Salon Vins & Saveurs
Les bons conseils de JBC
A Mâcon, l’agence JBC (Jean Bozzi Communication) crée et organise des
salons professionnels et grand public dans toute la Bourgogne. Les producteurs du terroir connaissent déjà le salon Vins &
Saveurs qui se tiendra les 25, 26 et 27 novembre à Chalon-sur-Saône. Le
directeur, Pierre Roux donne quelques conseils pour optimiser sa
visibilité sur les salons.
salons professionnels et grand public dans toute la Bourgogne. Les producteurs du terroir connaissent déjà le salon Vins &
Saveurs qui se tiendra les 25, 26 et 27 novembre à Chalon-sur-Saône. Le
directeur, Pierre Roux donne quelques conseils pour optimiser sa
visibilité sur les salons.
Dès le dossier d’inscription, JBC permet d’être présent dans le catalogue du salon. Ce dernier est largement diffusé en Saône-et-Loire et dans le sud Côte-d’Or. Il constitue un premier outil de promotion.
Un dossier de presse reprenant ces informations est ensuite fourni aux journalistes qui sont également conviés à une conférence de presse. Les journalistes réalisent ensuite des articles, faisant autant de contre valeur publicitaire. Des encarts publicitaires (web, radio, presse, tracts, abribus…) sont également programmés.
Les exposants ont également à leur disposition 200 invitations pour ce salon. C’est là que JBC voit des différences d'attitudes. En comparaison avec les salons Habitat par exemple, « les exposants ont pris l’habitude de communiquer sur leur présence. Ce n’est pas encore le cas pour les viticulteurs qui n’envoient pas systématiquement des invitations à leurs clientèles pour les avertir de leur venue. Est-ce la peur de la concurrence ? », s’interroge Pierre Roux. En charge de l’organisation, Aurélie Girard insiste pourtant sur le fait que « les visiteurs ayant reçu une invitation s’empressent de demander où se trouve le viticulteur qui les a invités pour se rendre directement sur son stand ». Un réflexe commun à tous les salons.
Transmettre votre passion
Même si ce n’est pas le métier premier des producteurs, il est nécessaire de réfléchir à sa démarche commerciale, pour inviter les visiteurs à s’arrêter : sourire, ne pas croiser les bras, être présent… sont le b.a.-ba.
Attention pourtant, toutes les techniques commerciales ne sont pas à utiliser : « les prix cassés ou promotionnels ne marchent plus trop sur les salons. Il faut montrer la qualité, l’authenticité du produit et transmettre votre passion », en faisant découvrir pour vendre.
Autre conseil, ne pas forcément chercher la vente à tout prix mais, bien penser à donner sa carte de visite et prendre les coordonnées des visiteurs pour constituer un ficher de clients à prospecter ou relancer plus tard. Les retombées seront tout aussi satisfaisantes pour les deux parties.
Gagnant-gagnant
« La meilleure des communications est celle de vos produits de qualité. Nous aussi sommes dans cette démarche. On a que des vignerons et pas de négociant. La grande majorité des exposants reviennent (80 % après trois années d’existence). C’est tout cela qui fait la notoriété ». Une notoriété basée sur le gagnant-gagnant.
Il faut environ cinq ans pour installer un salon dans le paysage de l’événementiel. L'affiche ne change pas pour l'heure pour marquer les esprits. Vins & Saveurs vise les 5-6.000 visiteurs annuels à terme.
Six mois avant le salon, le dossier d’inscription est envoyé à tous les viticulteurs de Saône-et-Loire et ceux ayant déjà participé. Venant de toute la France, le salon vise une clientèle locale large en proposant les bonnes adresses du cru et de toutes les appellations françaises. Les saveurs ne sont pas oubliées et les artisans du terroir proposent de nombreux produits alimentaires de qualité. La concurrence entre produits n’est pas trop appuyée puisque les organisateurs limitent les inscriptions à trois-quatre par produits similaires, en ne les mettant jamais en vis-à-vis. Les équipes de JBC font en sorte qu’il n’y ait pas plus de 2-3 viticulteurs par appellation.
