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Plassard à Varennes-sous-Dun

La laine chic et moderne avec Plassard

Installée depuis maintenant 140 ans sur un seul et même site à Varennes-sous-Dun, l’entreprise Plassard demeure l’un des porte-drapeaux hexagonaux de la laine. Avec le souci permanent de se réinventer en misant sur le haut de gamme.

La laine chic et moderne avec Plassard

Face à des géants du secteur de la laine comme, par exemple, l’emblématique Phildar, pas facile pour une petite entreprise située au cœur de la Saône et Loire d’exister. Pour cela, il faut se distinguer et affirmer sa différence. Aujourd’hui, la majeure partie de la matière première provient d’Amérique latine, d’Australie et de Nouvelle-Zélande. Un produit ensuite transformé que l’entreprise Plassard importe d’Italie. A partir d’immenses balles de laines en vrac, elle procède au pelotonnage, c’est à dire à la mise en pelote de la laine. « Notre plus-value est apportée par le bureau de style de la maison qui effectue le choix des laines, des compositions, des couleurs, des mélanges…. » précise Grégory Fournier, président de l’entreprise.

Recréer un bas de laine

Bien évidemment, l’entreprise entend se différencier en innovant. Ainsi, Plassard vient tout juste de créer des kits tricot (Tricokits) avec, à l’intérieur, de la laine, des aiguilles à tricoter et le modèle à réaliser. Autre innovation, les modèles tricotés « car nous avons constaté que, pour une personne, il existe deux freins : la technique, pas toujours bien maîtrisée, et le manque de temps. Nous proposons une large gamme tricotée avec nos propres laines. entre écharpes, ponchos, snood, bonnets… avec de belles matières. Par ailleurs, pour être en phase avec son temps, l’entreprise a fait un important effort au niveau technique. Ainsi, sur le site, il est possible de visualiser un seul et même modèle dans différents coloris. »

Le cœur de métier de l’entreprise demeure la vente de pelotes de laine grâce aux catalogues (neuf par an, soit environ 300 modèles à tricoter !) tout en proposant des aiguilles à tricoter en bambou issues du commerce équitable, des comptes mailles ou encore des livres. Sans oublier les Tricokits évoqués précédemment.

Chic et moderne

Alors qu’elle s’appuie sur vingt salariés, l’entreprise en compte seulement dix sur son site historique de Varennes-sous-Dun. L’une des particularités de la marque Plassard est de disposer, en son nom propre, de cinq magasins implantés non seulement à Varennes-sous-Dun mais aussi du côté de Lyon, Grenoble, Clermont-Ferrand et Vichy. Un effectif qui compte également cinq commerciaux, une directrice artistique et une communauty manager. « Nous avons la volonté d’internaliser un maximum de choses car cela ramène de la valeur ajoutée à l’entreprise. » Par ailleurs, Plassard joue la carte du positionnement haut de gamme, n’hésitant pas, parmi ses 70 qualités de laine allant du 100 % acrylique au cachemire, à miser de plus en plus sur les matières nobles et naturelles (cachemire, soie…). « Nous avons une image plutôt fantaisie auprès de nos clientes. » Cultivant ainsi une image chic et moderne, Plassard sort chaque année deux collections, à l’image de ce que l’on retrouve habituellement dans l’univers de la mode. « La saison forte, pour nous, s’étale de fin août à fin mars. »

