Nouvelle administratrice de la FDSEA, Céline Robergeot-Cienki revient sur le pourquoi de son engagement
Céline Robergeot-Cienki n’est pas une inconnue dans le paysage agricole de Saône-et-Loire, elle qui a longtemps été salariée de la chambre d’Agriculture en charge du secteur "Diversification - Vente directe - Agriculture biologique" et y a longtemps animé l’association Terroirs de Saône-et-Loire/Bienvenue à la ferme et le Gabsel.

Pourtant, le cap des quarante ans franchi, elle a engagé une nouvelle vie professionnelle en s’installant en 2013 en hors cadre familial sur la commune de Sologny en viticulture et en élevage ovin, avec un gîte rural, Gîtes de France. Sur l’exploitation, elle emploie un salarié à mi-temps sur une période de l'année, notamment pour les travaux de la vigne. D’emblée, Céline a souhaité organiser l’exploitation dans un objectif de maîtriser sa commercialisation, tant pour les vins que pour la viande d'agneaux, que le tourisme.
Quelques années plus tard, le hasard a voulu que Céline Robergeot-Cienki s’engage à nouveau au sein de Terroirs de Saône-et-Loire, et se retrouve élue à la présidence de l’association, succédant ainsi à cette responsabilité à Martine Ferret. L’objectif en est toujours le même : trouver des opportunités de nouveaux débouchés.
Un lieu d’informations et d’échanges
Son parcours quelque peu atypique lui permet une vision différente des dossiers au sein du conseil d’administration, dont elle a été élue membre au printemps dernier. A ce titre, elle entend amener des débats sur le schéma d'installation alors que, pour elle, « il n'y a pas de schéma tout fait pour s'installer ». Et elle sait de quoi elle parle.
En effet, elle s'est engagée dans cet esprit : « je souhaite faire partager mes connaissances sur les circuits courts, réfléchir à comment se réapproprier la commercialisation de nos produits et la Fédé reste en effet un lieu d'informations et d'échanges ». Et s’informer et échanger, c’est confronter ses idées à celles des autres et ainsi peut-être faire évoluer les mentalités, dans le seul objectif que tous les agriculteurs puissent vivre du fruit de leur travail.
Céline reconnaît que, certes, son engagement aurait pu se porter dans une autre organisation professionnelle agricole, mais « la FDSEA est une structure qui peut pousser efficacement des idées et des dossiers ».
Nouvelle administratrice de la FDSEA, Céline Robergeot-Cienki revient sur le pourquoi de son engagement

Pourtant, le cap des quarante ans franchi, elle a engagé une nouvelle vie professionnelle en s’installant en 2013 en hors cadre familial sur la commune de Sologny en viticulture et en élevage ovin, avec un gîte rural, Gîtes de France. Sur l’exploitation, elle emploie un salarié à mi-temps sur une période de l'année, notamment pour les travaux de la vigne. D’emblée, Céline a souhaité organiser l’exploitation dans un objectif de maîtriser sa commercialisation, tant pour les vins que pour la viande d'agneaux, que le tourisme.
Quelques années plus tard, le hasard a voulu que Céline Robergeot-Cienki s’engage à nouveau au sein de Terroirs de Saône-et-Loire, et se retrouve élue à la présidence de l’association, succédant ainsi à cette responsabilité à Martine Ferret. L’objectif en est toujours le même : trouver des opportunités de nouveaux débouchés.
Un lieu d’informations et d’échanges
Son parcours quelque peu atypique lui permet une vision différente des dossiers au sein du conseil d’administration, dont elle a été élue membre au printemps dernier. A ce titre, elle entend amener des débats sur le schéma d'installation alors que, pour elle, « il n'y a pas de schéma tout fait pour s'installer ». Et elle sait de quoi elle parle.
En effet, elle s'est engagée dans cet esprit : « je souhaite faire partager mes connaissances sur les circuits courts, réfléchir à comment se réapproprier la commercialisation de nos produits et la Fédé reste en effet un lieu d'informations et d'échanges ». Et s’informer et échanger, c’est confronter ses idées à celles des autres et ainsi peut-être faire évoluer les mentalités, dans le seul objectif que tous les agriculteurs puissent vivre du fruit de leur travail.
Céline reconnaît que, certes, son engagement aurait pu se porter dans une autre organisation professionnelle agricole, mais « la FDSEA est une structure qui peut pousser efficacement des idées et des dossiers ».