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Les Films d’Argile

Le fort attachement des Films d’Argile à la Saône-et-Loire

Loin des gros blockbusters américains qui génèrent des millions de dollars de recette, il existe une multitude de petites structures qui sont le cœur même du cinéma français, malgré des moyens plus proches de l’artisanat que de l’industrie. A l’image des Films d’Argile, très attachés à la Saône-et-Loire.

Le fort attachement des Films d’Argile à la Saône-et-Loire

Issus d’une structure associative, les Films d’Argile ont gardé un fort attachement à notre département. Au point de venir y tourner très régulièrement. A l’origine, on trouve deux amis : Chloé Chevalier et Clément Schneider. Etudiants, ils choisissent de créer en 2008 une association de type loi 1901 : Les Films d’Argile basés à Milly-Lamartine. « Nous avions la volonté de nous doter d’un cadre pour pouvoir réaliser nos projets en toute indépendance avec un côté amateur parfaitement assumé. Ce fut le laboratoire de nos premières expériences de cinéastes. Nous y avons balbutié et mis en scène nombre de films avec l’inconscience et la jubilation des novices, pas effrayés par la perspective du long-métrage, absolument libres dans le choix de nos histoires. Il y fut question de la Comtesse de Ségur, de faune, de jeunes filles en fleur et même d’Alphonse de Lamartine. Au fur et à mesure des années, nos gestes sont devenus plus sûrs, notre exigence plus haute, notre désir d’indépendance toujours aussi fort. Nous avons fonctionné comme cela tout au long de nos études ».

Le tournant de 2014

Mais une fois diplômé en 2013, le duo s’interroge sur la suite à donner. Fin 2014 naît la société Les Films d’Argile. « C’était dans la continuité ». Une entreprise qui fonctionne en trio puisque Alice Bégon a rejoint Clément Schneider et Chloé Chevalier au sein d’une structure qui a migré du côté de l’incontournable capitale. « En transformant l’association en société, il ne s’est agi que d’un changement de forme. L’esprit qui nous anime est toujours le même : faire des films, librement, maîtres de nos outils. Simplement, nous savons pouvoir compter sur la complémentarité de nos trois profils ; elle fait notre force et c’est elle qui nous maintient en mouvement ». Pendant que Alice Bégon a plus particulièrement la charge de la production, Chloé Chevalier se consacre davantage aux scénarios et à l’écriture, Clément Schneider s’attelant en priorité à la réalisation. « Nous sommes demeurés très proches de la Saône-et-Loire. A part deux films, nous y avons toujours tourné. Nous souhaitons maintenir le lien qui nous relie à la région ».

Projets en développement

Conscient de ses atouts et de ses limites, le trio avance à son rythme. « Nous travaillons à une échelle modeste, dans un esprit artisanal, avec le souci du travail bien fait ». Et ce, qu'il s'agissse de courts métrages ou de longs métrages, de fictions ou de documentaires. Avec, pour 2020, la certitude de tourner deux courts métrages tout en ayant plusieurs projets en développement.

Le fort attachement des Films d’Argile à la Saône-et-Loire

Le fort attachement des Films d’Argile à la Saône-et-Loire

Issus d’une structure associative, les Films d’Argile ont gardé un fort attachement à notre département. Au point de venir y tourner très régulièrement. A l’origine, on trouve deux amis : Chloé Chevalier et Clément Schneider. Etudiants, ils choisissent de créer en 2008 une association de type loi 1901 : Les Films d’Argile basés à Milly-Lamartine. « Nous avions la volonté de nous doter d’un cadre pour pouvoir réaliser nos projets en toute indépendance avec un côté amateur parfaitement assumé. Ce fut le laboratoire de nos premières expériences de cinéastes. Nous y avons balbutié et mis en scène nombre de films avec l’inconscience et la jubilation des novices, pas effrayés par la perspective du long-métrage, absolument libres dans le choix de nos histoires. Il y fut question de la Comtesse de Ségur, de faune, de jeunes filles en fleur et même d’Alphonse de Lamartine. Au fur et à mesure des années, nos gestes sont devenus plus sûrs, notre exigence plus haute, notre désir d’indépendance toujours aussi fort. Nous avons fonctionné comme cela tout au long de nos études ».

