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Cabinets vétérinaires

L'environnement économique de l'élevage souffre aussi de la crise. En témoigne ce courrier adressé, en Dordogne, par un vétérinaire à sa clientèle

La crise de l’élevage, on le sait, ne touche pas que le seul monde de l’élevage. En amont, en aval, on serre aussi les vis comme en témoigne le courrier adressé par un cabinet vétérinaire de la Dordogne à ses clients éleveurs. Cela n’est pas encore le cas chez nous, mais…

L'environnement économique de l'élevage souffre aussi de la crise. En témoigne ce courrier adressé, en Dordogne, par un vétérinaire à sa clientèle

Par discrétion, on ne fera pas figurer ici le nom du cabinet, ni celui de la commune concernée. Tout simplement parce qu’il y ait question de la crise de l’élevage qui, quoi qu’on en pense, atteint aussi nombre de partenaires des éleveurs, en amont, en aval… Nul ne peut en effet plus se dire à l’abri de cette crise qui conduit, bon an, mal an, à la disparition de quelques 2.100 éleveurs allaitants chaque année en France.

Cette crise, c’est aussi la crise de pans entiers de notre ruralité, de nos territoires ruraux, de leur économie parfois fragile…

Alors, ce courrier, il prend un sens tout particulier. C’est pourquoi nous avons tenu à vous le reproduire dans son intégralité, seuls les intertitres sont de notre fait. Parce que qui sait, demain, certains cabinets vétérinaires de Saône-et-Loire adresseront le même genre de missives à leur clientèle agricole…

On n’en est pas encore là, mais au rythme où vont les choses, mieux vaut être prudent.

N. D.

 

L'environnement économique de l'élevage souffre aussi de la crise. En témoigne ce courrier adressé, en Dordogne, par un vétérinaire à sa clientèle

L'environnement économique de l'élevage souffre aussi de la crise. En témoigne ce courrier adressé, en Dordogne, par un vétérinaire à sa clientèle

Par discrétion, on ne fera pas figurer ici le nom du cabinet, ni celui de la commune concernée. Tout simplement parce qu’il y ait question de la crise de l’élevage qui, quoi qu’on en pense, atteint aussi nombre de partenaires des éleveurs, en amont, en aval… Nul ne peut en effet plus se dire à l’abri de cette crise qui conduit, bon an, mal an, à la disparition de quelques 2.100 éleveurs allaitants chaque année en France.

Cette crise, c’est aussi la crise de pans entiers de notre ruralité, de nos territoires ruraux, de leur économie parfois fragile…

Alors, ce courrier, il prend un sens tout particulier. C’est pourquoi nous avons tenu à vous le reproduire dans son intégralité, seuls les intertitres sont de notre fait. Parce que qui sait, demain, certains cabinets vétérinaires de Saône-et-Loire adresseront le même genre de missives à leur clientèle agricole…

On n’en est pas encore là, mais au rythme où vont les choses, mieux vaut être prudent.

N. D.