Les promesses faites lors des États généraux de l’alimentation reviennent en boomerang sur le Gouvernement...
Au cours du mois de mai, nous avons eu droit à toute une série d’articles et de documentaires sur le bilan de l’action d’Emmanuel Macron après un an à la tête de l’État.

À l’occasion du démarrage des débats en séance publique du projet de loi issu des États généraux de l’alimentation, ce fut un bilan sur sa politique envers les agriculteurs qui a été tiré. Et il est sévère.
Il est déjà très clair que la "loi pour l’équilibre des relations commerciales dans le secteur agricole et agroalimentaire et une alimentation saine et durable" fait et fera beaucoup de mécontents. Il faut dire que le président de la République et son Gouvernement avaient mis la barre tellement haut en termes d’espoir, voire d’espérance, que la déception des uns et des autres leur revient comme un boomerang !
Tant Stéphane Travert qu’Emmanuel Macron, mais aussi Édouard Philippe, tous trois avaient martelé que les agriculteurs seraient demain payés « au juste prix », que l’inversion de la proposition contractuelle allait tout révolutionner, que les entreprises qui les traiteraient mal seraient mises au pilori avec la mesure "name and shame".
Or plus les débats au Parlement avancent et plus le soufflé retombe. Et cela sans évoquer les revirements dont a fait preuve le député Jean-Baptiste Moreau sur plusieurs de ses amendements… Des revirements inattendus qui ne sont pas là pour rassurer, tant ils laissent un profond sentiment de malaise…
Dès lors que dire des annonces sur le fameux plan de 5 milliards d’€, dont, là aussi, tous les espoirs ont été douchés.
Les promesses faites lors des États généraux de l’alimentation reviennent en boomerang sur le Gouvernement...

À l’occasion du démarrage des débats en séance publique du projet de loi issu des États généraux de l’alimentation, ce fut un bilan sur sa politique envers les agriculteurs qui a été tiré. Et il est sévère.
Il est déjà très clair que la "loi pour l’équilibre des relations commerciales dans le secteur agricole et agroalimentaire et une alimentation saine et durable" fait et fera beaucoup de mécontents. Il faut dire que le président de la République et son Gouvernement avaient mis la barre tellement haut en termes d’espoir, voire d’espérance, que la déception des uns et des autres leur revient comme un boomerang !
Tant Stéphane Travert qu’Emmanuel Macron, mais aussi Édouard Philippe, tous trois avaient martelé que les agriculteurs seraient demain payés « au juste prix », que l’inversion de la proposition contractuelle allait tout révolutionner, que les entreprises qui les traiteraient mal seraient mises au pilori avec la mesure "name and shame".
Or plus les débats au Parlement avancent et plus le soufflé retombe. Et cela sans évoquer les revirements dont a fait preuve le député Jean-Baptiste Moreau sur plusieurs de ses amendements… Des revirements inattendus qui ne sont pas là pour rassurer, tant ils laissent un profond sentiment de malaise…
Dès lors que dire des annonces sur le fameux plan de 5 milliards d’€, dont, là aussi, tous les espoirs ont été douchés.