LEGTA Lucie Aubrac de Davayé
Les jeunes s’engagent pour l’avenir
Mardi 12 juin, les élèves des filières S et STAV du lycée Lucie Aubrac à Davayé ont
inauguré trois panneaux installés autour du lycée sur le
thème du paysage. Un exercice pédagogique utile...
inauguré trois panneaux installés autour du lycée sur le
thème du paysage. Un exercice pédagogique utile...
[WEB]Etaient aussi représentés tous les partenaires de ce projet : l'institut de recherche du Val de Saône mâconnais, l’INRA, la chambre d’agriculture, la communauté de commune, le Grand site Solutré, Pouilly, Vergisson ainsi que le maire de Davayé : Michel Du Roure. [/WEB]
Le lycée Lucie Aubrac a relevé le défi proposé par l’IRVSM intitulé Paysage en mouvement, pour l’historien Philippe Gonod (de l’IRVSM) « le discours savant [sur le paysage] n’exclut pas les autres » et les jeunes lycéens ont tout naturellement pu apporter leur point de vue. Leur travail, dont la réalisation graphique a été assurée par Emmanuelle Barbier (infographiste), met en lien les connaissances scientifiques acquises en cours et une confrontation concrète avec le territoire. A la suite de sorties, d’observations, de lecture du paysage et de rencontres avec les acteurs locaux, les élèves ont réalisé cette synthèse à l’intention des promeneurs. Les élèves de première STAV (Sciences et technologie de l'agronomie et du vivant) se sont plus particulièrement penchés sur l’évolution du paysage viticole au cours des saisons [WEB](encadrés par M. Eberhart, enseignant en biologie-écologie)[/WEB]. Les élèves de 2nd générale[WEB], qui en plus des programmes similaires à toutes classes de ce niveau, bénéficient d’une option EATDD (Écologie, Agronomie, Territoire et Développement durable) [/WEB]ont analysé les rôles agronomiques et écologiques des haies. Elu chambre d’agriculture et président du Legta, Robert Martin a salué le travail des élèves et les encourage à continuer : « on a besoin de la biodiversité, nous revoyons nos pratiques afin de la respecter ». [WEB]Régine Boulon (directrice adjointe) et Florent Rouve (chef d’exploitation au lycée) insistent sur la nécessité de travailler sur des projets qui mettent en avant la cohérence des acteurs du territoire « les pratiques durables font partie du projet de l’EPL ». [/WEB]
Les jeunes doivent apprendre aussi à en parler, à l’expliquer d’où la nécessité de ce type d’action.[WEB] Les premières S ont travaillé sur le fonctionnement écologique du site de Solutré, remarquable par sa biodiversité et son histoire. [/WEB]
L’approche est complète « ce travail permet d’aiguiser le regard de l’élève sur les paysages, de mettre en application les connaissances théoriques d’écologie et de biologie ainsi que de se rendre compte des différents acteurs d’un territoire et en particulier celui sur lequel le lycée est implanté : le grand site » explique J. Cretin-Lopez, enseignante en bio-écologie. [WEB]Les filières S et STAV attirent donc les jeunes qui souhaitent faire des études scientifiques, l’accent est mis sur la biologie et l’écologie, le Baccalauréat S permet la poursuite d’études dans des domaines variés, industrie alimentaires et biotechnologiques, gestion forestière, technologies végétales, analyses biologiques, gestion protection de la nature, gestion de l’eau métiers de l’agriculture, mais aussi vers toutes les filières autres traditionnelles de l’enseignement supérieur (université, écoles, prépa, vétérinaire). Le baccalauréat STAV, tout en étant assez proche, permet de former les jeunes à des études plus courtes, de type BTSA, BTS ou IUT. [/WEB]
Ces filières correspondent aux nouveaux enjeux liés à l’environnement et aux attentes des jeunes soucieux d’écologie qui souhaitent une formation puis un métier proche de leurs aspirations.
Le lycée Lucie Aubrac a relevé le défi proposé par l’IRVSM intitulé Paysage en mouvement, pour l’historien Philippe Gonod (de l’IRVSM) « le discours savant [sur le paysage] n’exclut pas les autres » et les jeunes lycéens ont tout naturellement pu apporter leur point de vue. Leur travail, dont la réalisation graphique a été assurée par Emmanuelle Barbier (infographiste), met en lien les connaissances scientifiques acquises en cours et une confrontation concrète avec le territoire. A la suite de sorties, d’observations, de lecture du paysage et de rencontres avec les acteurs locaux, les élèves ont réalisé cette synthèse à l’intention des promeneurs. Les élèves de première STAV (Sciences et technologie de l'agronomie et du vivant) se sont plus particulièrement penchés sur l’évolution du paysage viticole au cours des saisons [WEB](encadrés par M. Eberhart, enseignant en biologie-écologie)[/WEB]. Les élèves de 2nd générale[WEB], qui en plus des programmes similaires à toutes classes de ce niveau, bénéficient d’une option EATDD (Écologie, Agronomie, Territoire et Développement durable) [/WEB]ont analysé les rôles agronomiques et écologiques des haies. Elu chambre d’agriculture et président du Legta, Robert Martin a salué le travail des élèves et les encourage à continuer : « on a besoin de la biodiversité, nous revoyons nos pratiques afin de la respecter ». [WEB]Régine Boulon (directrice adjointe) et Florent Rouve (chef d’exploitation au lycée) insistent sur la nécessité de travailler sur des projets qui mettent en avant la cohérence des acteurs du territoire « les pratiques durables font partie du projet de l’EPL ». [/WEB]
Les jeunes doivent apprendre aussi à en parler, à l’expliquer d’où la nécessité de ce type d’action.[WEB] Les premières S ont travaillé sur le fonctionnement écologique du site de Solutré, remarquable par sa biodiversité et son histoire. [/WEB]
L’approche est complète « ce travail permet d’aiguiser le regard de l’élève sur les paysages, de mettre en application les connaissances théoriques d’écologie et de biologie ainsi que de se rendre compte des différents acteurs d’un territoire et en particulier celui sur lequel le lycée est implanté : le grand site » explique J. Cretin-Lopez, enseignante en bio-écologie. [WEB]Les filières S et STAV attirent donc les jeunes qui souhaitent faire des études scientifiques, l’accent est mis sur la biologie et l’écologie, le Baccalauréat S permet la poursuite d’études dans des domaines variés, industrie alimentaires et biotechnologiques, gestion forestière, technologies végétales, analyses biologiques, gestion protection de la nature, gestion de l’eau métiers de l’agriculture, mais aussi vers toutes les filières autres traditionnelles de l’enseignement supérieur (université, écoles, prépa, vétérinaire). Le baccalauréat STAV, tout en étant assez proche, permet de former les jeunes à des études plus courtes, de type BTSA, BTS ou IUT. [/WEB]
Ces filières correspondent aux nouveaux enjeux liés à l’environnement et aux attentes des jeunes soucieux d’écologie qui souhaitent une formation puis un métier proche de leurs aspirations.