Accès au contenu
Vente aux enchères de Charolles

Lors de la vente de Charolles, des tarifs raisonnables en dépit de deux records

Trente-sept veaux ont trouvé preneurs à la dernière vente aux enchères de Charolles pour un prix moyen de 4.035 €. Une vente un peu plus animée que l’an dernier, dopée par quelques grosses enchères qui masquent cependant des prix somme toute très raisonnables.

Lors de la vente de Charolles, des tarifs raisonnables en dépit de deux records

Le 27 septembre, l’Association des éleveurs d’Entre Saône et Loire organisait sa traditionnelle vente aux enchères de reproducteurs à Charolles. Soixante-six veaux ont été présentés et, parmi eux, trente-sept ont trouvé preneurs aux enchères à un prix moyen de 4.035 €. En nombre de veaux, c’est mieux que l’an dernier où seulement vingte-quatre des cinquante-deux animaux présentés avaient trouvé preneurs. Mais la moyenne des prix était alors supérieure de 450 €. Le taux de vente se rapproche de celui de la vente nationale, mais avec un nombre d’animaux vendus deux fois plus important : trente-sept à Charolles contre seulement dix-huit à Magny-Cours.

Trente veaux entre 2.600 à 4.600 €

Comme à la vente nationale, la moyenne se trouve rehaussée par quelques très bonnes ventes. Sept veaux ont ainsi dépassé les 5.000 €, dont deux à 10.000 et 14.000 €. Dix-huit - soit une bonne moitié - ont été adjugés de 2.700 à 4.600 € et douze sont partis à la mise à prix de 2.600 €.

Comme de coutume, les tout meilleurs sujets avaient été repérés dès le rassemblement préalable à la vente. Des veaux issus de souches prestigieuses, présentant un potentiel prometteur comme futurs raceurs. C’est le cas du record de prix acheté 14.000 € par Serge Batho de la Nièvre et qui intéressait plusieurs illustres maisons nivernaises… Plus prudents, les sélectionneurs saône-et-loiriens ont préféré investir à plusieurs pour les sujets plus chers. C’est le cas du second record de prix (10.000 €) acquis par trois élevages : le Gaec Vannier, le Gaec de la Condemine et l’élevage Gagnepain-Champenois.

Si les veaux proposés provenaient en grande majorité de Saône-et-Loire, en revanche les acheteurs venaient d’une douzaine de départements différents et même d’Irlande et de Roumanie. Les animaux "sans corne" présentés pour la première fois cette année n’ont pas trouvé preneur aux enchères. A noter que des ventes à l’amiable ont eu lieu à l’issue, augmentant encore la part des animaux vendus.

Lors de la vente de Charolles, des tarifs raisonnables en dépit de deux records

Lors de la vente de Charolles, des tarifs raisonnables en dépit de deux records

Le 27 septembre, l’Association des éleveurs d’Entre Saône et Loire organisait sa traditionnelle vente aux enchères de reproducteurs à Charolles. Soixante-six veaux ont été présentés et, parmi eux, trente-sept ont trouvé preneurs aux enchères à un prix moyen de 4.035 €. En nombre de veaux, c’est mieux que l’an dernier où seulement vingte-quatre des cinquante-deux animaux présentés avaient trouvé preneurs. Mais la moyenne des prix était alors supérieure de 450 €. Le taux de vente se rapproche de celui de la vente nationale, mais avec un nombre d’animaux vendus deux fois plus important : trente-sept à Charolles contre seulement dix-huit à Magny-Cours.

Trente veaux entre 2.600 à 4.600 €

Comme à la vente nationale, la moyenne se trouve rehaussée par quelques très bonnes ventes. Sept veaux ont ainsi dépassé les 5.000 €, dont deux à 10.000 et 14.000 €. Dix-huit - soit une bonne moitié - ont été adjugés de 2.700 à 4.600 € et douze sont partis à la mise à prix de 2.600 €.

Comme de coutume, les tout meilleurs sujets avaient été repérés dès le rassemblement préalable à la vente. Des veaux issus de souches prestigieuses, présentant un potentiel prometteur comme futurs raceurs. C’est le cas du record de prix acheté 14.000 € par Serge Batho de la Nièvre et qui intéressait plusieurs illustres maisons nivernaises… Plus prudents, les sélectionneurs saône-et-loiriens ont préféré investir à plusieurs pour les sujets plus chers. C’est le cas du second record de prix (10.000 €) acquis par trois élevages : le Gaec Vannier, le Gaec de la Condemine et l’élevage Gagnepain-Champenois.

Si les veaux proposés provenaient en grande majorité de Saône-et-Loire, en revanche les acheteurs venaient d’une douzaine de départements différents et même d’Irlande et de Roumanie. Les animaux "sans corne" présentés pour la première fois cette année n’ont pas trouvé preneur aux enchères. A noter que des ventes à l’amiable ont eu lieu à l’issue, augmentant encore la part des animaux vendus.

Images