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Groupama en Saône-et-Loire

Groupama Saône-et-Loire a tenu son premier congrès autour de la question de la dynamisation des territoires

La Fédération des caisses locales de Saône-et-Loire de Groupama Rhône-Alpes Auvergne tenait son premier congrès départemental la semaine dernière. Un premier congrès pour une dynamique refondée.

Groupama Saône-et-Loire a tenu son premier congrès autour de la question de la dynamisation des territoires

Le 30 mai à Charnay-lès-Mâcon, la salle de la Vercère était bien remplie pour ce qui était le tout premier congrès départemental de Groupama en Saône-et-Loire.  Pour l’occasion, les quarante-six caisses que compte le département étaient représentées par leurs élus, ainsi que les salariés de la caisse régionale basés en Saône-et-Loire. Les partenaires de l’assureur vert étaient aussi présents pour ce qui était une déclinaison départementale du congrès de la caisse régionale à Cournon-d’Auvergne l’an dernier. Avec plus de 6.500 participants, les esprits de tous en avaient été marqués et ce premier congrès départemental se voulait de la même veine.

Une succession de temps forts

Ce rendez-vous était, non pas un temps fort, mais une succession de temps forts, dont le premier était l’assemblée générale de la Fédération des caisses locales de Groupama Rhône-Alpes Auvergne en Saône-et-Loire. L’occasion pour le trésorier, Robert Bachelet, de faire « sa dernière » présentation des comptes, lui qui se reconnaît comme un militant du mutualisme et de Groupama en particulier. L’occasion aussi de procéder au renouvellement des administrateurs, « pour plus de diversité et une meilleure parité ». Ont ainsi été élus ou réélus Dominique Fayard, Jean-François Paccaut, Jean-Marc Bernigaud, Frédéric Bernard, Pierre-Emmanuel Guilloux, Henri Jomain et Damien Jeunon.

Cette assemblée était aussi l’occasion pour Luc Chevalier, président, de rappeler la volonté de Groupama de « poursuivre la synergie en 2018 ». Aux côtés de Sylvain Arrédi, responsable institutionnel départemental, et de Franck Gacon, responsable commercial pour la Saône-et-Loire, tous deux en partance pour de nouveaux horizons, il citait « l’envie et le pouvoir de renouveler notre conseil d’administration » comme fait marquant de l’année écoulée 2017. Et cela alors que le réseau dispose de 821 élus dans les caisses locales. Il est clair que Groupama a su mobiliser ses élus, mais aussi ses salariés ; ils sont près de deux cents dans le département. La caisse régionale s’appuie en cela sur sa volonté d’ancrage territorial et de proximité renforcée. Tout au long de la mâtinée, les exemples illustreront cet axe, lequel constitue le fondement même de la politique de l’équipe composée de Jean-Louis Pivard à la présidence et de Francis Thomine à la direction générale.

L’ADN mutualiste

Autre temps forts, l’intervention de ces derniers. D’abord celle de Francis Thomine qui rappelait l’ADN mutualiste de l’entreprise, dont « les valeurs ont été remises au goût du jour et sont portées par Groupama ». Ces valeurs, le directeur général les rappelait :

-       la solidarité, qui est « sur le devant de la scène dans un environnement social et économique général difficile » ;

-       la proximité qui « ne passe pas seulement par le digital, mais aussi par la présence humaine » ;

-       la responsabilité. « La morale est quelque chose d’important, parce qu’il n’y a pas que l’argent, il y a aussi le bonheur ».

Ces valeurs distinguent l’entreprise Groupama, d’une structure inféodée au capitalisme sauvage. Pour autant, Francis Thomine ne sombre pas dans un idéalisme béat : « le profit, il faut en faire, mais la question qui se pose est "qu’en fait-on ?" ». L’assureur vert, avec un milliard d’€ de chiffre d’affaires, réinjecte près de 800 millions dans l’économie des territoires. « Nous avons une vocation sociale. Nous créons des emplois, nous rouvrons des agences dans le monde rural… », rappelait Francis Thomine pour qui « Groupama est un acteur local, engagé, et cela se traduit aussi au travers des multiples partenariats de la caisse régional, mais aussi des caisses locales ». On pense aux partenariats sportifs, économiques, culturels… lesquels constituent « un des axes majeurs » de développement.

