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La magie du chocolat pour l’AG d’AS

L’association de gestion et de comptabilité AS a tenu son assemblée générale lundi 24 juin à Massily. Ce fut l’occasion pour la structure d’offrir à ses adhérents une soirée pleine de saveurs et de surprises, notamment autour du chocolat…

La magie du chocolat pour l’AG d’AS

Le chocolat tout le monde connaît… et une très grande partie l’apprécie particulièrement ! Surtout nous autres Français, avec nos 7,3 kg consommés par personne chaque année. « Mais nous sommes à part, car si en Europe 95 % des consommateurs optent pour le chocolat au lait et seulement 5 % pour le chocolat noir, en France c’est le contraire avec plus de 70 % de chocolat noir consommé », a entre autre expliqué l’intervenante Marie-Thérèse Garcin. Ce fut là l’une des inombrables anecdotes que cette passionnée (et passionnante) de la Bourgogne a distillé tout au long de sa présentation.
Le lien entre la région et le chocolat ne s’établit pas immédiatement bien évidemment, mais elle a eu à travailler sur cet aliment au cours de l’une de ses précédentes missions. Vu que l’épopée de cette petite fève est aussi riche gustativement qu’historiquement, Marie-Thérèse Garcin a choisi d’en faire profiter un maximum de personnes.

Bourgogne et chocolat

Et quand on y regarde bien, Bourgogne et chocolat ont souvent eu à se croiser. Ainsi Madame de Sévigné, fervente défenseure au 17e siècle de la boisson chocolatée, s’arrêtait souvent aux châteaux de Bourbilly en Côte-d’Or lorsqu’elle rendait visite à sa fille, Madame de Grignan. Au début du 20e siècle, la chocolaterie Lanvin s’établit à Dijon et y crée quelques années plus tard ses célèbres escargots de Bourgogne… au chocolat. Actuellement, le Nesquik des petits déjeuners est fabriqué à Pontarlier dans le Doubs. Enfin, un excellent chocolatier de Chalon-sur-Saône, Allex, qui torréfie lui-même ses fèves de cacao, a fourni les morceaux de chocolat proposés à la dégustation à l’issue de la présentation.

Comme pour le vin

En fait, le chocolat est tellement présent dans nos quotidiens que forcément des recoupements avec la région, ses acteurs et son histoire, s’opèrent naturellement.
« Il se trouve aussi que le vocabulaire utilisé lors des dégustations est proche de celui du vin », enchaîne l’intervenante, autre clin d’œil aux spécificités régionales. Ainsi, les trois « cépages » de cacao sont le forastero (près de 80 % de la production mondiale), le criollo - « La romanée conti du cacao, précise la conférencière - très rare (moins de 5 % de la production ») et enfin le trinitario qui est un hybride entre les deux variétés précédentes. Et pour le cacao, comme pour le vin, on parle d’arômes, de terroir, voire de « grands crus » !
Évidemment les nombreuses qualités accordées au chocolat ont été abordées et parmi celles-ci seule la vertu aphrodisiaque n’a pas été confirmée… Il était temps de laissé la place à une dégustation : forastero d’Équateur, trinitario du Nicaragua et du Vietnam (qui relance sa culture de cacao), criollo du Pérou et de République dominicaine... qui faisaient le bonheur de tous les participants à une AG qui sort de l'ordinaire.

La magie du chocolat pour l’AG d’AS

La magie du chocolat pour l’AG d’AS

Le chocolat tout le monde connaît… et une très grande partie l’apprécie particulièrement ! Surtout nous autres Français, avec nos 7,3 kg consommés par personne chaque année. « Mais nous sommes à part, car si en Europe 95 % des consommateurs optent pour le chocolat au lait et seulement 5 % pour le chocolat noir, en France c’est le contraire avec plus de 70 % de chocolat noir consommé », a entre autre expliqué l’intervenante Marie-Thérèse Garcin. Ce fut là l’une des inombrables anecdotes que cette passionnée (et passionnante) de la Bourgogne a distillé tout au long de sa présentation.
Le lien entre la région et le chocolat ne s’établit pas immédiatement bien évidemment, mais elle a eu à travailler sur cet aliment au cours de l’une de ses précédentes missions. Vu que l’épopée de cette petite fève est aussi riche gustativement qu’historiquement, Marie-Thérèse Garcin a choisi d’en faire profiter un maximum de personnes.

