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Crédit Agricole Centre-Est

Les vœux du Crédit Agricole à ses partenaires économiques

Le Crédit Agricole Centre-Est délégation de Saône-et-Loire a présenté ses traditionnels vœux aux acteurs économiques du département le jeudi 16 janvier dernier à Mâcon. Comme tous les ans, ce fut aussi l’occasion de faire un point sur l’année écoulée et donner les perspectives de celle à venir.

Les vœux du Crédit Agricole à ses partenaires économiques

Difficile de passer outre les contextes géopolitique, écologique et économique actuels instaurant « inquiétudes et incertitudes » comme l’a souligné Jacques Ducerf, le président du Crédit Agricole Centre-Est. Pourtant entre « ces conflits armés dont celui entre les États-Unis et l’Iran dont on ne sait ce qui peut se passer, les conflits sociaux en France, à Hong-Kong, au Chili et ailleurs, la crise écologique », il s’avère que « l’activité économique française est correcte même si elle a connu quelques soubresauts ».

Pas de problème de croissance

Emmanuel Vey a renchéri de son côté : « le niveau de risque en France n’a jamais été aussi bas, malgré quelques faillites retentissantes, le pays ne connaît pas de problème de croissance ». Ainsi le directeur général adjoint a rappelé que l’an passé, alors que « les taux devaient rester bas, ils sont devenus négatifs en cours d’année [...], apportant une pression supplémentaire »... au secteur bancaire. Une situation qui a cependant favorisé les investissements : « 5,7 milliards d’euros de crédit ont été accordés sur Centre-Est, ce qui représente un vrai apport à l’économie du territoire », a-t-il encore souligné. La Saône-et-Loire, elle, n’atteint pas tout a fait le milliard d’euros d’investissement, mais « est en forte progression ». Ces investissements ont tout autant concernés les particuliers que les entreprises de tout secteur.
Emmanuel Vey a par ailleurs rapporté que les prévisions économiques laissent supposer une année 2020 « dans la poursuite de 2019, avec un même niveau de croissance et des taux qui restent bas ».

Les initiatives locales

La banque, qui reste celle d’un habitant sur deux en Saône-et-Loire, est le premier financeur aussi bien au niveau départemental que régional dans les secteurs des particuliers, des professionnels, des agriculteurs, des entreprises et des collectivités locales. De ce fait, chaque agence se doit de mettre en place au minimum deux initiatives locales par an. En 2019, 80 initiatives locales ont été menées. Au-delà du soutien d’associations culturelles, sportives ou autres, il s’agit aussi et surtout de soutenir des actions en faveur de l’emploi, de l’insertion et de la solidarité. À noter également, les Cafés de la création, visant à favoriser l’accompagnement dans la création d’entreprise, l’International business Day se déroulant une fois par an à Lyon et voyant la venue de dizaines d’experts, différentes réunions à destination des dirigeants, le soutien aux actions humanitaires, du mécénat.
Ainsi pour Jacques Ducerf, la banque a « consolidé sa position de force ». Il en a profité pour rappeler les trois projets phare du Crédit Agricole : « viser l’excellence relationnelle avec ses clients », élaborer « un projet humain envers ses collaborateurs et ses administrateurs », « maintenir le lien avec les territoires en continuant de financer des projets environnementaux » notamment.

Le soutien aux exploitants

Parmi les priorités évoquées pour 2020 par Emmanuel Vey au niveau des actions de la banque : « investir dans la digitalisation pour pouvoir répondre plus vite aux demandes des clients » ; « apporter un maximum d’expertises » ; poursuivre la création « des métiers de conseiller accompagnant la création d’entreprise et l’installation/ succession des exploitations agricoles » ; face aux défis climatiques « renforcer les équipes aidant au montages des projets d’énergies renouvelables ».
L’an passé, le Crédit Agricole Centre-Est annonçait le doublement de l’aide départementale de 10.000 euros à la suite de la sécheresse 2018. « Plus de 200 agriculteurs ont sollicité notre aide », détaille Emmanuel Vey. Cependant, la banque souhaite avant tout rencontrer chaque agriculteur en difficulté pour « étudier sa situation au cas par cas, hors de question d’ajouter de la dette à la dette ».