Un défi

« En 2017, avec 300 millions d’€, nous avons connu un résultat qui est le fruit du développement par le réseau », félicitait Jean-Louis Pivard. Un développement au sujet duquel les certificats mutualistes ont apporté leur contribution. Avec 150 des 400 millions d’€ collectés au national, la caisse régional fait non seulement figure de pionnière, mais aussi de poids lourd.

Reste qu’à mi-2018, « il ne faut pas relâcher la pression », mentionnait Francis Thomine. Partout, la dynamique est bonne, sauf en ce qui concerne les particuliers et les retraités. « Nous avons fait un choix à contre-courant de renforcer notre proximité sur les territoires. C’est un choix exigeant car il impose la performance ». Et d’inviter les équipes d’élus comme de salariés à « prouver que notre choix est pertinent et qu’il est le bon ».

« Nous sommes allés à contre-courant des autres », poursuivait Jean-Louis Pivard, « parce que nous avons la conviction qu’en matière d’assurance, les gens ont besoin d’un visage humain, d’un interlocuteur de confiance ». A ce titre et Groupama Rhône-Alpes Auvergne le revendique, « nous portons un message de différence dans un monde qui a enterré nos territoires ruraux » parce que, comme le mettait en exergue Francis Thomine, « il faut certes vivres avec son temps, mais il faut aussi vivre avec ses valeurs ».

Groupama Saône-et-Loire a tenu son premier congrès autour de la question de la dynamisation des territoires

Groupama Saône-et-Loire a tenu son premier congrès autour de la question de la dynamisation des territoires

Le 30 mai à Charnay-lès-Mâcon, la salle de la Vercère était bien remplie pour ce qui était le tout premier congrès départemental de Groupama en Saône-et-Loire.  Pour l’occasion, les quarante-six caisses que compte le département étaient représentées par leurs élus, ainsi que les salariés de la caisse régionale basés en Saône-et-Loire. Les partenaires de l’assureur vert étaient aussi présents pour ce qui était une déclinaison départementale du congrès de la caisse régionale à Cournon-d’Auvergne l’an dernier. Avec plus de 6.500 participants, les esprits de tous en avaient été marqués et ce premier congrès départemental se voulait de la même veine.

Une succession de temps forts

Ce rendez-vous était, non pas un temps fort, mais une succession de temps forts, dont le premier était l’assemblée générale de la Fédération des caisses locales de Groupama Rhône-Alpes Auvergne en Saône-et-Loire. L’occasion pour le trésorier, Robert Bachelet, de faire « sa dernière » présentation des comptes, lui qui se reconnaît comme un militant du mutualisme et de Groupama en particulier. L’occasion aussi de procéder au renouvellement des administrateurs, « pour plus de diversité et une meilleure parité ». Ont ainsi été élus ou réélus Dominique Fayard, Jean-François Paccaut, Jean-Marc Bernigaud, Frédéric Bernard, Pierre-Emmanuel Guilloux, Henri Jomain et Damien Jeunon.

Cette assemblée était aussi l’occasion pour Luc Chevalier, président, de rappeler la volonté de Groupama de « poursuivre la synergie en 2018 ». Aux côtés de Sylvain Arrédi, responsable institutionnel départemental, et de Franck Gacon, responsable commercial pour la Saône-et-Loire, tous deux en partance pour de nouveaux horizons, il citait « l’envie et le pouvoir de renouveler notre conseil d’administration » comme fait marquant de l’année écoulée 2017. Et cela alors que le réseau dispose de 821 élus dans les caisses locales. Il est clair que Groupama a su mobiliser ses élus, mais aussi ses salariés ; ils sont près de deux cents dans le département. La caisse régionale s’appuie en cela sur sa volonté d’ancrage territorial et de proximité renforcée. Tout au long de la mâtinée, les exemples illustreront cet axe, lequel constitue le fondement même de la politique de l’équipe composée de Jean-Louis Pivard à la présidence et de Francis Thomine à la direction générale.

