La viticulture version féminine avec Mi-filles Mi-raisins
Dans un univers encore très masculin, la gente féminine tend toutefois à se faire une place de choix depuis quelques décennies. Et entend se démarquer comme le prouve l’association bourguignonne Mi-filles Mi-raisins.

Comme bien souvent, l’idée fait suite à une discussion informelle autour d’une bonne bouteille. La naissance de l’association Mi-filles Mi-raisins ne fait pas exception à ce qui pourrait presque être érigé en règle. Née en 2019, cette structure regroupe une douzaine de vigneronnes. Avec, à sa tête, Camille Thiriet. L’idée que des professionnelles du vin se regroupent en association n’est pas nouvelle. Mais cette démarche se distingue par le fait que non seulement il s’agit de jeunes vigneronnes (du moins dans le métier) mais aussi qu’elles produisent des appellations peu ou pas médiatisées et, qu’en outre, elles souhaitent porter certaines valeurs.
Lieu d’échanges
L’une des priorités de l’association est qu’elle soit avant tout un lieu d’échanges, qu’ils soient techniques, commerciaux et, bien évidemment, amicaux. Mais Mi-filles Mi-raisins entend aussi être un support à des appellations en mal de médiatisation à l’image des Maranges, des Hautes Côte de Nuits, de l’aligoté… Pour ce faire, les adhérentes souhaitent proposer différents types d’événements. A l’image, le 15 avril dernier, d’une dégustation au château de Comblanchien à destination des professionnels entre cavistes, restaurateurs, sommeliers, agents, importateurs… Avec un certain succès à la clé avec la présence d’une centaine de personnes lors de cette soirée. On citera également, plus près de nous, la dégustation du 9 juillet sur la péniche La Bougeotte à Dijon, cette fois en direction du grand public. Là aussi, plus d’une centaine de personnes étaient présentes.
Au fil de l’eau
Pour ce qui est des mois à venir, rien n’est encore définitivement acté quant à d’éventuelles organisations. Toutefois, il est plus que probable que d’autres dégustations seront programmées, aussi bien en direction des particuliers que des professionnels. D’autant plus que les adhérentes ont désormais davantage de production à disposition non seulement pour faire découvrir mais aussi à vendre.
La viticulture version féminine avec Mi-filles Mi-raisins

Comme bien souvent, l’idée fait suite à une discussion informelle autour d’une bonne bouteille. La naissance de l’association Mi-filles Mi-raisins ne fait pas exception à ce qui pourrait presque être érigé en règle. Née en 2019, cette structure regroupe une douzaine de vigneronnes. Avec, à sa tête, Camille Thiriet. L’idée que des professionnelles du vin se regroupent en association n’est pas nouvelle. Mais cette démarche se distingue par le fait que non seulement il s’agit de jeunes vigneronnes (du moins dans le métier) mais aussi qu’elles produisent des appellations peu ou pas médiatisées et, qu’en outre, elles souhaitent porter certaines valeurs.
Lieu d’échanges
L’une des priorités de l’association est qu’elle soit avant tout un lieu d’échanges, qu’ils soient techniques, commerciaux et, bien évidemment, amicaux. Mais Mi-filles Mi-raisins entend aussi être un support à des appellations en mal de médiatisation à l’image des Maranges, des Hautes Côte de Nuits, de l’aligoté… Pour ce faire, les adhérentes souhaitent proposer différents types d’événements. A l’image, le 15 avril dernier, d’une dégustation au château de Comblanchien à destination des professionnels entre cavistes, restaurateurs, sommeliers, agents, importateurs… Avec un certain succès à la clé avec la présence d’une centaine de personnes lors de cette soirée. On citera également, plus près de nous, la dégustation du 9 juillet sur la péniche La Bougeotte à Dijon, cette fois en direction du grand public. Là aussi, plus d’une centaine de personnes étaient présentes.
Au fil de l’eau
Pour ce qui est des mois à venir, rien n’est encore définitivement acté quant à d’éventuelles organisations. Toutefois, il est plus que probable que d’autres dégustations seront programmées, aussi bien en direction des particuliers que des professionnels. D’autant plus que les adhérentes ont désormais davantage de production à disposition non seulement pour faire découvrir mais aussi à vendre.