La loi issue des États généraux de l’alimentation laisse entrevoir peu d'avancées mais de nombreuses nouvelles charges et contraintes...
Ça suffit ! Au fil du temps, les bonnes intentions de la loi issue des États généraux de l’Alimentation se sont évaporées pour laisser place à une litanie de nouvelles charges et contraintes. C’est peu dire que la profession attend un sursaut. Un indispensable sursaut !

Depuis un an, fidèles à son ambition d’être un syndicalisme de solutions, la FNSEA et les Jeunes agriculteurs ont dialogué au plan national avec le Gouvernement et la nouvelle majorité. En Saône-et-Loire, la FDSEA et les JA 71 ont ainsi à maintes reprises échangé, dialogué, cherché des terrains de convergence avec chacun des parlementaires.
Mais « les agriculteurs, viticulteurs et éleveurs de Saône-et-Loire ne veulent pas seulement être écoutés, ils veulent surtout être entendus. Ils attendent des actes ! », avertissaient Bernard Lacour et Joffrey Beaudot, respectivement président de la FDSEA et des JA, à la veille du vote en séance publique de l’Assemblée nationale de la loi sur les États généraux de l’alimentation.
Et force est de constater que le compte n’y est pas : « derrière les belles promesses et les grands discours, les agriculteurs constatent une nouvelle fois que le modèle agricole familial - dont la finalité reste dans les champs de la production et de l’économie - se trouve dans une triple impasse : économique, environnementale et sociale », dénoncent la FDSEA 71 et les Jeunes agriculteurs de Saône-et-Loire. Et de citer en guise d’illustration le revenu annuel des agriculteurs qui a chuté de -29 % en 2016 et est inférieur à 350 € par mois.
Le temps des responsabilités…
« Les États généraux de l’alimentation sont-ils le leurre qui masque les orientations de nos parlementaires ? », interrogent les deux responsables syndicaux, qui déplorent la constance du triptyque "pas de prix, plus de charges et toujours moins de protection"…
Et de fait, la distorsion de concurrence s’accroît chaque jour, loin des engagements et des promesses de campagnes électorales…
Ainsi, les charges nouvelles franco-françaises explosent-elles littéralement (lire l’encadré édifiant ci-dessous).
Les produits européens circulent librement alors même que leurs conditions de production sont de plus en plus différentes de celles des agriculteurs français.
Quant aux accords commerciaux, ils n’apportent absolument pas le même niveau de garantie - à tous points de vue - aux consommateurs, détruisent l’emploi et impactent durablement le revenu des agriculteurs.
Bref, de l’enfumage, tant pour les producteurs que pour le reste de la société, consommateurs en tête.
« Les paysans de Saône-et-Loire attendent un sursaut », poursuivent Joffrey Beaudot et Bernard Lacour, qui espèrent « un discours de vérité à l’occasion du vote en séance publique de l’Assemblée nationale de la loi sur les États généraux de l’alimentation ».
Pour la FDSEA et les JA 71, « le temps est en effet venu pour chaque député de prendre ses responsabilités ». Et de poursuivre, rappelant qu’il est possible, sans aucune charge nouvelle, de supprimer les nombreuses sur-transpositions de normes européennes et d’exiger que tous les produits « mis à la disposition des consommateurs français respectent enfin le même niveau d’exigence que ce qui est exigé de la production française ». C’est là un minimum pour quiconque revendique la cohérence.
La loi issue des États généraux de l’alimentation laisse entrevoir peu d'avancées mais de nombreuses nouvelles charges et contraintes...

Depuis un an, fidèles à son ambition d’être un syndicalisme de solutions, la FNSEA et les Jeunes agriculteurs ont dialogué au plan national avec le Gouvernement et la nouvelle majorité. En Saône-et-Loire, la FDSEA et les JA 71 ont ainsi à maintes reprises échangé, dialogué, cherché des terrains de convergence avec chacun des parlementaires.