L’ADN mutualiste

Autre temps forts, l’intervention de ces derniers. D’abord celle de Francis Thomine qui rappelait l’ADN mutualiste de l’entreprise, dont « les valeurs ont été remises au goût du jour et sont portées par Groupama ». Ces valeurs, le directeur général les rappelait :

-       la solidarité, qui est « sur le devant de la scène dans un environnement social et économique général difficile » ;

-       la proximité qui « ne passe pas seulement par le digital, mais aussi par la présence humaine » ;

-       la responsabilité. « La morale est quelque chose d’important, parce qu’il n’y a pas que l’argent, il y a aussi le bonheur ».

Ces valeurs distinguent l’entreprise Groupama, d’une structure inféodée au capitalisme sauvage. Pour autant, Francis Thomine ne sombre pas dans un idéalisme béat : « le profit, il faut en faire, mais la question qui se pose est "qu’en fait-on ?" ». L’assureur vert, avec un milliard d’€ de chiffre d’affaires, réinjecte près de 800 millions dans l’économie des territoires. « Nous avons une vocation sociale. Nous créons des emplois, nous rouvrons des agences dans le monde rural… », rappelait Francis Thomine pour qui « Groupama est un acteur local, engagé, et cela se traduit aussi au travers des multiples partenariats de la caisse régional, mais aussi des caisses locales ». On pense aux partenariats sportifs, économiques, culturels… lesquels constituent « un des axes majeurs » de développement.

Un défi

« En 2017, avec 300 millions d’€, nous avons connu un résultat qui est le fruit du développement par le réseau », félicitait Jean-Louis Pivard. Un développement au sujet duquel les certificats mutualistes ont apporté leur contribution. Avec 150 des 400 millions d’€ collectés au national, la caisse régional fait non seulement figure de pionnière, mais aussi de poids lourd.

Reste qu’à mi-2018, « il ne faut pas relâcher la pression », mentionnait Francis Thomine. Partout, la dynamique est bonne, sauf en ce qui concerne les particuliers et les retraités. « Nous avons fait un choix à contre-courant de renforcer notre proximité sur les territoires. C’est un choix exigeant car il impose la performance ». Et d’inviter les équipes d’élus comme de salariés à « prouver que notre choix est pertinent et qu’il est le bon ».

« Nous sommes allés à contre-courant des autres », poursuivait Jean-Louis Pivard, « parce que nous avons la conviction qu’en matière d’assurance, les gens ont besoin d’un visage humain, d’un interlocuteur de confiance ». A ce titre et Groupama Rhône-Alpes Auvergne le revendique, « nous portons un message de différence dans un monde qui a enterré nos territoires ruraux » parce que, comme le mettait en exergue Francis Thomine, « il faut certes vivres avec son temps, mais il faut aussi vivre avec ses valeurs ».

Groupama Saône-et-Loire a tenu son premier congrès autour de la question de la dynamisation des territoires

Groupama Saône-et-Loire a tenu son premier congrès autour de la question de la dynamisation des territoires

Le 30 mai à Charnay-lès-Mâcon, la salle de la Vercère était bien remplie pour ce qui était le tout premier congrès départemental de Groupama en Saône-et-Loire.  Pour l’occasion, les quarante-six caisses que compte le département étaient représentées par leurs élus, ainsi que les salariés de la caisse régionale basés en Saône-et-Loire. Les partenaires de l’assureur vert étaient aussi présents pour ce qui était une déclinaison départementale du congrès de la caisse régionale à Cournon-d’Auvergne l’an dernier. Avec plus de 6.500 participants, les esprits de tous en avaient été marqués et ce premier congrès départemental se voulait de la même veine.

