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Face au loup

La menace du loup est bien réelle et la profession demande le zéro attaque !

Lors de la dernière réunion nationale loup organisée le 22 juin 2017 à Lyon, les ministères de l’agriculture et de l’environnement ont présenté la future politique de gestion du loup en France.


 


 


 

La menace du loup est bien réelle et la profession demande le zéro attaque !

Parmi leurs propositions, le plafond de loups à abattre pour la prochaine campagne serait réduit au regard de l’augmentation sensible de la population, les prélèvements de loups limités et soumis à la compétence du préfet coordonnateur en charge d’arbitrer entre les départements. De plus, la conditionnalité du versement des indemnisations à la mise en place préalable de mesures de protection serait exigée. La FNSEA, la FNO, les JA et les chambres d’Agriculture, à travers une lettre ouverte, se mobilisent contre ces propositions, jugées pour le moins « inacceptables », constituant « une véritable provocation pour les éleveurs ». Ils ont ainsi présenté aux deux ministères ses réflexions concernant la future politique de gestion du loup pour que « l’élevage soit au cœur des préoccupations du futur Plan de gestion du loup ». La demande de la profession est claire : elle est d’arriver à zéro attaque sur les troupeaux ! Et le sujet nous concerne désormais alors que le loup est désormais présent dans le Morvan… avant d’étendre encore sa zone de présence…

La menace du loup est bien réelle et la profession demande le zéro attaque !

La menace du loup est bien réelle et la profession demande le zéro attaque !

Parmi leurs propositions, le plafond de loups à abattre pour la prochaine campagne serait réduit au regard de l’augmentation sensible de la population, les prélèvements de loups limités et soumis à la compétence du préfet coordonnateur en charge d’arbitrer entre les départements. De plus, la conditionnalité du versement des indemnisations à la mise en place préalable de mesures de protection serait exigée. La FNSEA, la FNO, les JA et les chambres d’Agriculture, à travers une lettre ouverte, se mobilisent contre ces propositions, jugées pour le moins « inacceptables », constituant « une véritable provocation pour les éleveurs ». Ils ont ainsi présenté aux deux ministères ses réflexions concernant la future politique de gestion du loup pour que « l’élevage soit au cœur des préoccupations du futur Plan de gestion du loup ». La demande de la profession est claire : elle est d’arriver à zéro attaque sur les troupeaux ! Et le sujet nous concerne désormais alors que le loup est désormais présent dans le Morvan… avant d’étendre encore sa zone de présence…