Mais « les agriculteurs, viticulteurs et éleveurs de Saône-et-Loire ne veulent pas seulement être écoutés, ils veulent surtout être entendus. Ils attendent des actes ! », avertissaient Bernard Lacour et Joffrey Beaudot, respectivement président de la FDSEA et des JA, à la veille du vote en séance publique de l’Assemblée nationale de la loi sur les États généraux de l’alimentation.
Et force est de constater que le compte n’y est pas : « derrière les belles promesses et les grands discours, les agriculteurs constatent une nouvelle fois que le modèle agricole familial - dont la finalité reste dans les champs de la production et de l’économie - se trouve dans une triple impasse : économique, environnementale et sociale », dénoncent la FDSEA 71 et les Jeunes agriculteurs de Saône-et-Loire. Et de citer en guise d’illustration le revenu annuel des agriculteurs qui a chuté de -29 % en 2016 et est inférieur à 350 € par mois.
Le temps des responsabilités…
« Les États généraux de l’alimentation sont-ils le leurre qui masque les orientations de nos parlementaires ? », interrogent les deux responsables syndicaux, qui déplorent la constance du triptyque "pas de prix, plus de charges et toujours moins de protection"…
Et de fait, la distorsion de concurrence s’accroît chaque jour, loin des engagements et des promesses de campagnes électorales…
Ainsi, les charges nouvelles franco-françaises explosent-elles littéralement (lire l’encadré édifiant ci-dessous).
Les produits européens circulent librement alors même que leurs conditions de production sont de plus en plus différentes de celles des agriculteurs français.
Quant aux accords commerciaux, ils n’apportent absolument pas le même niveau de garantie - à tous points de vue - aux consommateurs, détruisent l’emploi et impactent durablement le revenu des agriculteurs.
Bref, de l’enfumage, tant pour les producteurs que pour le reste de la société, consommateurs en tête.
« Les paysans de Saône-et-Loire attendent un sursaut », poursuivent Joffrey Beaudot et Bernard Lacour, qui espèrent « un discours de vérité à l’occasion du vote en séance publique de l’Assemblée nationale de la loi sur les États généraux de l’alimentation ».
Pour la FDSEA et les JA 71, « le temps est en effet venu pour chaque député de prendre ses responsabilités ». Et de poursuivre, rappelant qu’il est possible, sans aucune charge nouvelle, de supprimer les nombreuses sur-transpositions de normes européennes et d’exiger que tous les produits « mis à la disposition des consommateurs français respectent enfin le même niveau d’exigence que ce qui est exigé de la production française ». C’est là un minimum pour quiconque revendique la cohérence.
La loi issue des États généraux de l’alimentation laisse entrevoir peu d'avancées mais de nombreuses nouvelles charges et contraintes...

Depuis un an, fidèles à son ambition d’être un syndicalisme de solutions, la FNSEA et les Jeunes agriculteurs ont dialogué au plan national avec le Gouvernement et la nouvelle majorité. En Saône-et-Loire, la FDSEA et les JA 71 ont ainsi à maintes reprises échangé, dialogué, cherché des terrains de convergence avec chacun des parlementaires.
Mais « les agriculteurs, viticulteurs et éleveurs de Saône-et-Loire ne veulent pas seulement être écoutés, ils veulent surtout être entendus. Ils attendent des actes ! », avertissaient Bernard Lacour et Joffrey Beaudot, respectivement président de la FDSEA et des JA, à la veille du vote en séance publique de l’Assemblée nationale de la loi sur les États généraux de l’alimentation.
Et force est de constater que le compte n’y est pas : « derrière les belles promesses et les grands discours, les agriculteurs constatent une nouvelle fois que le modèle agricole familial - dont la finalité reste dans les champs de la production et de l’économie - se trouve dans une triple impasse : économique, environnementale et sociale », dénoncent la FDSEA 71 et les Jeunes agriculteurs de Saône-et-Loire. Et de citer en guise d’illustration le revenu annuel des agriculteurs qui a chuté de -29 % en 2016 et est inférieur à 350 € par mois.
