Cap Protéines
En automne-hiver, les brebis et agneaux peuvent profiter des fourrages offerts par les cultures intermédiaires pièges à nitrate et jouer ainsi le rôle de broyage.
En automne-hiver, les brebis et agneaux peuvent profiter des fourrages offerts par les cultures intermédiaires pièges à nitrate et jouer ainsi le rôle de broyage.
Patron d’une auberge pendant 21 ans, David Lacour est devenu producteur de l’excellente viande d’Agneau Charollais.
A Saint-Didier-sur-Arroux, Artus de Régloix élève en plein-air des agneaux Charmois et des bœufs Angus pour des viandes savoureuses très prisées des restaurateurs.
Suite à des problèmes de diarrhées sur ses petits veaux, Fabien Tissier a entamé une remise en question complète de l’alimentation de ses animaux. Après avoir rétabli l’équilibre de ses rations, l’éleveur s’est mis à rendre son exploitation plus autonome en protéines et en fourrages.
Cinquième édition ce jeudi 22 septembre du salon de l’élevage version Bourgogne du Sud. La coopérative organise en effet cette journée de rencontre tous les deux ans, même si la crise sanitaire est venue perturber l’an passé ce rythme biennal. Près de 400 coopérateurs éleveurs sont venus sur le site du Gaec du grand Coppis à Châtenoy-le-Royal à la rencontre des 65 fournisseurs de la coopérative présents.
La Fédération nationale ovine tient son congrès les 7 et 8 septembre au Puy-en-Velay (Haute-Loire) sur le thème de la Loi Egalim 2. Sa présidente, Michèle Boudoin revient sur les points saillants qui rythment la vie de la Fédération et des éleveurs.
En 2021, la consommation individuelle de viande a continué à s’éroder, selon le bilan annuel de FranceAgriMer. Seule la viande de volaille est en progression. Le porc se maintient grâce à la croissance de la population.
Dans une note de conjoncture publiée le 20 juillet, FranceAgriMer et le ministère de l’Agriculture relèvent que la consommation de viande calculée par bilan repart à la hausse en 2021, alors qu’elle avait diminué en 2020. Par ailleurs, les achats de viande par les ménages diminuent pour retrouver des volumes similaires à 2019, après une nette hausse en 2020.
Le cheptel ovin australien devrait progresser de 5 % cette année. 540.000 téc de viande devraient être produites, soit +8 % sur un an. Mais dans l’Union européenne, la production de viande déclinera cette année.
Jeudi, vendredi et samedi derniers, le Mouton Charollais fêtait son 60e concours national. L’occasion de rendre hommage aux fondateurs de la race et de mesurer tout le chemin parcouru. Dans une ambiance très chaude et conviviale, le succès des ventes aux enchères et la présence d’éleveurs étrangers témoignaient de la bonne santé du Mouton Charollais.
Confronté à des attaques de chiens divagants, Alain Dufour a acquis son premier patou il y a huit ans. Les dégâts de chiens de compagnie ont cessé mais la conduite de deux gros chiens de protection ne s’improvise pas.
Depuis 2010, les agents de la MSA se mobilisent dans les territoires afin d’accompagner les éleveurs en vue de prévenir des risques psychosociaux. Sous l’impulsion de plusieurs caisses régionales, la Caisse centrale de la MSA a décidé de financer une étude sur deux ans afin de mieux rendre compte de l’expérience vécue par les éleveurs soumis à la prédation, la manière dont ils la perçoivent et l’impact sur leur santé. Une étude confiée à l’Inrae, dont en voici les grandes lignes.
« Plantons des haies ! », programme du plan France Relance engagé par l’État, entre dans sa dernière ligne droite en cet été 2022. Ce programme du gouvernement soutient financièrement et administrativement les plantations en terres agricoles depuis juillet 2021. Les structures d’appui retenues pour faire partie du programme accompagnent techniquement les bénéficiaires dans la plantation des haies et d’arbres en intraparcellaires.
Le 21 juillet, le préfet de Saône-et-Loire a réuni les parlementaires et maires concernés du Charolais, les Conseils régionaux et départementaux, la profession agricole, l’Organisme de Sélection du Mouton charollais et la fédération départementale des chasseurs pour faire un point de situation.
La semaine passée a été particulièrement meurtrière pour les troupeaux ovins dans le Charolais. En l’espace de six attaques, les éleveurs dénombrent déjà une cinquantaine de brebis tuées et une vingtaine de blessées. Sans oublier, le traumatisme pour les survivantes. Autant dire que la colère et l’incompréhension sont grandes sur le terrain. Heureusement, la solidarité joue à plein.
Depuis le 8 juillet, des troupeaux d’ovins du Charolais ont été attaqués à 4 reprises par un grand prédateur, sur les communes de Charolles et Champlecy. On dénombre 11 ovins tués et 9 blessés.
Les éleveurs de Moutons Charollais s’apprêtent à exporter 260 agnelles et 13 béliers en Slovaquie.
Les négociations entre l’Union européenne et la Nouvelle-Zélande, entamées depuis 2018, se sont subitement accélérées et ont été finalisées par un accord le 30 juin. Une décision qui passe très mal auprès des agriculteurs français, éleveurs en tête.
En 2021, l’Association Charolais Label Rouge a connu une nouvelle année record en termes de volume de bovins commercialisés. Portée par cet élan, l’ACLR aimerait faire encore mieux. Cela passera par une promotion plus ambitieuse et un accompagnement renforcé des distributeurs.