Présents pour accueillir et répondre aux attentes des exposants, les organisateurs ne peuvent donner les plans à l’avance. « On doit construire notre salon au dernier moment pour créer une ambiance conviviale, chaleureuse… en évitant la concurrence directe ou les odeurs de cuisine », indélicates pour déguster.
Un dossier de presse reprenant ces informations est ensuite fourni aux journalistes qui sont également conviés à une conférence de presse. Les journalistes réalisent ensuite des articles, faisant autant de contre valeur publicitaire. Des encarts publicitaires (web, radio, presse, tracts, abribus…) sont également programmés.
Les exposants ont également à leur disposition 200 invitations pour ce salon. C’est là que JBC voit des différences d'attitudes. En comparaison avec les salons Habitat par exemple, « les exposants ont pris l’habitude de communiquer sur leur présence. Ce n’est pas encore le cas pour les viticulteurs qui n’envoient pas systématiquement des invitations à leurs clientèles pour les avertir de leur venue. Est-ce la peur de la concurrence ? », s’interroge Pierre Roux. En charge de l’organisation, Aurélie Girard insiste pourtant sur le fait que « les visiteurs ayant reçu une invitation s’empressent de demander où se trouve le viticulteur qui les a invités pour se rendre directement sur son stand ». Un réflexe commun à tous les salons.
Transmettre votre passion
Même si ce n’est pas le métier premier des producteurs, il est nécessaire de réfléchir à sa démarche commerciale, pour inviter les visiteurs à s’arrêter : sourire, ne pas croiser les bras, être présent… sont le b.a.-ba.
Attention pourtant, toutes les techniques commerciales ne sont pas à utiliser : « les prix cassés ou promotionnels ne marchent plus trop sur les salons. Il faut montrer la qualité, l’authenticité du produit et transmettre votre passion », en faisant découvrir pour vendre.
Autre conseil, ne pas forcément chercher la vente à tout prix mais, bien penser à donner sa carte de visite et prendre les coordonnées des visiteurs pour constituer un ficher de clients à prospecter ou relancer plus tard. Les retombées seront tout aussi satisfaisantes pour les deux parties.
Gagnant-gagnant
« La meilleure des communications est celle de vos produits de qualité. Nous aussi sommes dans cette démarche. On a que des vignerons et pas de négociant. La grande majorité des exposants reviennent (80 % après trois années d’existence). C’est tout cela qui fait la notoriété ». Une notoriété basée sur le gagnant-gagnant.
Il faut environ cinq ans pour installer un salon dans le paysage de l’événementiel. L'affiche ne change pas pour l'heure pour marquer les esprits. Vins & Saveurs vise les 5-6.000 visiteurs annuels à terme.
Six mois avant le salon, le dossier d’inscription est envoyé à tous les viticulteurs de Saône-et-Loire et ceux ayant déjà participé. Venant de toute la France, le salon vise une clientèle locale large en proposant les bonnes adresses du cru et de toutes les appellations françaises. Les saveurs ne sont pas oubliées et les artisans du terroir proposent de nombreux produits alimentaires de qualité. La concurrence entre produits n’est pas trop appuyée puisque les organisateurs limitent les inscriptions à trois-quatre par produits similaires, en ne les mettant jamais en vis-à-vis. Les équipes de JBC font en sorte qu’il n’y ait pas plus de 2-3 viticulteurs par appellation.
Présents pour accueillir et répondre aux attentes des exposants, les organisateurs ne peuvent donner les plans à l’avance. « On doit construire notre salon au dernier moment pour créer une ambiance conviviale, chaleureuse… en évitant la concurrence directe ou les odeurs de cuisine », indélicates pour déguster.
