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Monde à Ludo

La caille prend son envol

Après avoir découvert un peu par hasard la production, Ludovic Badet s’est totalement passionné et investit dans l’élevage de cailles. Faisant fi des obstacles rencontrés, il s’appuie sur la fidélité de ses clients pour poursuivre une aventure promise à un bel avenir.

La caille prend son envol

Absolument pas issu du monde agricole, Ludovic Badet a alterné les expériences professionnelles dans des univers très divers, allant des structures métalliques au magasin de bricolage en passant par l’entretien de la voirie. Mais, blessé à la main dans le cadre de son travail, ce natif de Sanvignes-les-Mines ne pouvait plus exercer n’importe quelle profession. Il décide alors de pleinement s’investir dans l’élevage de cailles. Car, quelques années auparavant, il découvre cette production en se rendant sur le marché de Louhans. Il prend quelques animaux et se lance doucement dans l’élevage en 2009. « Rapidement, de plus en plus de monde me demandait des oeufs de caille. » Mais pour passer d’un élevage à titre particulier à une activité qui deviendra son métier, Ludovic Badet a dû trouver des bâtiments susceptibles de l’accueillir. C’est finalement à Oudry qu’il s’installe, démarrant sa production au mois de mars 2015

Monde à Ludo

Soucieux de maximiser la qualité de ses produits, il porte un soin tout particulier à l’alimentation. Il choisit de se fournir auprès de producteurs locaux en blé et en orge tout en se procurant du maïs issu de Bresse. « Je donne également beaucoup de minéraux comme le trèfle et le pissenlit. Je fais en sorte que l’alimentation soit la plus naturelle possible. » Il décide également de maîtriser l’intégralité de sa petite filière, de la naissance à la vente en passant par l’élevage. Seule entorse à la règle (pour l’instant), l’abattage qui est effectué à Digoin. Alors qu’il produit actuellement 10.000 cailles, il souhaite rapidement doubler son volume. Pour se procurer ses œufs ainsi que ses cailles, vivantes ou abattues, ce jeune coturniculteur accueille sa clientèle sur son exploitation les lundi, mardi, mercredi, vendredi et samedi de 13h30 à 18h30 et le dimanche de 9h30 à 12h30. Il est, en outre, très présent sur les marchés. On peut l’apercevoir à Gueugnon le vendredi de 16h30 à 21h (20h l’hiver) et sur plusieurs marchés de Noël. En 2018, il passera à la vitesse supérieure en se rendant le lundi à Marcigny, le mercredi à Charolles et le vendredi à Paray-le-Monial

Attaque de renards

Mais Ludovic Badet a été grandement freiné dans son activité par une attaque de renards qui a décimé son élevage. « Les grillages ont été ravagés. Plus de 120 cailles ont été tuées, toutes les autres cailles sont parties dans la nature suite aux trous réalisés par les renards. » Se retrouvant sans animaux, il a fait appel à MiiMOSA pour redémarrer sa production. « La volière est vide donc je n’ai plus de reproducteurs, plus de pondeuses, plus de cailles pour la chair, plus de travail, plus de revenus, je ne peux plus répondre à la demande de mes clients. J’ai trouvé des fournisseurs qui me font des prix par rapport à mes soucis, mais malheureusement, je n’avais pas les moyens de financer tout cela. »  Un appel à la générosité qui a porté ses fruits puisque, grâce à cette collecte, il va pouvoir financer l’achat du matériel pour redémarrer son activité. Et faire le bonheur des papilles ses clients.

La caille prend son envol

La caille prend son envol

Absolument pas issu du monde agricole, Ludovic Badet a alterné les expériences professionnelles dans des univers très divers, allant des structures métalliques au magasin de bricolage en passant par l’entretien de la voirie. Mais, blessé à la main dans le cadre de son travail, ce natif de Sanvignes-les-Mines ne pouvait plus exercer n’importe quelle profession. Il décide alors de pleinement s’investir dans l’élevage de cailles. Car, quelques années auparavant, il découvre cette production en se rendant sur le marché de Louhans. Il prend quelques animaux et se lance doucement dans l’élevage en 2009. « Rapidement, de plus en plus de monde me demandait des oeufs de caille. » Mais pour passer d’un élevage à titre particulier à une activité qui deviendra son métier, Ludovic Badet a dû trouver des bâtiments susceptibles de l’accueillir. C’est finalement à Oudry qu’il s’installe, démarrant sa production au mois de mars 2015

Monde à Ludo

Soucieux de maximiser la qualité de ses produits, il porte un soin tout particulier à l’alimentation. Il choisit de se fournir auprès de producteurs locaux en blé et en orge tout en se procurant du maïs issu de Bresse. « Je donne également beaucoup de minéraux comme le trèfle et le pissenlit. Je fais en sorte que l’alimentation soit la plus naturelle possible. » Il décide également de maîtriser l’intégralité de sa petite filière, de la naissance à la vente en passant par l’élevage. Seule entorse à la règle (pour l’instant), l’abattage qui est effectué à Digoin. Alors qu’il produit actuellement 10.000 cailles, il souhaite rapidement doubler son volume. Pour se procurer ses œufs ainsi que ses cailles, vivantes ou abattues, ce jeune coturniculteur accueille sa clientèle sur son exploitation les lundi, mardi, mercredi, vendredi et samedi de 13h30 à 18h30 et le dimanche de 9h30 à 12h30. Il est, en outre, très présent sur les marchés. On peut l’apercevoir à Gueugnon le vendredi de 16h30 à 21h (20h l’hiver) et sur plusieurs marchés de Noël. En 2018, il passera à la vitesse supérieure en se rendant le lundi à Marcigny, le mercredi à Charolles et le vendredi à Paray-le-Monial

Attaque de renards

Mais Ludovic Badet a été grandement freiné dans son activité par une attaque de renards qui a décimé son élevage. « Les grillages ont été ravagés. Plus de 120 cailles ont été tuées, toutes les autres cailles sont parties dans la nature suite aux trous réalisés par les renards. » Se retrouvant sans animaux, il a fait appel à MiiMOSA pour redémarrer sa production. « La volière est vide donc je n’ai plus de reproducteurs, plus de pondeuses, plus de cailles pour la chair, plus de travail, plus de revenus, je ne peux plus répondre à la demande de mes clients. J’ai trouvé des fournisseurs qui me font des prix par rapport à mes soucis, mais malheureusement, je n’avais pas les moyens de financer tout cela. »  Un appel à la générosité qui a porté ses fruits puisque, grâce à cette collecte, il va pouvoir financer l’achat du matériel pour redémarrer son activité. Et faire le bonheur des papilles ses clients.

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