Conseil général de Saône-et-Loire
Le premier des redressements
Jeudi dernier, le conseil général de Saône-et-Loire a élu son nouveau
président suite à la nomination d’Arnaud Montebourg en tant que ministre
du Redressement productif. Rémi Chaintron fut élu. L’après-midi,
l’agriculture et la viticulture étaient à l’honneur : Vinipôle Sud
Bourgogne de Davayé, Maison du Charolais à Charolles ou encore
exploitation maraîchère bio à Tournus. Le redressement économique du
pays semble passer obligatoirement par la base des industries et
services, c'est-à-dire le secteur primaire déversant sa compétitivité
sur eux.
président suite à la nomination d’Arnaud Montebourg en tant que ministre
du Redressement productif. Rémi Chaintron fut élu. L’après-midi,
l’agriculture et la viticulture étaient à l’honneur : Vinipôle Sud
Bourgogne de Davayé, Maison du Charolais à Charolles ou encore
exploitation maraîchère bio à Tournus. Le redressement économique du
pays semble passer obligatoirement par la base des industries et
services, c'est-à-dire le secteur primaire déversant sa compétitivité
sur eux.
« C’est maintenant en tant que ministre que je m’adresse à vous tous : nous ne redresserons pas ce pays sans une mobilisation générale, allant des collectivités territoriales aux syndicats en passant par les citoyens. Défendre un emploi, un outil industriel… ». Alors encore président du conseil général, Arnaud Montebourg livrait sa nouvelle mission nationale. Visiblement déçu de ne pouvoir mener à bien les projets lancés, il passait le relais à Rémi Chaintron, maire de Louhans, seul candidat en lice puisque élu 15 jours auparavant par les partisans lors de "primaires" locales à Montret.
Capacité d'autofinancement retrouvée
Le moral semblait au beau fixe. Les finances du département semblent s’être redressées, « remontées à 75 millions € d’épargne, sans diminuer les investissements ». Toujours dans l’opposition départementale mais aussi maintenant nationale, André Accary analysait le "poids" des dernières élections : « pour la première fois, la Gauche et ses "alliés" contrôlent tous les pouvoirs et les responsabilités du national au local ». Signifiant par là que le droit à l’erreur ne sera pas permis au risque sinon de voir le pays sombrer dans une possible situation extrême…
Grands âges = naufrages
Nouvellement élu, Rémy Chaintron rejoignait le "perchoir" et se rappelait ses premières années en saluant notamment « Paul Grandjean, le paysan, l’Humain… » qui l’a formé à son métier d'élu local. Se disant « conscient des espoirs, attentes et exigences » des habitants de Saône-et-Loire, Rémi Chaintron cherchera à être « un président du concret pour toutes et tous » afin de « sortir cette belle endormie de sa léthargie », en parlant de la Saône-et-Loire. D’ailleurs, une de ses priorités semble de réparer les injustices. « Grands âges riment avec naufrages », s'inquiétait-il. Il promettait donc de s’atteler rapidement aux dossiers des retraites agricoles notamment.
Il maintenait au nombre de quinze les vice-présidents. La Commission agricole sera toujours présidée par Christian Gillot, en tant que 6e vice-président. Jean-François Lautissier sera délégué à l’agriculture raisonnée et biologique. Au niveau de la Commission spécialisée agricole, elle est maintenue et voit en plus de MM. Gillot et Lautissier (président), Jean-Paul Diconne (vice-président) et trois autres membres : Cécile Untermaier, Maurice Bénas et Paul Pluchaud.
Capacité d'autofinancement retrouvée
Le moral semblait au beau fixe. Les finances du département semblent s’être redressées, « remontées à 75 millions € d’épargne, sans diminuer les investissements ». Toujours dans l’opposition départementale mais aussi maintenant nationale, André Accary analysait le "poids" des dernières élections : « pour la première fois, la Gauche et ses "alliés" contrôlent tous les pouvoirs et les responsabilités du national au local ». Signifiant par là que le droit à l’erreur ne sera pas permis au risque sinon de voir le pays sombrer dans une possible situation extrême…
Grands âges = naufrages
Nouvellement élu, Rémy Chaintron rejoignait le "perchoir" et se rappelait ses premières années en saluant notamment « Paul Grandjean, le paysan, l’Humain… » qui l’a formé à son métier d'élu local. Se disant « conscient des espoirs, attentes et exigences » des habitants de Saône-et-Loire, Rémi Chaintron cherchera à être « un président du concret pour toutes et tous » afin de « sortir cette belle endormie de sa léthargie », en parlant de la Saône-et-Loire. D’ailleurs, une de ses priorités semble de réparer les injustices. « Grands âges riment avec naufrages », s'inquiétait-il. Il promettait donc de s’atteler rapidement aux dossiers des retraites agricoles notamment.
Il maintenait au nombre de quinze les vice-présidents. La Commission agricole sera toujours présidée par Christian Gillot, en tant que 6e vice-président. Jean-François Lautissier sera délégué à l’agriculture raisonnée et biologique. Au niveau de la Commission spécialisée agricole, elle est maintenue et voit en plus de MM. Gillot et Lautissier (président), Jean-Paul Diconne (vice-président) et trois autres membres : Cécile Untermaier, Maurice Bénas et Paul Pluchaud.