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Demat’vin

Plus d’intelligence économique avec Demat’vin

Le BIVB travaille avec la profession pour que les revendications de récolte, dès 2018, « rebondissent » dans Demat’Vin. L’objectif est toujours de simplifier les démarches même entre organismes différents. Mais cela doit également permettre une gestion « plus réactive et intelligente » des données économiques.

Par Publié par Cédric Michelin
Plus d’intelligence économique avec Demat’vin

À travers Demat’Vin, les opérateurs de Bourgogne ont accès à leurs contrats BIVB. Ils sont enregistrés dans un autre module de l’extranet. Ces informations sont transmises automatiquement. Cela permet de ne pas avoir à les ressaisir. Le programme de Demat’Vin calcule l’équilibre des comptes. « Un vigneron ne peut pas sortir un produit qu’il n’a pas », prend en exemple Philippe Longepierre, directeur du Pôle Marché & Développement du BIVB. Une alerte dans l’outil avertit l’internaute sinon.

Vérifier avant de déclarer

D’ailleurs, sur le site web de Demat’Vin un bouton permet de « contrôler ma DRM ». Une routine qui permet de savoir « si tout est au vert » avant de réellement valider pour envoyer vers ProDouane-Ciel. Sinon, les erreurs peuvent être avant corrigés en repérant les lignes indiquées. « Malgré tout, si il advient des erreurs, il est convenu avec les Douanes que les vignerons puissent faire leurs modifications sur la prochaine DRM ». Un droit à l’erreur bien pratique en somme. Demat’Vin est donc un outil « adapté aux pratiques terrains et la nouvelle DRM nationale » et qui permet une vérification avant d’envoyer les données automatiquement à Ciel servant à l’administration fiscale.

Réagir plus vite côté ODG

Le BIVB voit plus loin en termes d’avantage pour l’ensemble des professionnels de la filière. En étant ainsi "en amont" des informations douanières, les élus professionnels de l'interprofession vont « sécuriser leurs données économiques ». La commission Marchés & Développement du BIVB compte bien s’en servir pour gagner deux mois sur les suivis économiques de la Bourgogne. Presque en « instantanée ». « Quand il y aura des difficultés économiques au sein d’une AOC, on le verra tout de suite et on pourra proposer un accompagnement. Et non plus une fois celles-ci passées ou trop tard pour proposer des solutions ».

De quoi donner aussi plus « d’intelligence économique de ces données comptables ». Le BIVB cite l’exemple le fait d'être en mesure, demain, d’étudier, par appellation, les réalités des volumes exportés en Europe (cinq pays principaux), vers les pays tiers (cinq pays principaux pour la Bourgogne) ou même en France.

Les sorties et les stocks des négoces

Autre nouveauté introduite par cette dématérialisation des DRM, les maisons de négoces sont partie prenante. Chaque maison de négoces utilisera Demat’Vin pour transmettre par AOC sa DRM à Ciel. Le BIVB pourra ainsi proposer à la filière, viticulteur et négoce, des indicateurs économiques sur la totalité des volumes sortis et en stocks des AOC de la Bourgogne. Une réclamation de longue date de la famille viticulture.

Un viticulteur ayant aussi une activité de négoce aura un identifiant d’entrepositaire agréé, soit donc un autre accès à Demat’Vin, avec des entrées achats qu’un "simple" viticulteur ne peut pas faire.

Plus d’intelligence économique avec Demat’vin

Plus d’intelligence économique avec Demat’vin

À travers Demat’Vin, les opérateurs de Bourgogne ont accès à leurs contrats BIVB. Ils sont enregistrés dans un autre module de l’extranet. Ces informations sont transmises automatiquement. Cela permet de ne pas avoir à les ressaisir. Le programme de Demat’Vin calcule l’équilibre des comptes. « Un vigneron ne peut pas sortir un produit qu’il n’a pas », prend en exemple Philippe Longepierre, directeur du Pôle Marché & Développement du BIVB. Une alerte dans l’outil avertit l’internaute sinon.