Une succession de temps forts

Ce rendez-vous était, non pas un temps fort, mais une succession de temps forts, dont le premier était l’assemblée générale de la Fédération des caisses locales de Groupama Rhône-Alpes Auvergne en Saône-et-Loire. L’occasion pour le trésorier, Robert Bachelet, de faire « sa dernière » présentation des comptes, lui qui se reconnaît comme un militant du mutualisme et de Groupama en particulier. L’occasion aussi de procéder au renouvellement des administrateurs, « pour plus de diversité et une meilleure parité ». Ont ainsi été élus ou réélus Dominique Fayard, Jean-François Paccaut, Jean-Marc Bernigaud, Frédéric Bernard, Pierre-Emmanuel Guilloux, Henri Jomain et Damien Jeunon.

Cette assemblée était aussi l’occasion pour Luc Chevalier, président, de rappeler la volonté de Groupama de « poursuivre la synergie en 2018 ». Aux côtés de Sylvain Arrédi, responsable institutionnel départemental, et de Franck Gacon, responsable commercial pour la Saône-et-Loire, tous deux en partance pour de nouveaux horizons, il citait « l’envie et le pouvoir de renouveler notre conseil d’administration » comme fait marquant de l’année écoulée 2017. Et cela alors que le réseau dispose de 821 élus dans les caisses locales. Il est clair que Groupama a su mobiliser ses élus, mais aussi ses salariés ; ils sont près de deux cents dans le département. La caisse régionale s’appuie en cela sur sa volonté d’ancrage territorial et de proximité renforcée. Tout au long de la mâtinée, les exemples illustreront cet axe, lequel constitue le fondement même de la politique de l’équipe composée de Jean-Louis Pivard à la présidence et de Francis Thomine à la direction générale.

L’ADN mutualiste

Autre temps forts, l’intervention de ces derniers. D’abord celle de Francis Thomine qui rappelait l’ADN mutualiste de l’entreprise, dont « les valeurs ont été remises au goût du jour et sont portées par Groupama ». Ces valeurs, le directeur général les rappelait :

-       la solidarité, qui est « sur le devant de la scène dans un environnement social et économique général difficile » ;

-       la proximité qui « ne passe pas seulement par le digital, mais aussi par la présence humaine » ;

-       la responsabilité. « La morale est quelque chose d’important, parce qu’il n’y a pas que l’argent, il y a aussi le bonheur ».

Ces valeurs distinguent l’entreprise Groupama, d’une structure inféodée au capitalisme sauvage. Pour autant, Francis Thomine ne sombre pas dans un idéalisme béat : « le profit, il faut en faire, mais la question qui se pose est "qu’en fait-on ?" ». L’assureur vert, avec un milliard d’€ de chiffre d’affaires, réinjecte près de 800 millions dans l’économie des territoires. « Nous avons une vocation sociale. Nous créons des emplois, nous rouvrons des agences dans le monde rural… », rappelait Francis Thomine pour qui « Groupama est un acteur local, engagé, et cela se traduit aussi au travers des multiples partenariats de la caisse régional, mais aussi des caisses locales ». On pense aux partenariats sportifs, économiques, culturels… lesquels constituent « un des axes majeurs » de développement.

Un défi

« En 2017, avec 300 millions d’€, nous avons connu un résultat qui est le fruit du développement par le réseau », félicitait Jean-Louis Pivard. Un développement au sujet duquel les certificats mutualistes ont apporté leur contribution. Avec 150 des 400 millions d’€ collectés au national, la caisse régional fait non seulement figure de pionnière, mais aussi de poids lourd.

