L'abbé Devillard fait une proposition pour sortir l'élevage de la crise dans laquelle il est plongé
Pourquoi toujours opposer ? Pourquoi ne pas réfléchir au contraire à rapprocher les problématiques des uns et des autres pour que s’en dégagent des solutions innovantes ? C’est en tous cas ce que l’abbé Jean-Noël Devillard a voulu tenter dans son courrier commun à Nicolas Hulot et à Stéphane Travert. Détails.

Aujourd’hui à la retraite mais toujours très actif dans sa paroisse de Montceau-lès-Mines, le père Jean-Noël Devillard n’a rien perdu du bon sens paysan de ses ancêtres, lui dont nombre de membres de la famille ont exercé ou exercent encore en élevage dans la région charollaise, en particulier dans le berceau familial de Champlecy.
C’est peu dire que le prêtre est marqué par la crise qui secoue le monde de l’élevage allaitant depuis maintenant fort longtemps, trop, beaucoup trop longtemps si l’on s’en réfère à la profonde lassitude qui a gagné les campagnes, en particulier le monde de l’élevage.
Oser…
Parce que son souci a toujours été d’aller de l’avant, de rechercher des solutions quand cela est possible, le père Devillard a tenu à adresser un courrier commun aux deux ministres que sont Nicolas Hulot, ministre de la Transition écologique et solidaire, et Stéphane Travert, ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation.
Oh une lettre simple et pleine de bon sens, une lettre qui se veut résolument constructive et même prospective. Une lettre qui, alors que Stéphane Travert semblerait envisager répondre à l’invitation lancée par la profession en se rendant en Saône-et-Loire dans les semaines à venir, arrive à bon escient. Les éleveurs n’ont pas envie de vivre de la mendicité des autres, mais bien de la vente de leurs produits. De rétablir leur dignité. Et en cela le courrier de l’abbé Jean-Noël Devillard mérite d’être lu avec une grande attention. Et surtout de trouver tout l’écho qu’il mérite.
N. D.
L'abbé Devillard fait une proposition pour sortir l'élevage de la crise dans laquelle il est plongé

Aujourd’hui à la retraite mais toujours très actif dans sa paroisse de Montceau-lès-Mines, le père Jean-Noël Devillard n’a rien perdu du bon sens paysan de ses ancêtres, lui dont nombre de membres de la famille ont exercé ou exercent encore en élevage dans la région charollaise, en particulier dans le berceau familial de Champlecy.
C’est peu dire que le prêtre est marqué par la crise qui secoue le monde de l’élevage allaitant depuis maintenant fort longtemps, trop, beaucoup trop longtemps si l’on s’en réfère à la profonde lassitude qui a gagné les campagnes, en particulier le monde de l’élevage.
Oser…
Parce que son souci a toujours été d’aller de l’avant, de rechercher des solutions quand cela est possible, le père Devillard a tenu à adresser un courrier commun aux deux ministres que sont Nicolas Hulot, ministre de la Transition écologique et solidaire, et Stéphane Travert, ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation.
Oh une lettre simple et pleine de bon sens, une lettre qui se veut résolument constructive et même prospective. Une lettre qui, alors que Stéphane Travert semblerait envisager répondre à l’invitation lancée par la profession en se rendant en Saône-et-Loire dans les semaines à venir, arrive à bon escient. Les éleveurs n’ont pas envie de vivre de la mendicité des autres, mais bien de la vente de leurs produits. De rétablir leur dignité. Et en cela le courrier de l’abbé Jean-Noël Devillard mérite d’être lu avec une grande attention. Et surtout de trouver tout l’écho qu’il mérite.
N. D.
L'abbé Devillard fait une proposition pour sortir l'élevage de la crise dans laquelle il est plongé

Aujourd’hui à la retraite mais toujours très actif dans sa paroisse de Montceau-lès-Mines, le père Jean-Noël Devillard n’a rien perdu du bon sens paysan de ses ancêtres, lui dont nombre de membres de la famille ont exercé ou exercent encore en élevage dans la région charollaise, en particulier dans le berceau familial de Champlecy.
C’est peu dire que le prêtre est marqué par la crise qui secoue le monde de l’élevage allaitant depuis maintenant fort longtemps, trop, beaucoup trop longtemps si l’on s’en réfère à la profonde lassitude qui a gagné les campagnes, en particulier le monde de l’élevage.
Oser…
Parce que son souci a toujours été d’aller de l’avant, de rechercher des solutions quand cela est possible, le père Devillard a tenu à adresser un courrier commun aux deux ministres que sont Nicolas Hulot, ministre de la Transition écologique et solidaire, et Stéphane Travert, ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation.
Oh une lettre simple et pleine de bon sens, une lettre qui se veut résolument constructive et même prospective. Une lettre qui, alors que Stéphane Travert semblerait envisager répondre à l’invitation lancée par la profession en se rendant en Saône-et-Loire dans les semaines à venir, arrive à bon escient. Les éleveurs n’ont pas envie de vivre de la mendicité des autres, mais bien de la vente de leurs produits. De rétablir leur dignité. Et en cela le courrier de l’abbé Jean-Noël Devillard mérite d’être lu avec une grande attention. Et surtout de trouver tout l’écho qu’il mérite.
N. D.