Développer la vente dans l’hexagone

Alors que 70 % des ventes se réalisent chez des commerçants de centre-ville et au sein de grandes enseignes comme Cultura, la commercialisation dans ses magasins en nom propre et à l’export, notamment au Canada, au Japon et en Scandinavie, s’élève dans chaque cas à 15 %. « Nous souhaitons nous développer plutôt dans l’hexagone. Le digital est également un enjeu afin que nos clientes puissent acheter directement sur notre site. Il faut aussi noter que 20 % des clientes connaissant Plassard grâce aux réseaux sociaux alors que la marque n’est présente sur ces réseaux que depuis 18 mois. »

https://www.madlaine.fr

La laine chic et moderne avec Plassard

La laine chic et moderne avec Plassard

Face à des géants du secteur de la laine comme, par exemple, l’emblématique Phildar, pas facile pour une petite entreprise située au cœur de la Saône et Loire d’exister. Pour cela, il faut se distinguer et affirmer sa différence. Aujourd’hui, la majeure partie de la matière première provient d’Amérique latine, d’Australie et de Nouvelle-Zélande. Un produit ensuite transformé que l’entreprise Plassard importe d’Italie. A partir d’immenses balles de laines en vrac, elle procède au pelotonnage, c’est à dire à la mise en pelote de la laine. « Notre plus-value est apportée par le bureau de style de la maison qui effectue le choix des laines, des compositions, des couleurs, des mélanges…. » précise Grégory Fournier, président de l’entreprise.

Recréer un bas de laine

Bien évidemment, l’entreprise entend se différencier en innovant. Ainsi, Plassard vient tout juste de créer des kits tricot (Tricokits) avec, à l’intérieur, de la laine, des aiguilles à tricoter et le modèle à réaliser. Autre innovation, les modèles tricotés « car nous avons constaté que, pour une personne, il existe deux freins : la technique, pas toujours bien maîtrisée, et le manque de temps. Nous proposons une large gamme tricotée avec nos propres laines. entre écharpes, ponchos, snood, bonnets… avec de belles matières. Par ailleurs, pour être en phase avec son temps, l’entreprise a fait un important effort au niveau technique. Ainsi, sur le site, il est possible de visualiser un seul et même modèle dans différents coloris. »

Le cœur de métier de l’entreprise demeure la vente de pelotes de laine grâce aux catalogues (neuf par an, soit environ 300 modèles à tricoter !) tout en proposant des aiguilles à tricoter en bambou issues du commerce équitable, des comptes mailles ou encore des livres. Sans oublier les Tricokits évoqués précédemment.

Chic et moderne

Alors qu’elle s’appuie sur vingt salariés, l’entreprise en compte seulement dix sur son site historique de Varennes-sous-Dun. L’une des particularités de la marque Plassard est de disposer, en son nom propre, de cinq magasins implantés non seulement à Varennes-sous-Dun mais aussi du côté de Lyon, Grenoble, Clermont-Ferrand et Vichy. Un effectif qui compte également cinq commerciaux, une directrice artistique et une communauty manager. « Nous avons la volonté d’internaliser un maximum de choses car cela ramène de la valeur ajoutée à l’entreprise. » Par ailleurs, Plassard joue la carte du positionnement haut de gamme, n’hésitant pas, parmi ses 70 qualités de laine allant du 100 % acrylique au cachemire, à miser de plus en plus sur les matières nobles et naturelles (cachemire, soie…). « Nous avons une image plutôt fantaisie auprès de nos clientes. » Cultivant ainsi une image chic et moderne, Plassard sort chaque année deux collections, à l’image de ce que l’on retrouve habituellement dans l’univers de la mode. « La saison forte, pour nous, s’étale de fin août à fin mars. »

Développer la vente dans l’hexagone

Alors que 70 % des ventes se réalisent chez des commerçants de centre-ville et au sein de grandes enseignes comme Cultura, la commercialisation dans ses magasins en nom propre et à l’export, notamment au Canada, au Japon et en Scandinavie, s’élève dans chaque cas à 15 %. « Nous souhaitons nous développer plutôt dans l’hexagone. Le digital est également un enjeu afin que nos clientes puissent acheter directement sur notre site. Il faut aussi noter que 20 % des clientes connaissant Plassard grâce aux réseaux sociaux alors que la marque n’est présente sur ces réseaux que depuis 18 mois. »

https://www.madlaine.fr

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