Ventes de vins de Bourgogne
Nouveau record en grande distribution
Les consommateurs de la Grande Distribution montent en gamme comme en
témoigne la hausse de 3 % par an du prix moyen des vins français achetés
sur le circuit. Cela profite à la Bourgogne. Le vignoble enregistre une
hausse des ventes de plus de 4 % en volume, alors que les ventes en
volume de vins français stagnent (résultats 12 mois, à fin juin 2013).
Parallèlement, les vins de Bourgogne connaissent une valorisation
modeste à +1,1 %, quand le prix des vins français connaît une hausse
moyenne de plus de 3 % par an.
témoigne la hausse de 3 % par an du prix moyen des vins français achetés
sur le circuit. Cela profite à la Bourgogne. Le vignoble enregistre une
hausse des ventes de plus de 4 % en volume, alors que les ventes en
volume de vins français stagnent (résultats 12 mois, à fin juin 2013).
Parallèlement, les vins de Bourgogne connaissent une valorisation
modeste à +1,1 %, quand le prix des vins français connaît une hausse
moyenne de plus de 3 % par an.
La Bourgogne ne cesse de grignoter des parts de marché sur ce circuit. Pour la première fois, à fin juin 2013, les ventes annuelles de vins tranquilles de Bourgogne en Grande Distribution dépassent les 30 millions de bouteilles (30,7 millions) et les 200 millions d’euros de chiffre d’affaires (+5,8 %).
Quasiment tous les groupes d’AOC progressent, que ce soit en vins rouges (+1,5 % au global) ou en vins blancs (6,2 %).
Sur le marché plus en difficulté des vins effervescents (-1,6 % en volume), le crémant de Bourgogne connaît un ralentissement (-5 %), après 10 ans de croissance. La raison est principalement le manque de disponibilité de l’AOC, conjuguée à une forte demande de l’export.
Conséquence positive, cette appellation, qui reste d’un excellent rapport qualité/prix, continue de se valoriser. Cela correspond au souhait des opérateurs : faire du crémant de Bourgogne l’appellation premium du segment.
Pénurie sur le marché du vrac
A fin de campagne 2012/13 (fin juillet), le volume des transactions viticulture/négoce affiche une baisse de 16 % comparé au volume enregistré sur la campagne précédente.
Les volumes sont inférieurs de 10 % en vins blancs, de 26 % en vins rouges et de 24 % pour les crémants de Bourgogne.
Le millésime 2012, en particulier, affiche un retard de 23 %. Ce résultat est à rapprocher du petit volume de la récolte 2012.
Quasiment tous les groupes d’AOC progressent, que ce soit en vins rouges (+1,5 % au global) ou en vins blancs (6,2 %).
Sur le marché plus en difficulté des vins effervescents (-1,6 % en volume), le crémant de Bourgogne connaît un ralentissement (-5 %), après 10 ans de croissance. La raison est principalement le manque de disponibilité de l’AOC, conjuguée à une forte demande de l’export.
Conséquence positive, cette appellation, qui reste d’un excellent rapport qualité/prix, continue de se valoriser. Cela correspond au souhait des opérateurs : faire du crémant de Bourgogne l’appellation premium du segment.
Pénurie sur le marché du vrac
A fin de campagne 2012/13 (fin juillet), le volume des transactions viticulture/négoce affiche une baisse de 16 % comparé au volume enregistré sur la campagne précédente.
Les volumes sont inférieurs de 10 % en vins blancs, de 26 % en vins rouges et de 24 % pour les crémants de Bourgogne.
Le millésime 2012, en particulier, affiche un retard de 23 %. Ce résultat est à rapprocher du petit volume de la récolte 2012.