Bourgogne et chocolat

Et quand on y regarde bien, Bourgogne et chocolat ont souvent eu à se croiser. Ainsi Madame de Sévigné, fervente défenseure au 17e siècle de la boisson chocolatée, s’arrêtait souvent aux châteaux de Bourbilly en Côte-d’Or lorsqu’elle rendait visite à sa fille, Madame de Grignan. Au début du 20e siècle, la chocolaterie Lanvin s’établit à Dijon et y crée quelques années plus tard ses célèbres escargots de Bourgogne… au chocolat. Actuellement, le Nesquik des petits déjeuners est fabriqué à Pontarlier dans le Doubs. Enfin, un excellent chocolatier de Chalon-sur-Saône, Allex, qui torréfie lui-même ses fèves de cacao, a fourni les morceaux de chocolat proposés à la dégustation à l’issue de la présentation.

Comme pour le vin

En fait, le chocolat est tellement présent dans nos quotidiens que forcément des recoupements avec la région, ses acteurs et son histoire, s’opèrent naturellement.
« Il se trouve aussi que le vocabulaire utilisé lors des dégustations est proche de celui du vin », enchaîne l’intervenante, autre clin d’œil aux spécificités régionales. Ainsi, les trois « cépages » de cacao sont le forastero (près de 80 % de la production mondiale), le criollo - « La romanée conti du cacao, précise la conférencière - très rare (moins de 5 % de la production ») et enfin le trinitario qui est un hybride entre les deux variétés précédentes. Et pour le cacao, comme pour le vin, on parle d’arômes, de terroir, voire de « grands crus » !
Évidemment les nombreuses qualités accordées au chocolat ont été abordées et parmi celles-ci seule la vertu aphrodisiaque n’a pas été confirmée… Il était temps de laissé la place à une dégustation : forastero d’Équateur, trinitario du Nicaragua et du Vietnam (qui relance sa culture de cacao), criollo du Pérou et de République dominicaine... qui faisaient le bonheur de tous les participants à une AG qui sort de l'ordinaire.

La magie du chocolat pour l’AG d’AS

La magie du chocolat pour l’AG d’AS

Le chocolat tout le monde connaît… et une très grande partie l’apprécie particulièrement ! Surtout nous autres Français, avec nos 7,3 kg consommés par personne chaque année. « Mais nous sommes à part, car si en Europe 95 % des consommateurs optent pour le chocolat au lait et seulement 5 % pour le chocolat noir, en France c’est le contraire avec plus de 70 % de chocolat noir consommé », a entre autre expliqué l’intervenante Marie-Thérèse Garcin. Ce fut là l’une des inombrables anecdotes que cette passionnée (et passionnante) de la Bourgogne a distillé tout au long de sa présentation.
Le lien entre la région et le chocolat ne s’établit pas immédiatement bien évidemment, mais elle a eu à travailler sur cet aliment au cours de l’une de ses précédentes missions. Vu que l’épopée de cette petite fève est aussi riche gustativement qu’historiquement, Marie-Thérèse Garcin a choisi d’en faire profiter un maximum de personnes.

Bourgogne et chocolat

Et quand on y regarde bien, Bourgogne et chocolat ont souvent eu à se croiser. Ainsi Madame de Sévigné, fervente défenseure au 17e siècle de la boisson chocolatée, s’arrêtait souvent aux châteaux de Bourbilly en Côte-d’Or lorsqu’elle rendait visite à sa fille, Madame de Grignan. Au début du 20e siècle, la chocolaterie Lanvin s’établit à Dijon et y crée quelques années plus tard ses célèbres escargots de Bourgogne… au chocolat. Actuellement, le Nesquik des petits déjeuners est fabriqué à Pontarlier dans le Doubs. Enfin, un excellent chocolatier de Chalon-sur-Saône, Allex, qui torréfie lui-même ses fèves de cacao, a fourni les morceaux de chocolat proposés à la dégustation à l’issue de la présentation.

Comme pour le vin

En fait, le chocolat est tellement présent dans nos quotidiens que forcément des recoupements avec la région, ses acteurs et son histoire, s’opèrent naturellement.
« Il se trouve aussi que le vocabulaire utilisé lors des dégustations est proche de celui du vin », enchaîne l’intervenante, autre clin d’œil aux spécificités régionales. Ainsi, les trois « cépages » de cacao sont le forastero (près de 80 % de la production mondiale), le criollo - « La romanée conti du cacao, précise la conférencière - très rare (moins de 5 % de la production ») et enfin le trinitario qui est un hybride entre les deux variétés précédentes. Et pour le cacao, comme pour le vin, on parle d’arômes, de terroir, voire de « grands crus » !
Évidemment les nombreuses qualités accordées au chocolat ont été abordées et parmi celles-ci seule la vertu aphrodisiaque n’a pas été confirmée… Il était temps de laissé la place à une dégustation : forastero d’Équateur, trinitario du Nicaragua et du Vietnam (qui relance sa culture de cacao), criollo du Pérou et de République dominicaine... qui faisaient le bonheur de tous les participants à une AG qui sort de l'ordinaire.

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