Agriculture de Saône-et-Loire
L’état d’urgence
Dans la foulée du bureau de la FDSEA, le Conseil de l’Agriculture de
Saône-et-Loire se réunissait à Buxy autour d’un constat partagé sur la
gravité de la situation et sur la nécessité d’œuvrer en commun pour
faire face à une situation inédite.
Saône-et-Loire se réunissait à Buxy autour d’un constat partagé sur la
gravité de la situation et sur la nécessité d’œuvrer en commun pour
faire face à une situation inédite.
En cette rentrée atypique et face à l’urgence de la situation, le Conseil de l’Agriculture de Saône-et-Loire était réuni ce 12 septembre à la cave coopérative de Buxy à l’initiative de la FDSEA.
L’ordre du jour était essentiellement consacré à la situation inédite dans laquelle notre agriculture départementale est plongée et il fut ainsi longuement question de la situation des exploitations, des perspective à court et moyen terme, de l’accompagnement des agriculteurs en difficultés, mais surtout des démarches à entreprendre en commun.
Le vaste tour de table a mis en évidence la nécessité de ces actions communes alors que près de 30 % des agriculteurs sont plongés dans des situations difficiles.
L’heure est à la mobilisation pour, tous ensemble, activer les leviers qui peuvent l’être à chaque niveau. A cette fin, un travail de recensement des différents dispositifs d’aides existants est en cours.
Reste que pour tous le retour à des prix rémunérateurs est la priorité, tout comme la capacité des filières à aller chercher un maximum de plus-value et à retourner celle-ci vers les producteurs. Sans pour autant négliger les dossiers de fond comme la révision des Zones défavorisées simples et la nécessaire reconnaissance des Zones intermédiaires.
L’ordre du jour était essentiellement consacré à la situation inédite dans laquelle notre agriculture départementale est plongée et il fut ainsi longuement question de la situation des exploitations, des perspective à court et moyen terme, de l’accompagnement des agriculteurs en difficultés, mais surtout des démarches à entreprendre en commun.
Le vaste tour de table a mis en évidence la nécessité de ces actions communes alors que près de 30 % des agriculteurs sont plongés dans des situations difficiles.
L’heure est à la mobilisation pour, tous ensemble, activer les leviers qui peuvent l’être à chaque niveau. A cette fin, un travail de recensement des différents dispositifs d’aides existants est en cours.
Reste que pour tous le retour à des prix rémunérateurs est la priorité, tout comme la capacité des filières à aller chercher un maximum de plus-value et à retourner celle-ci vers les producteurs. Sans pour autant négliger les dossiers de fond comme la révision des Zones défavorisées simples et la nécessaire reconnaissance des Zones intermédiaires.