Le temps des responsabilités…
« Les États généraux de l’alimentation sont-ils le leurre qui masque les orientations de nos parlementaires ? », interrogent les deux responsables syndicaux, qui déplorent la constance du triptyque "pas de prix, plus de charges et toujours moins de protection"…
Et de fait, la distorsion de concurrence s’accroît chaque jour, loin des engagements et des promesses de campagnes électorales…
Ainsi, les charges nouvelles franco-françaises explosent-elles littéralement (lire l’encadré édifiant ci-dessous).
Les produits européens circulent librement alors même que leurs conditions de production sont de plus en plus différentes de celles des agriculteurs français.
Quant aux accords commerciaux, ils n’apportent absolument pas le même niveau de garantie - à tous points de vue - aux consommateurs, détruisent l’emploi et impactent durablement le revenu des agriculteurs.
Bref, de l’enfumage, tant pour les producteurs que pour le reste de la société, consommateurs en tête.
« Les paysans de Saône-et-Loire attendent un sursaut », poursuivent Joffrey Beaudot et Bernard Lacour, qui espèrent « un discours de vérité à l’occasion du vote en séance publique de l’Assemblée nationale de la loi sur les États généraux de l’alimentation ».
Pour la FDSEA et les JA 71, « le temps est en effet venu pour chaque député de prendre ses responsabilités ». Et de poursuivre, rappelant qu’il est possible, sans aucune charge nouvelle, de supprimer les nombreuses sur-transpositions de normes européennes et d’exiger que tous les produits « mis à la disposition des consommateurs français respectent enfin le même niveau d’exigence que ce qui est exigé de la production française ». C’est là un minimum pour quiconque revendique la cohérence.
La loi issue des États généraux de l’alimentation laisse entrevoir peu d'avancées mais de nombreuses nouvelles charges et contraintes...

Depuis un an, fidèles à son ambition d’être un syndicalisme de solutions, la FNSEA et les Jeunes agriculteurs ont dialogué au plan national avec le Gouvernement et la nouvelle majorité. En Saône-et-Loire, la FDSEA et les JA 71 ont ainsi à maintes reprises échangé, dialogué, cherché des terrains de convergence avec chacun des parlementaires.
Mais « les agriculteurs, viticulteurs et éleveurs de Saône-et-Loire ne veulent pas seulement être écoutés, ils veulent surtout être entendus. Ils attendent des actes ! », avertissaient Bernard Lacour et Joffrey Beaudot, respectivement président de la FDSEA et des JA, à la veille du vote en séance publique de l’Assemblée nationale de la loi sur les États généraux de l’alimentation.
Et force est de constater que le compte n’y est pas : « derrière les belles promesses et les grands discours, les agriculteurs constatent une nouvelle fois que le modèle agricole familial - dont la finalité reste dans les champs de la production et de l’économie - se trouve dans une triple impasse : économique, environnementale et sociale », dénoncent la FDSEA 71 et les Jeunes agriculteurs de Saône-et-Loire. Et de citer en guise d’illustration le revenu annuel des agriculteurs qui a chuté de -29 % en 2016 et est inférieur à 350 € par mois.
Le temps des responsabilités…
« Les États généraux de l’alimentation sont-ils le leurre qui masque les orientations de nos parlementaires ? », interrogent les deux responsables syndicaux, qui déplorent la constance du triptyque "pas de prix, plus de charges et toujours moins de protection"…
Et de fait, la distorsion de concurrence s’accroît chaque jour, loin des engagements et des promesses de campagnes électorales…
Ainsi, les charges nouvelles franco-françaises explosent-elles littéralement (lire l’encadré édifiant ci-dessous).
Les produits européens circulent librement alors même que leurs conditions de production sont de plus en plus différentes de celles des agriculteurs français.
Quant aux accords commerciaux, ils n’apportent absolument pas le même niveau de garantie - à tous points de vue - aux consommateurs, détruisent l’emploi et impactent durablement le revenu des agriculteurs.
