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Laboratoire départemental d’analyses

Le Conseil départemental a lancé le chantier du nouveau Laboratoire départemental d'analyses

C’est parti. Le chantier de rénovation du Laboratoire départemental d’analyses est lancé. D’un montant de 3 millions d’€, le projet vise à inscrire l’outil dans l’avenir avec un équipement stratégique.


 

Le Conseil départemental a lancé le chantier du nouveau Laboratoire départemental d'analyses

Le 23 juin, André Accary, président du Conseil départemental de Saône-et-Loire, et Frédéric Brochot, vice-président chargé de l’agriculture, ont posé la première pierre du futur Laboratoire départemental d’analyses, en présence de Gilbert Payet, préfet de Saône-et-Loire.

Construit par le Département pour un montant total de 3 millions d’€, cet équipement d’une surface totale de 1.440m2 sera situé dans l’enceinte de l’Espace Duhesme à Mâcon. Il remplacera les anciens locaux jusqu’alors situés Rue des Epinoches à Mâcon, là où étaient situés les anciens locaux du GDS de Saône-et-Loire avant d’emménager à Loché.

Le rôle du LDA71

Chaque année, le Laboratoire départemental d’analyses réalise plus de 370.000 prélèvements en santé animale et plus de 10.000 prélèvements en santé végétale, ce qui représente environ 160.000 analyses.  Cet outil permet ainsi de surveiller les épidémies du cheptel, de développer de nouvelles méthodes de recherche sur des pathologies émergentes, et d’améliorer les connaissances, le dépistage et le contrôle des maladies comme la rhinotrachéite infectieuse bovine ou la para-tuberculose.

Le monde agricole a encore en tête le rôle rempli par le Laboratoire dans la détection de l’ESB, dans celle de la FCO ou plus récemment de la flavescence dorée.

Les raisons d’un nouveau laboratoire

Le Département prend par ailleurs en charge une partie des coûts d’analyses liées au dépistage de la flavescence dorée en Saône-et-Loire. « Le maintien d’un bon état sanitaire des productions, aussi bien végétales qu’animales, est nécessaire à la fois pour éviter les pertes directes dues aux principales maladies contagieuses mais également pour assurer la protection de la population vis-à-vis des maladies transmissibles », ont ainsi rappelé les élus du Conseil départemental.

L’outil permet aussi de commercialiser les productions en France, au sein et en dehors de l’Union européenne et cela au regard des différents règlements sanitaires.

Soucieux d’apporter un haut niveau d’expertise et compte tenu de la vétusté des locaux actuels de la rue des Epinoches (mal agencés et difficilement aménageables), le Département a opté pour la construction d’un nouveau laboratoire départemental d’analyses. Un choix qui vise à conforter l’activité du Laboratoire, à ouvrir la gouvernance de cet équipement au secteur privé, dans le cadre d’une société d’économie mixte (SEM) tout en sachant que le Département restera majoritaire puisque sa participation ne peut être inférieure à 51%.

« Avec ce nouvel équipement, le monde agricole pourra ainsi bénéficier des nouvelles orientations prises par le laboratoire pour s’adapter aux évolutions technologiques et renforcer son rôle d’outil au service de l’agriculture et de la viticulture », a mis en avant André Accary. La livraison de l’équipement est attendue en début d’année 2019. D’ici là, les locaux de la rue des Epinoches seront encore mis à contribution.

 

Le Conseil départemental a lancé le chantier du nouveau Laboratoire départemental d'analyses

Le Conseil départemental a lancé le chantier du nouveau Laboratoire départemental d'analyses

Le 23 juin, André Accary, président du Conseil départemental de Saône-et-Loire, et Frédéric Brochot, vice-président chargé de l’agriculture, ont posé la première pierre du futur Laboratoire départemental d’analyses, en présence de Gilbert Payet, préfet de Saône-et-Loire.

Construit par le Département pour un montant total de 3 millions d’€, cet équipement d’une surface totale de 1.440m2 sera situé dans l’enceinte de l’Espace Duhesme à Mâcon. Il remplacera les anciens locaux jusqu’alors situés Rue des Epinoches à Mâcon, là où étaient situés les anciens locaux du GDS de Saône-et-Loire avant d’emménager à Loché.

Le rôle du LDA71

Chaque année, le Laboratoire départemental d’analyses réalise plus de 370.000 prélèvements en santé animale et plus de 10.000 prélèvements en santé végétale, ce qui représente environ 160.000 analyses.  Cet outil permet ainsi de surveiller les épidémies du cheptel, de développer de nouvelles méthodes de recherche sur des pathologies émergentes, et d’améliorer les connaissances, le dépistage et le contrôle des maladies comme la rhinotrachéite infectieuse bovine ou la para-tuberculose.

Le monde agricole a encore en tête le rôle rempli par le Laboratoire dans la détection de l’ESB, dans celle de la FCO ou plus récemment de la flavescence dorée.

Les raisons d’un nouveau laboratoire

Le Département prend par ailleurs en charge une partie des coûts d’analyses liées au dépistage de la flavescence dorée en Saône-et-Loire. « Le maintien d’un bon état sanitaire des productions, aussi bien végétales qu’animales, est nécessaire à la fois pour éviter les pertes directes dues aux principales maladies contagieuses mais également pour assurer la protection de la population vis-à-vis des maladies transmissibles », ont ainsi rappelé les élus du Conseil départemental.

L’outil permet aussi de commercialiser les productions en France, au sein et en dehors de l’Union européenne et cela au regard des différents règlements sanitaires.

Soucieux d’apporter un haut niveau d’expertise et compte tenu de la vétusté des locaux actuels de la rue des Epinoches (mal agencés et difficilement aménageables), le Département a opté pour la construction d’un nouveau laboratoire départemental d’analyses. Un choix qui vise à conforter l’activité du Laboratoire, à ouvrir la gouvernance de cet équipement au secteur privé, dans le cadre d’une société d’économie mixte (SEM) tout en sachant que le Département restera majoritaire puisque sa participation ne peut être inférieure à 51%.

« Avec ce nouvel équipement, le monde agricole pourra ainsi bénéficier des nouvelles orientations prises par le laboratoire pour s’adapter aux évolutions technologiques et renforcer son rôle d’outil au service de l’agriculture et de la viticulture », a mis en avant André Accary. La livraison de l’équipement est attendue en début d’année 2019. D’ici là, les locaux de la rue des Epinoches seront encore mis à contribution.

 

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