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Retraités agricoles

L'actualité des retraités agricoles est chargée à quelques jours de leur AG départementale, le 6 avril à La Guiche

La proposition de loi pour la revalorisation des retraites agricoles a été bloquée le 7 mars au Sénat, car le Gouvernement préfère désormais attendre la prochaine réforme des retraites pour étudier ce point. La profession sera particulièrement attentive aux suites données à ce dossier… Nul dout qu'il en sera question le 6 avril prochain à La Guiche où se tiendra l'assemblée générale de leur section départementale.

L'actualité des retraités agricoles est chargée à quelques jours de leur AG départementale, le 6 avril à La Guiche

Le 7 mars, le Sénat a débuté l’examen de la proposition de loi visant à « assurer la revalorisation des pensions de retraites agricoles » et cela dans le cadre de l'ordre du jour réservé au groupe communiste républicain citoyen et écologiste (CRCE). Adoptée le 2 février 2017 à l’unanimité des députés par l’Assemblée nationale, cette proposition avait également été votée à l’unanimité des membres de la commission sénatoriale. Ce texte visait à porter de 75 à 85 % du Smic le montant des retraites des non-salariés agricoles ayant une carrière complète, régimes de base et complémentaire inclus.

En amont des débats au Sénat, le Gouvernement a cependant demandé un "vote bloqué" pour s’y opposer, en vertu duquel « si le Gouvernement le demande, l'Assemblée saisie se prononce par un seul vote sur tout ou partie du texte en discussion en ne retenant que les amendements proposés ou acceptés par le Gouvernement ». Cette procédure est très rarement utilisée pour une proposition de loi. C’est pourquoi, la décision gouvernementale a-t-elle été vivement critiquée par le groupe CRCE, qui a préféré retirer de l’ordre du jour cette proposition de loi, précisant tout aussitôt qu’il demanderait la suite de sa discussion lors de son prochain espace réservé, à savoir le 16 mai prochain.

Le Gouvernement prétexte préférer attendre la prochaine réforme des retraites… On verra de quoi il en retournera exactement. Reste que si le texte avait été adopté au Sénat le 7 mars, il aurait alors pu entrer en vigueur en 2018…

Reste que, comme le rappelle la FNSEA, cette proposition de loi était, en l’état, « une promesse en trompe-l’œil » puisqu’à à cette loi ne correspond aucun financement, ce que dénonce et déplore la profession. « Nous attendons des parlementaires et du Gouvernement de véritables mesures qui accordent aux retraités agricoles des minima de pensions équivalents à ceux des autres régimes », a rappelé avec force la FNSEA, espérant que ce report permettra « une vraie réflexion sur l’avenir des retraites agricoles ».

L'actualité des retraités agricoles est chargée à quelques jours de leur AG départementale, le 6 avril à La Guiche

L'actualité des retraités agricoles est chargée à quelques jours de leur AG départementale, le 6 avril à La Guiche

Le 7 mars, le Sénat a débuté l’examen de la proposition de loi visant à « assurer la revalorisation des pensions de retraites agricoles » et cela dans le cadre de l'ordre du jour réservé au groupe communiste républicain citoyen et écologiste (CRCE). Adoptée le 2 février 2017 à l’unanimité des députés par l’Assemblée nationale, cette proposition avait également été votée à l’unanimité des membres de la commission sénatoriale. Ce texte visait à porter de 75 à 85 % du Smic le montant des retraites des non-salariés agricoles ayant une carrière complète, régimes de base et complémentaire inclus.

En amont des débats au Sénat, le Gouvernement a cependant demandé un "vote bloqué" pour s’y opposer, en vertu duquel « si le Gouvernement le demande, l'Assemblée saisie se prononce par un seul vote sur tout ou partie du texte en discussion en ne retenant que les amendements proposés ou acceptés par le Gouvernement ». Cette procédure est très rarement utilisée pour une proposition de loi. C’est pourquoi, la décision gouvernementale a-t-elle été vivement critiquée par le groupe CRCE, qui a préféré retirer de l’ordre du jour cette proposition de loi, précisant tout aussitôt qu’il demanderait la suite de sa discussion lors de son prochain espace réservé, à savoir le 16 mai prochain.

Le Gouvernement prétexte préférer attendre la prochaine réforme des retraites… On verra de quoi il en retournera exactement. Reste que si le texte avait été adopté au Sénat le 7 mars, il aurait alors pu entrer en vigueur en 2018…

Reste que, comme le rappelle la FNSEA, cette proposition de loi était, en l’état, « une promesse en trompe-l’œil » puisqu’à à cette loi ne correspond aucun financement, ce que dénonce et déplore la profession. « Nous attendons des parlementaires et du Gouvernement de véritables mesures qui accordent aux retraités agricoles des minima de pensions équivalents à ceux des autres régimes », a rappelé avec force la FNSEA, espérant que ce report permettra « une vraie réflexion sur l’avenir des retraites agricoles ».