Reste qu’à mi-2018, « il ne faut pas relâcher la pression », mentionnait Francis Thomine. Partout, la dynamique est bonne, sauf en ce qui concerne les particuliers et les retraités. « Nous avons fait un choix à contre-courant de renforcer notre proximité sur les territoires. C’est un choix exigeant car il impose la performance ». Et d’inviter les équipes d’élus comme de salariés à « prouver que notre choix est pertinent et qu’il est le bon ».

« Nous sommes allés à contre-courant des autres », poursuivait Jean-Louis Pivard, « parce que nous avons la conviction qu’en matière d’assurance, les gens ont besoin d’un visage humain, d’un interlocuteur de confiance ». A ce titre et Groupama Rhône-Alpes Auvergne le revendique, « nous portons un message de différence dans un monde qui a enterré nos territoires ruraux » parce que, comme le mettait en exergue Francis Thomine, « il faut certes vivres avec son temps, mais il faut aussi vivre avec ses valeurs ».

Groupama Saône-et-Loire a tenu son premier congrès autour de la question de la dynamisation des territoires

Groupama Saône-et-Loire a tenu son premier congrès autour de la question de la dynamisation des territoires

Le 30 mai à Charnay-lès-Mâcon, la salle de la Vercère était bien remplie pour ce qui était le tout premier congrès départemental de Groupama en Saône-et-Loire.  Pour l’occasion, les quarante-six caisses que compte le département étaient représentées par leurs élus, ainsi que les salariés de la caisse régionale basés en Saône-et-Loire. Les partenaires de l’assureur vert étaient aussi présents pour ce qui était une déclinaison départementale du congrès de la caisse régionale à Cournon-d’Auvergne l’an dernier. Avec plus de 6.500 participants, les esprits de tous en avaient été marqués et ce premier congrès départemental se voulait de la même veine.

Une succession de temps forts

Ce rendez-vous était, non pas un temps fort, mais une succession de temps forts, dont le premier était l’assemblée générale de la Fédération des caisses locales de Groupama Rhône-Alpes Auvergne en Saône-et-Loire. L’occasion pour le trésorier, Robert Bachelet, de faire « sa dernière » présentation des comptes, lui qui se reconnaît comme un militant du mutualisme et de Groupama en particulier. L’occasion aussi de procéder au renouvellement des administrateurs, « pour plus de diversité et une meilleure parité ». Ont ainsi été élus ou réélus Dominique Fayard, Jean-François Paccaut, Jean-Marc Bernigaud, Frédéric Bernard, Pierre-Emmanuel Guilloux, Henri Jomain et Damien Jeunon.

Cette assemblée était aussi l’occasion pour Luc Chevalier, président, de rappeler la volonté de Groupama de « poursuivre la synergie en 2018 ». Aux côtés de Sylvain Arrédi, responsable institutionnel départemental, et de Franck Gacon, responsable commercial pour la Saône-et-Loire, tous deux en partance pour de nouveaux horizons, il citait « l’envie et le pouvoir de renouveler notre conseil d’administration » comme fait marquant de l’année écoulée 2017. Et cela alors que le réseau dispose de 821 élus dans les caisses locales. Il est clair que Groupama a su mobiliser ses élus, mais aussi ses salariés ; ils sont près de deux cents dans le département. La caisse régionale s’appuie en cela sur sa volonté d’ancrage territorial et de proximité renforcée. Tout au long de la mâtinée, les exemples illustreront cet axe, lequel constitue le fondement même de la politique de l’équipe composée de Jean-Louis Pivard à la présidence et de Francis Thomine à la direction générale.

L’ADN mutualiste

Autre temps forts, l’intervention de ces derniers. D’abord celle de Francis Thomine qui rappelait l’ADN mutualiste de l’entreprise, dont « les valeurs ont été remises au goût du jour et sont portées par Groupama ». Ces valeurs, le directeur général les rappelait :

-       la solidarité, qui est « sur le devant de la scène dans un environnement social et économique général difficile » ;

-       la proximité qui « ne passe pas seulement par le digital, mais aussi par la présence humaine » ;

-       la responsabilité. « La morale est quelque chose d’important, parce qu’il n’y a pas que l’argent, il y a aussi le bonheur ».

