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Vins de Bourgogne

Bourgogne : la filière viticole renforce son arsenal face aux canicules et à la réduction des phytosanitaires

Le Comité Bourgogne (ex-BIVB) obtient près de 700.000 euros de fonds publics pour piloter deux programmes stratégiques : Parsada et Cap-2050. Objectif : préserver la compétitivité et la durabilité du vignoble à l’heure où le climat et la réglementation bousculent les équilibres.

Par Cédric Michelin
Face aux canicules récurrentes et à la réduction des phytosanitaires, le Comité Bourgogne (ex-BIVB) lance deux programmes structurants — Parsada et Cap-2050 — cofinancés par l’État et FranceAgriMer, pour près de 700 000 €, afin de sécuriser compétitivité et durabilité du vignoble à l’horizon 2050.
Face aux canicules récurrentes et à la réduction des phytosanitaires, le Comité Bourgogne (ex-BIVB) lance deux programmes structurants — Parsada et Cap-2050 — cofinancés par l’État et FranceAgriMer, pour près de 700 000 €, afin de sécuriser compétitivité et durabilité du vignoble à l’horizon 2050.

Alors que les épisodes caniculaires et l’interdiction (sans solution) des phytosanitaires s’enchaînent, le Comité Bourgogne (BIVB) a annoncé — le 6 octobre à Beaune — le lancement de deux programmes majeurs, Parsada et Cap-2050, cofinancés par le ministère de l’Agriculture et FranceAgriMer. Ensemble, ils représentent près de 700.000 euros de fonds publics destinés à structurer une réponse collective et durable aux défis de la décennie à venir. « Les attentes sociétales sur l’utilisation des produits phytosanitaires et les impacts du changement climatique sont les deux grands enjeux de la filière bourguignonne. Ces deux programmes visent à outiller durablement les entreprises pour y répondre », résume Frédéric Barnier, président de la Commission Technique et Innovation au Comité Bourgogne. Repenser la protection du vignoble Lancé dans le cadre du plan gouvernemental de 146 millions d’euros déploy&e...

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