L'actualité des retraités agricoles est chargée à quelques jours de leur AG départementale, le 6 avril à La Guiche

L'actualité des retraités agricoles est chargée à quelques jours de leur AG départementale, le 6 avril à La Guiche

Le 7 mars, le Sénat a débuté l’examen de la proposition de loi visant à « assurer la revalorisation des pensions de retraites agricoles » et cela dans le cadre de l'ordre du jour réservé au groupe communiste républicain citoyen et écologiste (CRCE). Adoptée le 2 février 2017 à l’unanimité des députés par l’Assemblée nationale, cette proposition avait également été votée à l’unanimité des membres de la commission sénatoriale. Ce texte visait à porter de 75 à 85 % du Smic le montant des retraites des non-salariés agricoles ayant une carrière complète, régimes de base et complémentaire inclus.

En amont des débats au Sénat, le Gouvernement a cependant demandé un "vote bloqué" pour s’y opposer, en vertu duquel « si le Gouvernement le demande, l'Assemblée saisie se prononce par un seul vote sur tout ou partie du texte en discussion en ne retenant que les amendements proposés ou acceptés par le Gouvernement ». Cette procédure est très rarement utilisée pour une proposition de loi. C’est pourquoi, la décision gouvernementale a-t-elle été vivement critiquée par le groupe CRCE, qui a préféré retirer de l’ordre du jour cette proposition de loi, précisant tout aussitôt qu’il demanderait la suite de sa discussion lors de son prochain espace réservé, à savoir le 16 mai prochain.

Le Gouvernement prétexte préférer attendre la prochaine réforme des retraites… On verra de quoi il en retournera exactement. Reste que si le texte avait été adopté au Sénat le 7 mars, il aurait alors pu entrer en vigueur en 2018…

Reste que, comme le rappelle la FNSEA, cette proposition de loi était, en l’état, « une promesse en trompe-l’œil » puisqu’à à cette loi ne correspond aucun financement, ce que dénonce et déplore la profession. « Nous attendons des parlementaires et du Gouvernement de véritables mesures qui accordent aux retraités agricoles des minima de pensions équivalents à ceux des autres régimes », a rappelé avec force la FNSEA, espérant que ce report permettra « une vraie réflexion sur l’avenir des retraites agricoles ».

L'actualité des retraités agricoles est chargée à quelques jours de leur AG départementale, le 6 avril à La Guiche

L'actualité des retraités agricoles est chargée à quelques jours de leur AG départementale, le 6 avril à La Guiche

Le 7 mars, le Sénat a débuté l’examen de la proposition de loi visant à « assurer la revalorisation des pensions de retraites agricoles » et cela dans le cadre de l'ordre du jour réservé au groupe communiste républicain citoyen et écologiste (CRCE). Adoptée le 2 février 2017 à l’unanimité des députés par l’Assemblée nationale, cette proposition avait également été votée à l’unanimité des membres de la commission sénatoriale. Ce texte visait à porter de 75 à 85 % du Smic le montant des retraites des non-salariés agricoles ayant une carrière complète, régimes de base et complémentaire inclus.

En amont des débats au Sénat, le Gouvernement a cependant demandé un "vote bloqué" pour s’y opposer, en vertu duquel « si le Gouvernement le demande, l'Assemblée saisie se prononce par un seul vote sur tout ou partie du texte en discussion en ne retenant que les amendements proposés ou acceptés par le Gouvernement ». Cette procédure est très rarement utilisée pour une proposition de loi. C’est pourquoi, la décision gouvernementale a-t-elle été vivement critiquée par le groupe CRCE, qui a préféré retirer de l’ordre du jour cette proposition de loi, précisant tout aussitôt qu’il demanderait la suite de sa discussion lors de son prochain espace réservé, à savoir le 16 mai prochain.

Le Gouvernement prétexte préférer attendre la prochaine réforme des retraites… On verra de quoi il en retournera exactement. Reste que si le texte avait été adopté au Sénat le 7 mars, il aurait alors pu entrer en vigueur en 2018…

Reste que, comme le rappelle la FNSEA, cette proposition de loi était, en l’état, « une promesse en trompe-l’œil » puisqu’à à cette loi ne correspond aucun financement, ce que dénonce et déplore la profession. « Nous attendons des parlementaires et du Gouvernement de véritables mesures qui accordent aux retraités agricoles des minima de pensions équivalents à ceux des autres régimes », a rappelé avec force la FNSEA, espérant que ce report permettra « une vraie réflexion sur l’avenir des retraites agricoles ».