Ces valeurs distinguent l’entreprise Groupama, d’une structure inféodée au capitalisme sauvage. Pour autant, Francis Thomine ne sombre pas dans un idéalisme béat : « le profit, il faut en faire, mais la question qui se pose est "qu’en fait-on ?" ». L’assureur vert, avec un milliard d’€ de chiffre d’affaires, réinjecte près de 800 millions dans l’économie des territoires. « Nous avons une vocation sociale. Nous créons des emplois, nous rouvrons des agences dans le monde rural… », rappelait Francis Thomine pour qui « Groupama est un acteur local, engagé, et cela se traduit aussi au travers des multiples partenariats de la caisse régional, mais aussi des caisses locales ». On pense aux partenariats sportifs, économiques, culturels… lesquels constituent « un des axes majeurs » de développement.

Un défi

« En 2017, avec 300 millions d’€, nous avons connu un résultat qui est le fruit du développement par le réseau », félicitait Jean-Louis Pivard. Un développement au sujet duquel les certificats mutualistes ont apporté leur contribution. Avec 150 des 400 millions d’€ collectés au national, la caisse régional fait non seulement figure de pionnière, mais aussi de poids lourd.

Reste qu’à mi-2018, « il ne faut pas relâcher la pression », mentionnait Francis Thomine. Partout, la dynamique est bonne, sauf en ce qui concerne les particuliers et les retraités. « Nous avons fait un choix à contre-courant de renforcer notre proximité sur les territoires. C’est un choix exigeant car il impose la performance ». Et d’inviter les équipes d’élus comme de salariés à « prouver que notre choix est pertinent et qu’il est le bon ».

« Nous sommes allés à contre-courant des autres », poursuivait Jean-Louis Pivard, « parce que nous avons la conviction qu’en matière d’assurance, les gens ont besoin d’un visage humain, d’un interlocuteur de confiance ». A ce titre et Groupama Rhône-Alpes Auvergne le revendique, « nous portons un message de différence dans un monde qui a enterré nos territoires ruraux » parce que, comme le mettait en exergue Francis Thomine, « il faut certes vivres avec son temps, mais il faut aussi vivre avec ses valeurs ».

Groupama Saône-et-Loire a tenu son premier congrès autour de la question de la dynamisation des territoires

Groupama Saône-et-Loire a tenu son premier congrès autour de la question de la dynamisation des territoires

Le 30 mai à Charnay-lès-Mâcon, la salle de la Vercère était bien remplie pour ce qui était le tout premier congrès départemental de Groupama en Saône-et-Loire.  Pour l’occasion, les quarante-six caisses que compte le département étaient représentées par leurs élus, ainsi que les salariés de la caisse régionale basés en Saône-et-Loire. Les partenaires de l’assureur vert étaient aussi présents pour ce qui était une déclinaison départementale du congrès de la caisse régionale à Cournon-d’Auvergne l’an dernier. Avec plus de 6.500 participants, les esprits de tous en avaient été marqués et ce premier congrès départemental se voulait de la même veine.

Une succession de temps forts

Ce rendez-vous était, non pas un temps fort, mais une succession de temps forts, dont le premier était l’assemblée générale de la Fédération des caisses locales de Groupama Rhône-Alpes Auvergne en Saône-et-Loire. L’occasion pour le trésorier, Robert Bachelet, de faire « sa dernière » présentation des comptes, lui qui se reconnaît comme un militant du mutualisme et de Groupama en particulier. L’occasion aussi de procéder au renouvellement des administrateurs, « pour plus de diversité et une meilleure parité ». Ont ainsi été élus ou réélus Dominique Fayard, Jean-François Paccaut, Jean-Marc Bernigaud, Frédéric Bernard, Pierre-Emmanuel Guilloux, Henri Jomain et Damien Jeunon.

