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Michon-Leblond

Michon-Leblond un quasi-centenaire en pleine forme

Se dirigeant tout doucement vers ses cent ans, l’entreprise Michon-Leblond prouve que l’âge n’est pas un frein mais, au contraire, un atout dans un univers professionnel qui n’a pourtant jamais été aussi concurrentiel.

Michon-Leblond un quasi-centenaire en pleine forme

S’appuyer sur son expérience et sa réputation tout en misant sur de nouveaux marchés à fort potentiel de développement. Tel pourrait être le résumé de la stratégie de l’entreprise Michon-Leblond née en 1922. Car même s’il s’agit sans aucun doute de l’une des plus anciennes sociétés de la cité de Niepce, le dynamisme impulsé par Eric Chevallet, à la tête depuis octobre 2016 de ce véritable emblème chalonnais, a permis à la structure de prendre le bon tournant lors de sa reprise.

Evolution régulière au fil des décennies

A l’origine, Michon-Leblond était une entreprise spécialisée dans la sellerie bourrellerie. Puis, suivant l’évolution du monde agricole, elle a développé la bâche agricole et travaillé le textile. Avant de s’orienter vers la bâche PVC pour les camions et la sellerie automobile. Nouveau changement avec l’arrivée des stores et des bannes. Sans oublier le volet roulant. Et, aujourd’hui, place à une activité au fort potentiel : la menuiserie. « Actuellement, notre activité se décline de la manière suivante. Nous disposons d’une partie sellerie automobile, plutôt utilitaire, avec quelques dérivés. Il s’agit, par exemple, de banquettes pour les cafés, hôtels et restaurants, de sièges pour les dentistes, de selles pour les motos, de tables pour les masseurs et les médecins. Cela représente environ 5 % de notre activité. Nous fabriquons également des sangles et des ceintures par exemple pour le milieu médical. Il y a aussi un travail du textile avec la fabrication de housses de protection pour l’industrie qui représente aussi environ 15 % de notre activité. Nous réparons, en outre, des toiles des auvents et des bannes. Mais notre cœur de métier demeure la pause de stores d’intérieur et d’extérieur, de bannes. Il y aussi la menuiserie fenêtrerie, soit environ 80 % de notre activité. Nous avons comme particularité de réaliser beaucoup de réparations. Nous sommes connus pour notre service après-vente. Il y a, enfin, la confection de bâches pour les remorques et les camions. Sans oublier, pour la viticulture, la réparation de jupes de machines à vendanger ».

Une transmission réussie

Auparavant directeur commercial, Eric Chevallet a soigneusement préparé la reprise de cette entreprise qui compte actuellement neuf personnes. Ainsi, l’une des particularités vient du fait que le cédant, Bertrand Saunier, est demeuré salarié à mi-temps dans la société afin non seulement de permettre une meilleure transition mais aussi de distiller de précieux conseils à un repreneur non-issu du métier. Lequel Eric Chevallet entend affirmer, plus que jamais, les particularismes de Michon-Leblond. « Nous avons la volonté de continuer à être différent. Nous avons pris un vrai virage depuis deux ans en rééquilibrant les activités de l’entreprise ». Laquelle dispose d’une zone de chalandise d’une trentaine de kilomètres autour de Chalon avec une clientèle comptant environ 75 % de particuliers et 25 % d’entreprises et de communes. « Cet équilibre et cette répartition du chiffre d’affaires me va bien ».

Michon-Leblond un quasi-centenaire en pleine forme

Michon-Leblond un quasi-centenaire en pleine forme

S’appuyer sur son expérience et sa réputation tout en misant sur de nouveaux marchés à fort potentiel de développement. Tel pourrait être le résumé de la stratégie de l’entreprise Michon-Leblond née en 1922. Car même s’il s’agit sans aucun doute de l’une des plus anciennes sociétés de la cité de Niepce, le dynamisme impulsé par Eric Chevallet, à la tête depuis octobre 2016 de ce véritable emblème chalonnais, a permis à la structure de prendre le bon tournant lors de sa reprise.

Evolution régulière au fil des décennies

A l’origine, Michon-Leblond était une entreprise spécialisée dans la sellerie bourrellerie. Puis, suivant l’évolution du monde agricole, elle a développé la bâche agricole et travaillé le textile. Avant de s’orienter vers la bâche PVC pour les camions et la sellerie automobile. Nouveau changement avec l’arrivée des stores et des bannes. Sans oublier le volet roulant. Et, aujourd’hui, place à une activité au fort potentiel : la menuiserie. « Actuellement, notre activité se décline de la manière suivante. Nous disposons d’une partie sellerie automobile, plutôt utilitaire, avec quelques dérivés. Il s’agit, par exemple, de banquettes pour les cafés, hôtels et restaurants, de sièges pour les dentistes, de selles pour les motos, de tables pour les masseurs et les médecins. Cela représente environ 5 % de notre activité. Nous fabriquons également des sangles et des ceintures par exemple pour le milieu médical. Il y a aussi un travail du textile avec la fabrication de housses de protection pour l’industrie qui représente aussi environ 15 % de notre activité. Nous réparons, en outre, des toiles des auvents et des bannes. Mais notre cœur de métier demeure la pause de stores d’intérieur et d’extérieur, de bannes. Il y aussi la menuiserie fenêtrerie, soit environ 80 % de notre activité. Nous avons comme particularité de réaliser beaucoup de réparations. Nous sommes connus pour notre service après-vente. Il y a, enfin, la confection de bâches pour les remorques et les camions. Sans oublier, pour la viticulture, la réparation de jupes de machines à vendanger ».

Une transmission réussie

Auparavant directeur commercial, Eric Chevallet a soigneusement préparé la reprise de cette entreprise qui compte actuellement neuf personnes. Ainsi, l’une des particularités vient du fait que le cédant, Bertrand Saunier, est demeuré salarié à mi-temps dans la société afin non seulement de permettre une meilleure transition mais aussi de distiller de précieux conseils à un repreneur non-issu du métier. Lequel Eric Chevallet entend affirmer, plus que jamais, les particularismes de Michon-Leblond. « Nous avons la volonté de continuer à être différent. Nous avons pris un vrai virage depuis deux ans en rééquilibrant les activités de l’entreprise ». Laquelle dispose d’une zone de chalandise d’une trentaine de kilomètres autour de Chalon avec une clientèle comptant environ 75 % de particuliers et 25 % d’entreprises et de communes. « Cet équilibre et cette répartition du chiffre d’affaires me va bien ».

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