Les vœux du Crédit Agricole à ses partenaires économiques

Les vœux du Crédit Agricole à ses partenaires économiques

Difficile de passer outre les contextes géopolitique, écologique et économique actuels instaurant « inquiétudes et incertitudes » comme l’a souligné Jacques Ducerf, le président du Crédit Agricole Centre-Est. Pourtant entre « ces conflits armés dont celui entre les États-Unis et l’Iran dont on ne sait ce qui peut se passer, les conflits sociaux en France, à Hong-Kong, au Chili et ailleurs, la crise écologique », il s’avère que « l’activité économique française est correcte même si elle a connu quelques soubresauts ».

Pas de problème de croissance

Emmanuel Vey a renchéri de son côté : « le niveau de risque en France n’a jamais été aussi bas, malgré quelques faillites retentissantes, le pays ne connaît pas de problème de croissance ». Ainsi le directeur général adjoint a rappelé que l’an passé, alors que « les taux devaient rester bas, ils sont devenus négatifs en cours d’année [...], apportant une pression supplémentaire »... au secteur bancaire. Une situation qui a cependant favorisé les investissements : « 5,7 milliards d’euros de crédit ont été accordés sur Centre-Est, ce qui représente un vrai apport à l’économie du territoire », a-t-il encore souligné. La Saône-et-Loire, elle, n’atteint pas tout a fait le milliard d’euros d’investissement, mais « est en forte progression ». Ces investissements ont tout autant concernés les particuliers que les entreprises de tout secteur.
Emmanuel Vey a par ailleurs rapporté que les prévisions économiques laissent supposer une année 2020 « dans la poursuite de 2019, avec un même niveau de croissance et des taux qui restent bas ».

Les initiatives locales

La banque, qui reste celle d’un habitant sur deux en Saône-et-Loire, est le premier financeur aussi bien au niveau départemental que régional dans les secteurs des particuliers, des professionnels, des agriculteurs, des entreprises et des collectivités locales. De ce fait, chaque agence se doit de mettre en place au minimum deux initiatives locales par an. En 2019, 80 initiatives locales ont été menées. Au-delà du soutien d’associations culturelles, sportives ou autres, il s’agit aussi et surtout de soutenir des actions en faveur de l’emploi, de l’insertion et de la solidarité. À noter également, les Cafés de la création, visant à favoriser l’accompagnement dans la création d’entreprise, l’International business Day se déroulant une fois par an à Lyon et voyant la venue de dizaines d’experts, différentes réunions à destination des dirigeants, le soutien aux actions humanitaires, du mécénat.
Ainsi pour Jacques Ducerf, la banque a « consolidé sa position de force ». Il en a profité pour rappeler les trois projets phare du Crédit Agricole : « viser l’excellence relationnelle avec ses clients », élaborer « un projet humain envers ses collaborateurs et ses administrateurs », « maintenir le lien avec les territoires en continuant de financer des projets environnementaux » notamment.

Le soutien aux exploitants

Parmi les priorités évoquées pour 2020 par Emmanuel Vey au niveau des actions de la banque : « investir dans la digitalisation pour pouvoir répondre plus vite aux demandes des clients » ; « apporter un maximum d’expertises » ; poursuivre la création « des métiers de conseiller accompagnant la création d’entreprise et l’installation/ succession des exploitations agricoles » ; face aux défis climatiques « renforcer les équipes aidant au montages des projets d’énergies renouvelables ».
L’an passé, le Crédit Agricole Centre-Est annonçait le doublement de l’aide départementale de 10.000 euros à la suite de la sécheresse 2018. « Plus de 200 agriculteurs ont sollicité notre aide », détaille Emmanuel Vey. Cependant, la banque souhaite avant tout rencontrer chaque agriculteur en difficulté pour « étudier sa situation au cas par cas, hors de question d’ajouter de la dette à la dette ».