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Projet d’accord avec le Mercosur

Plus que jamais le projet d’accord de libre-échange avec le Mercosur inquiète le monde agricole, notamment celui de l'élevage

Alors que se tenait une nouvelle session de négociations entre l’Union européenne et le Mercosur, les organisations agricoles européennes ont rappelé leur opposition farouche à toute concession supplémentaire pour les produits sensibles et demandé l’examen « rapide » des résultats de la récente mission parlementaire consacrée à la situation sanitaire du secteur brésilien de la viande.

Plus que jamais le projet d’accord de libre-échange avec le Mercosur inquiète le monde agricole, notamment celui de l'élevage

Le 24 avril, les organisations et coopératives agricoles de l’UE (Copa-Cogeca) ont appelé les négociateurs de la Commission européenne, qui allaient entamer le lendemain une nouvelle session de pourparlers avec les représentants du Mercosur, à « n’accorder aucune concession supplémentaire sur des produits agricoles sensibles en échange de gains dans d’autres secteurs économiques ».

« La majorité des importations européennes de viande bovine, de sucre, de riz, d’éthanol, de volaille et de jus d’orange provient déjà de ces pays (Argentine, Brésil, Paraguay, Uruguay) », soulignent-elles, estimant que l’offre actuelle pour ces produits « est déjà totalement irréaliste et menace gravement le secteur agricole de toute l’Union européenne ».

Sûreté alimentaire : le Brésil suscite l’inquiétude

Le Copa-Cogeca a déclaré par ailleurs « soutenir pleinement » la décision du 19 avril visant à interdire les importations de viande en provenance de vingt établissements brésiliens de viande, de volailles principalement, compte tenu des graves « déficiences détectées » dans le système de contrôle officiel du pays. Il réclame aussi « l’examen rapide » des résultats de la mission d’eurodéputés partie au Brésil début avril pour examiner la situation du secteur de la viande au Brésil.

Les constats des parlementaires ont été présentés au groupe de travail viande bovine du Copa-Cogeca par l’un des membres de cette mission, le Français Michel Dantin. Lire à ce sujet notre édition du 20 avril en page 7.

Plus que jamais le projet d’accord de libre-échange avec le Mercosur inquiète le monde agricole, notamment celui de l'élevage

Plus que jamais le projet d’accord de libre-échange avec le Mercosur inquiète le monde agricole, notamment celui de l'élevage

Le 24 avril, les organisations et coopératives agricoles de l’UE (Copa-Cogeca) ont appelé les négociateurs de la Commission européenne, qui allaient entamer le lendemain une nouvelle session de pourparlers avec les représentants du Mercosur, à « n’accorder aucune concession supplémentaire sur des produits agricoles sensibles en échange de gains dans d’autres secteurs économiques ».

« La majorité des importations européennes de viande bovine, de sucre, de riz, d’éthanol, de volaille et de jus d’orange provient déjà de ces pays (Argentine, Brésil, Paraguay, Uruguay) », soulignent-elles, estimant que l’offre actuelle pour ces produits « est déjà totalement irréaliste et menace gravement le secteur agricole de toute l’Union européenne ».

Sûreté alimentaire : le Brésil suscite l’inquiétude

Le Copa-Cogeca a déclaré par ailleurs « soutenir pleinement » la décision du 19 avril visant à interdire les importations de viande en provenance de vingt établissements brésiliens de viande, de volailles principalement, compte tenu des graves « déficiences détectées » dans le système de contrôle officiel du pays. Il réclame aussi « l’examen rapide » des résultats de la mission d’eurodéputés partie au Brésil début avril pour examiner la situation du secteur de la viande au Brésil.

Les constats des parlementaires ont été présentés au groupe de travail viande bovine du Copa-Cogeca par l’un des membres de cette mission, le Français Michel Dantin. Lire à ce sujet notre édition du 20 avril en page 7.

Plus que jamais le projet d’accord de libre-échange avec le Mercosur inquiète le monde agricole, notamment celui de l'élevage

Plus que jamais le projet d’accord de libre-échange avec le Mercosur inquiète le monde agricole, notamment celui de l'élevage

Le 24 avril, les organisations et coopératives agricoles de l’UE (Copa-Cogeca) ont appelé les négociateurs de la Commission européenne, qui allaient entamer le lendemain une nouvelle session de pourparlers avec les représentants du Mercosur, à « n’accorder aucune concession supplémentaire sur des produits agricoles sensibles en échange de gains dans d’autres secteurs économiques ».

« La majorité des importations européennes de viande bovine, de sucre, de riz, d’éthanol, de volaille et de jus d’orange provient déjà de ces pays (Argentine, Brésil, Paraguay, Uruguay) », soulignent-elles, estimant que l’offre actuelle pour ces produits « est déjà totalement irréaliste et menace gravement le secteur agricole de toute l’Union européenne ».

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Le Copa-Cogeca a déclaré par ailleurs « soutenir pleinement » la décision du 19 avril visant à interdire les importations de viande en provenance de vingt établissements brésiliens de viande, de volailles principalement, compte tenu des graves « déficiences détectées » dans le système de contrôle officiel du pays. Il réclame aussi « l’examen rapide » des résultats de la mission d’eurodéputés partie au Brésil début avril pour examiner la situation du secteur de la viande au Brésil.

Les constats des parlementaires ont été présentés au groupe de travail viande bovine du Copa-Cogeca par l’un des membres de cette mission, le Français Michel Dantin. Lire à ce sujet notre édition du 20 avril en page 7.

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Le 24 avril, les organisations et coopératives agricoles de l’UE (Copa-Cogeca) ont appelé les négociateurs de la Commission européenne, qui allaient entamer le lendemain une nouvelle session de pourparlers avec les représentants du Mercosur, à « n’accorder aucune concession supplémentaire sur des produits agricoles sensibles en échange de gains dans d’autres secteurs économiques ».

« La majorité des importations européennes de viande bovine, de sucre, de riz, d’éthanol, de volaille et de jus d’orange provient déjà de ces pays (Argentine, Brésil, Paraguay, Uruguay) », soulignent-elles, estimant que l’offre actuelle pour ces produits « est déjà totalement irréaliste et menace gravement le secteur agricole de toute l’Union européenne ».

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Le Copa-Cogeca a déclaré par ailleurs « soutenir pleinement » la décision du 19 avril visant à interdire les importations de viande en provenance de vingt établissements brésiliens de viande, de volailles principalement, compte tenu des graves « déficiences détectées » dans le système de contrôle officiel du pays. Il réclame aussi « l’examen rapide » des résultats de la mission d’eurodéputés partie au Brésil début avril pour examiner la situation du secteur de la viande au Brésil.

Les constats des parlementaires ont été présentés au groupe de travail viande bovine du Copa-Cogeca par l’un des membres de cette mission, le Français Michel Dantin. Lire à ce sujet notre édition du 20 avril en page 7.