Vérifier avant de déclarer

D’ailleurs, sur le site web de Demat’Vin un bouton permet de « contrôler ma DRM ». Une routine qui permet de savoir « si tout est au vert » avant de réellement valider pour envoyer vers ProDouane-Ciel. Sinon, les erreurs peuvent être avant corrigés en repérant les lignes indiquées. « Malgré tout, si il advient des erreurs, il est convenu avec les Douanes que les vignerons puissent faire leurs modifications sur la prochaine DRM ». Un droit à l’erreur bien pratique en somme. Demat’Vin est donc un outil « adapté aux pratiques terrains et la nouvelle DRM nationale » et qui permet une vérification avant d’envoyer les données automatiquement à Ciel servant à l’administration fiscale.

Réagir plus vite côté ODG

Le BIVB voit plus loin en termes d’avantage pour l’ensemble des professionnels de la filière. En étant ainsi "en amont" des informations douanières, les élus professionnels de l'interprofession vont « sécuriser leurs données économiques ». La commission Marchés & Développement du BIVB compte bien s’en servir pour gagner deux mois sur les suivis économiques de la Bourgogne. Presque en « instantanée ». « Quand il y aura des difficultés économiques au sein d’une AOC, on le verra tout de suite et on pourra proposer un accompagnement. Et non plus une fois celles-ci passées ou trop tard pour proposer des solutions ».

De quoi donner aussi plus « d’intelligence économique de ces données comptables ». Le BIVB cite l’exemple le fait d'être en mesure, demain, d’étudier, par appellation, les réalités des volumes exportés en Europe (cinq pays principaux), vers les pays tiers (cinq pays principaux pour la Bourgogne) ou même en France.

Les sorties et les stocks des négoces

Autre nouveauté introduite par cette dématérialisation des DRM, les maisons de négoces sont partie prenante. Chaque maison de négoces utilisera Demat’Vin pour transmettre par AOC sa DRM à Ciel. Le BIVB pourra ainsi proposer à la filière, viticulteur et négoce, des indicateurs économiques sur la totalité des volumes sortis et en stocks des AOC de la Bourgogne. Une réclamation de longue date de la famille viticulture.

Un viticulteur ayant aussi une activité de négoce aura un identifiant d’entrepositaire agréé, soit donc un autre accès à Demat’Vin, avec des entrées achats qu’un "simple" viticulteur ne peut pas faire.

Plus d’intelligence économique avec Demat’vin

Plus d’intelligence économique avec Demat’vin

À travers Demat’Vin, les opérateurs de Bourgogne ont accès à leurs contrats BIVB. Ils sont enregistrés dans un autre module de l’extranet. Ces informations sont transmises automatiquement. Cela permet de ne pas avoir à les ressaisir. Le programme de Demat’Vin calcule l’équilibre des comptes. « Un vigneron ne peut pas sortir un produit qu’il n’a pas », prend en exemple Philippe Longepierre, directeur du Pôle Marché & Développement du BIVB. Une alerte dans l’outil avertit l’internaute sinon.

Vérifier avant de déclarer

D’ailleurs, sur le site web de Demat’Vin un bouton permet de « contrôler ma DRM ». Une routine qui permet de savoir « si tout est au vert » avant de réellement valider pour envoyer vers ProDouane-Ciel. Sinon, les erreurs peuvent être avant corrigés en repérant les lignes indiquées. « Malgré tout, si il advient des erreurs, il est convenu avec les Douanes que les vignerons puissent faire leurs modifications sur la prochaine DRM ». Un droit à l’erreur bien pratique en somme. Demat’Vin est donc un outil « adapté aux pratiques terrains et la nouvelle DRM nationale » et qui permet une vérification avant d’envoyer les données automatiquement à Ciel servant à l’administration fiscale.

Réagir plus vite côté ODG

Le BIVB voit plus loin en termes d’avantage pour l’ensemble des professionnels de la filière. En étant ainsi "en amont" des informations douanières, les élus professionnels de l'interprofession vont « sécuriser leurs données économiques ». La commission Marchés & Développement du BIVB compte bien s’en servir pour gagner deux mois sur les suivis économiques de la Bourgogne. Presque en « instantanée ». « Quand il y aura des difficultés économiques au sein d’une AOC, on le verra tout de suite et on pourra proposer un accompagnement. Et non plus une fois celles-ci passées ou trop tard pour proposer des solutions ».