Le tournant de 2014

Mais une fois diplômé en 2013, le duo s’interroge sur la suite à donner. Fin 2014 naît la société Les Films d’Argile. « C’était dans la continuité ». Une entreprise qui fonctionne en trio puisque Alice Bégon a rejoint Clément Schneider et Chloé Chevalier au sein d’une structure qui a migré du côté de l’incontournable capitale. « En transformant l’association en société, il ne s’est agi que d’un changement de forme. L’esprit qui nous anime est toujours le même : faire des films, librement, maîtres de nos outils. Simplement, nous savons pouvoir compter sur la complémentarité de nos trois profils ; elle fait notre force et c’est elle qui nous maintient en mouvement ». Pendant que Alice Bégon a plus particulièrement la charge de la production, Chloé Chevalier se consacre davantage aux scénarios et à l’écriture, Clément Schneider s’attelant en priorité à la réalisation. « Nous sommes demeurés très proches de la Saône-et-Loire. A part deux films, nous y avons toujours tourné. Nous souhaitons maintenir le lien qui nous relie à la région ».

Projets en développement

Conscient de ses atouts et de ses limites, le trio avance à son rythme. « Nous travaillons à une échelle modeste, dans un esprit artisanal, avec le souci du travail bien fait ». Et ce, qu'il s'agissse de courts métrages ou de longs métrages, de fictions ou de documentaires. Avec, pour 2020, la certitude de tourner deux courts métrages tout en ayant plusieurs projets en développement.

Le fort attachement des Films d’Argile à la Saône-et-Loire

Le fort attachement des Films d’Argile à la Saône-et-Loire

Issus d’une structure associative, les Films d’Argile ont gardé un fort attachement à notre département. Au point de venir y tourner très régulièrement. A l’origine, on trouve deux amis : Chloé Chevalier et Clément Schneider. Etudiants, ils choisissent de créer en 2008 une association de type loi 1901 : Les Films d’Argile basés à Milly-Lamartine. « Nous avions la volonté de nous doter d’un cadre pour pouvoir réaliser nos projets en toute indépendance avec un côté amateur parfaitement assumé. Ce fut le laboratoire de nos premières expériences de cinéastes. Nous y avons balbutié et mis en scène nombre de films avec l’inconscience et la jubilation des novices, pas effrayés par la perspective du long-métrage, absolument libres dans le choix de nos histoires. Il y fut question de la Comtesse de Ségur, de faune, de jeunes filles en fleur et même d’Alphonse de Lamartine. Au fur et à mesure des années, nos gestes sont devenus plus sûrs, notre exigence plus haute, notre désir d’indépendance toujours aussi fort. Nous avons fonctionné comme cela tout au long de nos études ».

Le tournant de 2014

Mais une fois diplômé en 2013, le duo s’interroge sur la suite à donner. Fin 2014 naît la société Les Films d’Argile. « C’était dans la continuité ». Une entreprise qui fonctionne en trio puisque Alice Bégon a rejoint Clément Schneider et Chloé Chevalier au sein d’une structure qui a migré du côté de l’incontournable capitale. « En transformant l’association en société, il ne s’est agi que d’un changement de forme. L’esprit qui nous anime est toujours le même : faire des films, librement, maîtres de nos outils. Simplement, nous savons pouvoir compter sur la complémentarité de nos trois profils ; elle fait notre force et c’est elle qui nous maintient en mouvement ». Pendant que Alice Bégon a plus particulièrement la charge de la production, Chloé Chevalier se consacre davantage aux scénarios et à l’écriture, Clément Schneider s’attelant en priorité à la réalisation. « Nous sommes demeurés très proches de la Saône-et-Loire. A part deux films, nous y avons toujours tourné. Nous souhaitons maintenir le lien qui nous relie à la région ».

Projets en développement

Conscient de ses atouts et de ses limites, le trio avance à son rythme. « Nous travaillons à une échelle modeste, dans un esprit artisanal, avec le souci du travail bien fait ». Et ce, qu'il s'agissse de courts métrages ou de longs métrages, de fictions ou de documentaires. Avec, pour 2020, la certitude de tourner deux courts métrages tout en ayant plusieurs projets en développement.

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