Bref, de l’enfumage, tant pour les producteurs que pour le reste de la société, consommateurs en tête.
« Les paysans de Saône-et-Loire attendent un sursaut », poursuivent Joffrey Beaudot et Bernard Lacour, qui espèrent « un discours de vérité à l’occasion du vote en séance publique de l’Assemblée nationale de la loi sur les États généraux de l’alimentation ».
Pour la FDSEA et les JA 71, « le temps est en effet venu pour chaque député de prendre ses responsabilités ». Et de poursuivre, rappelant qu’il est possible, sans aucune charge nouvelle, de supprimer les nombreuses sur-transpositions de normes européennes et d’exiger que tous les produits « mis à la disposition des consommateurs français respectent enfin le même niveau d’exigence que ce qui est exigé de la production française ». C’est là un minimum pour quiconque revendique la cohérence.
La loi issue des États généraux de l’alimentation laisse entrevoir peu d'avancées mais de nombreuses nouvelles charges et contraintes...

Depuis un an, fidèles à son ambition d’être un syndicalisme de solutions, la FNSEA et les Jeunes agriculteurs ont dialogué au plan national avec le Gouvernement et la nouvelle majorité. En Saône-et-Loire, la FDSEA et les JA 71 ont ainsi à maintes reprises échangé, dialogué, cherché des terrains de convergence avec chacun des parlementaires.
Mais « les agriculteurs, viticulteurs et éleveurs de Saône-et-Loire ne veulent pas seulement être écoutés, ils veulent surtout être entendus. Ils attendent des actes ! », avertissaient Bernard Lacour et Joffrey Beaudot, respectivement président de la FDSEA et des JA, à la veille du vote en séance publique de l’Assemblée nationale de la loi sur les États généraux de l’alimentation.
Et force est de constater que le compte n’y est pas : « derrière les belles promesses et les grands discours, les agriculteurs constatent une nouvelle fois que le modèle agricole familial - dont la finalité reste dans les champs de la production et de l’économie - se trouve dans une triple impasse : économique, environnementale et sociale », dénoncent la FDSEA 71 et les Jeunes agriculteurs de Saône-et-Loire. Et de citer en guise d’illustration le revenu annuel des agriculteurs qui a chuté de -29 % en 2016 et est inférieur à 350 € par mois.
Le temps des responsabilités…
« Les États généraux de l’alimentation sont-ils le leurre qui masque les orientations de nos parlementaires ? », interrogent les deux responsables syndicaux, qui déplorent la constance du triptyque "pas de prix, plus de charges et toujours moins de protection"…
Et de fait, la distorsion de concurrence s’accroît chaque jour, loin des engagements et des promesses de campagnes électorales…
Ainsi, les charges nouvelles franco-françaises explosent-elles littéralement (lire l’encadré édifiant ci-dessous).
Les produits européens circulent librement alors même que leurs conditions de production sont de plus en plus différentes de celles des agriculteurs français.
Quant aux accords commerciaux, ils n’apportent absolument pas le même niveau de garantie - à tous points de vue - aux consommateurs, détruisent l’emploi et impactent durablement le revenu des agriculteurs.
Bref, de l’enfumage, tant pour les producteurs que pour le reste de la société, consommateurs en tête.
« Les paysans de Saône-et-Loire attendent un sursaut », poursuivent Joffrey Beaudot et Bernard Lacour, qui espèrent « un discours de vérité à l’occasion du vote en séance publique de l’Assemblée nationale de la loi sur les États généraux de l’alimentation ».
Pour la FDSEA et les JA 71, « le temps est en effet venu pour chaque député de prendre ses responsabilités ». Et de poursuivre, rappelant qu’il est possible, sans aucune charge nouvelle, de supprimer les nombreuses sur-transpositions de normes européennes et d’exiger que tous les produits « mis à la disposition des consommateurs français respectent enfin le même niveau d’exigence que ce qui est exigé de la production française ». C’est là un minimum pour quiconque revendique la cohérence.