De quoi donner aussi plus « d’intelligence économique de ces données comptables ». Le BIVB cite l’exemple le fait d'être en mesure, demain, d’étudier, par appellation, les réalités des volumes exportés en Europe (cinq pays principaux), vers les pays tiers (cinq pays principaux pour la Bourgogne) ou même en France.

Les sorties et les stocks des négoces

Autre nouveauté introduite par cette dématérialisation des DRM, les maisons de négoces sont partie prenante. Chaque maison de négoces utilisera Demat’Vin pour transmettre par AOC sa DRM à Ciel. Le BIVB pourra ainsi proposer à la filière, viticulteur et négoce, des indicateurs économiques sur la totalité des volumes sortis et en stocks des AOC de la Bourgogne. Une réclamation de longue date de la famille viticulture.

Un viticulteur ayant aussi une activité de négoce aura un identifiant d’entrepositaire agréé, soit donc un autre accès à Demat’Vin, avec des entrées achats qu’un "simple" viticulteur ne peut pas faire.

Plus d’intelligence économique avec Demat’vin

Plus d’intelligence économique avec Demat’vin

À travers Demat’Vin, les opérateurs de Bourgogne ont accès à leurs contrats BIVB. Ils sont enregistrés dans un autre module de l’extranet. Ces informations sont transmises automatiquement. Cela permet de ne pas avoir à les ressaisir. Le programme de Demat’Vin calcule l’équilibre des comptes. « Un vigneron ne peut pas sortir un produit qu’il n’a pas », prend en exemple Philippe Longepierre, directeur du Pôle Marché & Développement du BIVB. Une alerte dans l’outil avertit l’internaute sinon.

Vérifier avant de déclarer

D’ailleurs, sur le site web de Demat’Vin un bouton permet de « contrôler ma DRM ». Une routine qui permet de savoir « si tout est au vert » avant de réellement valider pour envoyer vers ProDouane-Ciel. Sinon, les erreurs peuvent être avant corrigés en repérant les lignes indiquées. « Malgré tout, si il advient des erreurs, il est convenu avec les Douanes que les vignerons puissent faire leurs modifications sur la prochaine DRM ». Un droit à l’erreur bien pratique en somme. Demat’Vin est donc un outil « adapté aux pratiques terrains et la nouvelle DRM nationale » et qui permet une vérification avant d’envoyer les données automatiquement à Ciel servant à l’administration fiscale.

Réagir plus vite côté ODG

Le BIVB voit plus loin en termes d’avantage pour l’ensemble des professionnels de la filière. En étant ainsi "en amont" des informations douanières, les élus professionnels de l'interprofession vont « sécuriser leurs données économiques ». La commission Marchés & Développement du BIVB compte bien s’en servir pour gagner deux mois sur les suivis économiques de la Bourgogne. Presque en « instantanée ». « Quand il y aura des difficultés économiques au sein d’une AOC, on le verra tout de suite et on pourra proposer un accompagnement. Et non plus une fois celles-ci passées ou trop tard pour proposer des solutions ».

De quoi donner aussi plus « d’intelligence économique de ces données comptables ». Le BIVB cite l’exemple le fait d'être en mesure, demain, d’étudier, par appellation, les réalités des volumes exportés en Europe (cinq pays principaux), vers les pays tiers (cinq pays principaux pour la Bourgogne) ou même en France.

Les sorties et les stocks des négoces

Autre nouveauté introduite par cette dématérialisation des DRM, les maisons de négoces sont partie prenante. Chaque maison de négoces utilisera Demat’Vin pour transmettre par AOC sa DRM à Ciel. Le BIVB pourra ainsi proposer à la filière, viticulteur et négoce, des indicateurs économiques sur la totalité des volumes sortis et en stocks des AOC de la Bourgogne. Une réclamation de longue date de la famille viticulture.

Un viticulteur ayant aussi une activité de négoce aura un identifiant d’entrepositaire agréé, soit donc un autre accès à Demat’Vin, avec des entrées achats qu’un "simple" viticulteur ne peut pas faire.