Cette assemblée était aussi l’occasion pour Luc Chevalier, président, de rappeler la volonté de Groupama de « poursuivre la synergie en 2018 ». Aux côtés de Sylvain Arrédi, responsable institutionnel départemental, et de Franck Gacon, responsable commercial pour la Saône-et-Loire, tous deux en partance pour de nouveaux horizons, il citait « l’envie et le pouvoir de renouveler notre conseil d’administration » comme fait marquant de l’année écoulée 2017. Et cela alors que le réseau dispose de 821 élus dans les caisses locales. Il est clair que Groupama a su mobiliser ses élus, mais aussi ses salariés ; ils sont près de deux cents dans le département. La caisse régionale s’appuie en cela sur sa volonté d’ancrage territorial et de proximité renforcée. Tout au long de la mâtinée, les exemples illustreront cet axe, lequel constitue le fondement même de la politique de l’équipe composée de Jean-Louis Pivard à la présidence et de Francis Thomine à la direction générale.

L’ADN mutualiste

Autre temps forts, l’intervention de ces derniers. D’abord celle de Francis Thomine qui rappelait l’ADN mutualiste de l’entreprise, dont « les valeurs ont été remises au goût du jour et sont portées par Groupama ». Ces valeurs, le directeur général les rappelait :

-       la solidarité, qui est « sur le devant de la scène dans un environnement social et économique général difficile » ;

-       la proximité qui « ne passe pas seulement par le digital, mais aussi par la présence humaine » ;

-       la responsabilité. « La morale est quelque chose d’important, parce qu’il n’y a pas que l’argent, il y a aussi le bonheur ».

Ces valeurs distinguent l’entreprise Groupama, d’une structure inféodée au capitalisme sauvage. Pour autant, Francis Thomine ne sombre pas dans un idéalisme béat : « le profit, il faut en faire, mais la question qui se pose est "qu’en fait-on ?" ». L’assureur vert, avec un milliard d’€ de chiffre d’affaires, réinjecte près de 800 millions dans l’économie des territoires. « Nous avons une vocation sociale. Nous créons des emplois, nous rouvrons des agences dans le monde rural… », rappelait Francis Thomine pour qui « Groupama est un acteur local, engagé, et cela se traduit aussi au travers des multiples partenariats de la caisse régional, mais aussi des caisses locales ». On pense aux partenariats sportifs, économiques, culturels… lesquels constituent « un des axes majeurs » de développement.

Un défi

« En 2017, avec 300 millions d’€, nous avons connu un résultat qui est le fruit du développement par le réseau », félicitait Jean-Louis Pivard. Un développement au sujet duquel les certificats mutualistes ont apporté leur contribution. Avec 150 des 400 millions d’€ collectés au national, la caisse régional fait non seulement figure de pionnière, mais aussi de poids lourd.

Reste qu’à mi-2018, « il ne faut pas relâcher la pression », mentionnait Francis Thomine. Partout, la dynamique est bonne, sauf en ce qui concerne les particuliers et les retraités. « Nous avons fait un choix à contre-courant de renforcer notre proximité sur les territoires. C’est un choix exigeant car il impose la performance ». Et d’inviter les équipes d’élus comme de salariés à « prouver que notre choix est pertinent et qu’il est le bon ».

« Nous sommes allés à contre-courant des autres », poursuivait Jean-Louis Pivard, « parce que nous avons la conviction qu’en matière d’assurance, les gens ont besoin d’un visage humain, d’un interlocuteur de confiance ». A ce titre et Groupama Rhône-Alpes Auvergne le revendique, « nous portons un message de différence dans un monde qui a enterré nos territoires ruraux » parce que, comme le mettait en exergue Francis Thomine, « il faut certes vivres avec son temps, mais il faut aussi vivre avec ses valeurs ».

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