis une approche concrète du projet d’installation encadrée par des spécialistes de la question.
Un programme « professionnalisant »
Ce sont six « journées découvertes » qui ont jalonné l’année scolaire ; les deux premières abordaient l’installation du jeune en agriculture. Une autre séquence a été dédiée à une formation sur la coopération et les Cuma. Un autre temps d’étude qui a eu lieu à Mâcon a été consacré à la connaissance des OPA (organisations professionnelles agricoles) où les apprenants ont découvert les missions de la DDT (Direction départementale des territoires) et des OPA de Saône-et-Loire donc. Un autre moment fort a porté sur des points administratifs et juridiques : les sociétés (Gaec et sociétés), les statuts en agriculture et le marché de l’emploi.
Enfin la dernière séance proposée s’articulait donc autour de l’avenir du jeune dans ce secteur.
Des partenaires impliqués
La formation des jeunes s’est voulue toujours concrète, autrement dit « de terrain ». Les intervenants qui se sont succédé ont apporté une connaissance professionnelle et une analyse précise afin de traiter les principales problématiques liées à l’installation des jeunes en agriculture ou au salariat dans ce même domaine.
Les Jeunes agriculteurs de Saône-et-Loire, organisateurs de ces six journées professionnelles, sont parvenus à mobiliser de nombreux partenaires comme la MSA de Bourgogne, la DDT, Groupama, la chambre d’agriculture, la Fédération des coopératives ou la FD Cuma, lAS 71 (cabinet comptable associatif) et la FDSEA.
Dans l’ensemble, les jeunes ont plutôt accroché à la thématique. Tous les accompagnateurs s’accordent à dire que durant le temps fort en grand groupe, la salle est restée très attentive tout au long des témoignages : « on sent que ça cogite ! » d’après les intervenants. Objectif atteint pour les jeunes agriculteurs qui souhaitent amorcer des réflexions, des questionnements…
Pour la plupart des jeunes, ils ont bien compris l’idée qu’on construit un projet de vie, tout au long de sa vie, puisqu’on vient intégrer un projet professionnel à ce projet de vie, et non pas l’inverse.