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DouEM

Le doudou autrement avec DouEM

Depuis maintenant plusieurs années, les savoir-faire anciens reviennent à la mode. Pour preuve le tricot qui fait fureur dans la capitale. Emilie Roux a, pour sa part, parié sur le crochet pour séduire (tout) petits et grands.

Le doudou autrement avec DouEM

« Un savoir-faire traditionnel, transmis de génération en génération. » Nulle publicité mensongère ici lorsque Emilie Roux évoque DouEm, toute nouvelle marque imaginée par cette titulaire d’un bac + 4 en biologie. « Rien ne me prédestinait au métier de crochetière, appellation que je lui ai donnée puisqu’il n'était pas répertorié. L’idée de créer DouEm m’est venue lorsque j’étais enceinte. Je fais du crochet depuis l’âge de cinq ans. J’ai appris cela auprès de ma maman, quarante années d’expérience, et de ma grand-mère, soixante-dix années d’expérience. Les napperons, les "carrés de grands-mères", les vêtements... ont laissé la place aux doudous. »

Séduire parents et enfants

DouEm, contraction de Doudou et de Emilie, est une marque créée par l’entreprise Emilie et les doudous en mars 2016. Elle propose des pièces toujours uniques, crochetées main, à destination principalement des enfants. Mais aussi des femmes et de la maison. La confection s’effectue en Saône et Loire, plus précisément à Montceau-les-Mines. « Les débuts n’ont pas été faciles car il a fallu tout mettre en place en même temps entre création, marketing, réseau de vente… J’ai alors décidé de suivre une formation en relation avec la Chambre des métiers. Cela m’a permis de repositionner mon entreprise, de retravailler l’image de mes produits… »

L’occasion de davantage mettre en avant des produits 100 % artisanaux qui jouent la carte de l’authenticité et de la qualité. « Je réalise, au crochet, des doudous en forme de tortue. Mais aussi des accessoires de mode pour femmes entre écharpes et sacs, de différents coloris. Sans oublier des accessoires déco à l’image de tapis et de déco murale. Je peux également créer d’autres pièces sur commande. »

Si Emilie Roux utilise la technique classique du crochet, elle peut y associer d’autres techniques à l’image du crochet tunisien qui nécessite une aiguille à tricoter. Ou le crochet irlandais pour donner du relief. « Pour fabriquer un doudou tortue, il me faut environ deux heures trente. Je peux également faire des escargots, des pingouins, des esquimaux… Certaines créations peuvent être compliquées à réaliser. J’utilise parfois des fils très fins pour les détails. Et il m’arrive de travailler avec une loupe. Pour les doudous, j’utilise des fils en viscose de bambou car c’est très doux au  touché et cela donne une petite brillance qui plait bien aux enfants. »

DouEm fait salon

Afin de faire davantage connaître son entreprise, Emilie Roux a participé et va participer à différents salons. On pense au salon du Made in France les 10, 11 et 12 novembre derniers à Paris, au salon Mode in Bourgogne les 30 novembre, 1 et 2 décembre à Montceau-les-Mines ou encore au marché de Noël de Dijon du 16 au 19 décembre. L’idéal pour développer sa petite entreprise. « Dans les prochaines semaines, je vais proposer des poupées. En 2019, j’espère que mes productions seront en vente dans une boutique en Bretagne. Mais aussi séduire des commerçants en Bourgogne et notamment en Saône et Loire. »

Le doudou autrement avec DouEM

Le doudou autrement avec DouEM

« Un savoir-faire traditionnel, transmis de génération en génération. » Nulle publicité mensongère ici lorsque Emilie Roux évoque DouEm, toute nouvelle marque imaginée par cette titulaire d’un bac + 4 en biologie. « Rien ne me prédestinait au métier de crochetière, appellation que je lui ai donnée puisqu’il n'était pas répertorié. L’idée de créer DouEm m’est venue lorsque j’étais enceinte. Je fais du crochet depuis l’âge de cinq ans. J’ai appris cela auprès de ma maman, quarante années d’expérience, et de ma grand-mère, soixante-dix années d’expérience. Les napperons, les "carrés de grands-mères", les vêtements... ont laissé la place aux doudous. »

Séduire parents et enfants

DouEm, contraction de Doudou et de Emilie, est une marque créée par l’entreprise Emilie et les doudous en mars 2016. Elle propose des pièces toujours uniques, crochetées main, à destination principalement des enfants. Mais aussi des femmes et de la maison. La confection s’effectue en Saône et Loire, plus précisément à Montceau-les-Mines. « Les débuts n’ont pas été faciles car il a fallu tout mettre en place en même temps entre création, marketing, réseau de vente… J’ai alors décidé de suivre une formation en relation avec la Chambre des métiers. Cela m’a permis de repositionner mon entreprise, de retravailler l’image de mes produits… »

L’occasion de davantage mettre en avant des produits 100 % artisanaux qui jouent la carte de l’authenticité et de la qualité. « Je réalise, au crochet, des doudous en forme de tortue. Mais aussi des accessoires de mode pour femmes entre écharpes et sacs, de différents coloris. Sans oublier des accessoires déco à l’image de tapis et de déco murale. Je peux également créer d’autres pièces sur commande. »

Si Emilie Roux utilise la technique classique du crochet, elle peut y associer d’autres techniques à l’image du crochet tunisien qui nécessite une aiguille à tricoter. Ou le crochet irlandais pour donner du relief. « Pour fabriquer un doudou tortue, il me faut environ deux heures trente. Je peux également faire des escargots, des pingouins, des esquimaux… Certaines créations peuvent être compliquées à réaliser. J’utilise parfois des fils très fins pour les détails. Et il m’arrive de travailler avec une loupe. Pour les doudous, j’utilise des fils en viscose de bambou car c’est très doux au  touché et cela donne une petite brillance qui plait bien aux enfants. »

DouEm fait salon

Afin de faire davantage connaître son entreprise, Emilie Roux a participé et va participer à différents salons. On pense au salon du Made in France les 10, 11 et 12 novembre derniers à Paris, au salon Mode in Bourgogne les 30 novembre, 1 et 2 décembre à Montceau-les-Mines ou encore au marché de Noël de Dijon du 16 au 19 décembre. L’idéal pour développer sa petite entreprise. « Dans les prochaines semaines, je vais proposer des poupées. En 2019, j’espère que mes productions seront en vente dans une boutique en Bretagne. Mais aussi séduire des commerçants en Bourgogne et notamment en Saône et Loire. »

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