Chrysomèle du maïs
La lutte se poursuit
Le 24 juillet dernier, une chrysomèle des racines du maïs (Diabotrica diabotrica) était capturée en bordure de la route de Mervans-Simard, sur une parcelle de maïs de Devrouze. De ce fait, la Draaf, le SRAL et la chambre d’agriculture de Saône-et-Loire ont invité les producteurs de maïs de la zone tampon pour une séance d’information. Le préfet de Saône-et-Loire a pris un arrêté délimitant :
- la zone focus (1 km de rayon autour de la parcelle découverte qui compte 83 ha de maïs sur 13 parcelles appartenant à 4 agriculteurs), où le maïs ne sera cultivé qu’une année sur trois consécutives et dans les parcelles sans maïs en 2012 et 2013, avec traitement larvicide obligatoire. Il y a obligation de destruction précoce des pieds spontanés des champs non affectés ainsi que l’obligation des contrôles des graminées estivales adventices dans les cultures d’été ;
- la zone sécurité (entre 1 et 5 km autour de la parcelle, soit 2.003 ha de maïs appartenant à 97 agriculteurs sont concernés), il faudra privilégier l’assolement sur 2 ans ;
- enfin, la zone tampon (rayon de 40 km à partir du point de capture) où il est seulement recommandé de pratiquer l’assolement, mais sans aucune indemnisation.
Des contrôles seront effectués avec procès-verbal et destruction de la parcelle non en règle en cas d’infraction à la législation.
- la zone focus (1 km de rayon autour de la parcelle découverte qui compte 83 ha de maïs sur 13 parcelles appartenant à 4 agriculteurs), où le maïs ne sera cultivé qu’une année sur trois consécutives et dans les parcelles sans maïs en 2012 et 2013, avec traitement larvicide obligatoire. Il y a obligation de destruction précoce des pieds spontanés des champs non affectés ainsi que l’obligation des contrôles des graminées estivales adventices dans les cultures d’été ;
- la zone sécurité (entre 1 et 5 km autour de la parcelle, soit 2.003 ha de maïs appartenant à 97 agriculteurs sont concernés), il faudra privilégier l’assolement sur 2 ans ;
- enfin, la zone tampon (rayon de 40 km à partir du point de capture) où il est seulement recommandé de pratiquer l’assolement, mais sans aucune indemnisation.
Des contrôles seront effectués avec procès-verbal et destruction de la parcelle non en règle en cas d’infraction à la législation.