Pour Christiane Lambert, présidente de la FNSEA, « Voter, c’est participer au débat » redit-elle à propos des élections aux Chambres d’agriculture
Christiane Lambert, présidente de la FNSEA, rappelle l’importance de voter pour une représentation forte de la voix des agriculteurs auprès des pouvoirs publics. Interview.

Quel message portez-vous pour les élections aux Chambres d’agriculture ?
Christiane Lambert : Nous avons lançé les listes FNSEA/JA pour les élections aux Chambres d’agriculture dans tous les départements français. Ce sont plus de 2.600 agricultrices et agriculteurs qui ont accepté de s’engager pour porter notre message. Je salue leur engagement et leur dévouement au service de leurs collègues et de leur territoire. C’est la preuve du dynamisme de notre réseau qui reste convaincu de la nécessité de prendre son avenir en main. En portant ce projet, ils veulent redonner de l’espoir aux agriculteurs, en cette période troublée.
Pourquoi est-il important que les agriculteurs votent ?
C.L : L’engagement de ces responsables est un appel à la confiance des agriculteurs que nous invitons à voter nombreux pour notre projet. La participation est importante. Nous sommes une profession qui est très civique et qui vote plus que la moyenne. Voter c’est participer, participer au débat. Au moment où le rôle des corps intermédiaires est enfin reconnu comme indispensable à la représentation organisationnelle et au dialogue social constructif la force du syndicalisme majoritaire doit être confortée. Ainsi nous resterons interlocuteur privilégié du pouvoir politique et des administrations à tous les échelons. Plus que jamais l’enjeu de représentation est capital.
Quelle est la plus-value du projet FNSEA/JA ?
C.L : Notre projet se distingue par son ambition offensive pour une agriculture compétitive, durable et résiliente, seule voie possible dans un monde qui bouge dans tous les domaines. Voter et faire voter, c’est montrer que l’on croit en l’action et au projet porté par l’équipe FNSEA/JA.
En quoi le projet JA+FNSEA répond-il aux attentes des agriculteurs ?
C.L : Notre projet n’a qu’une finalité : permettre aux agriculteurs de vivre dignement de leur métier. Les défis qui nous attendent sont nombreux : une Europe instable, un climat politique difficile, des territoires ruraux qui se sentent abandonnés, déclassés, des aléas climatiques et économiques de plus en plus brutaux et des agriculteurs qui doutent dans un contexte d’agribashing exacerbé. Le projet JA+FNSEA dessine un avenir ambitieux pour l’agriculture française dans lequel chacun aura sa place car nous faisons le choix du pragmatisme, avec des mesures adaptées à la réalité des exploitations et visant à gagner le combat d’une rémunération digne pour les agriculteurs. En défendant une agriculture attractive, de progrès au cœur du projet européen et ouverte sur le monde, nous créons les conditions pour ramener du revenu dans les exploitations et renforcer leur compétitivité. Il est essentiel que les agriculteurs retrouvent le goût d’entreprendre en s’impliquant dans des projets individuels ou collectifs car là où il y a des projets il y a des territoires vivants. Notre ambition est d’œuvrer à la reconnaissance du métier, bien trop souvent décrié alors qu’il représente une fierté et une passion pour tous ceux qui l’exercent. Notre projet apporte les réponses que les agriculteurs attendent en matière technique, économique et fiscale et ouvrent de nouvelles perspectives.
Pourquoi voter pour JA+FNSEA c’est voter pour le renouveau ?
C.L : Eclairer l’avenir, faire émerger des projets et des innovations, moderniser nos pratiques et nos entreprises, c’est l’ADN du syndicalisme JA+FNSEA. S’investir, porter la voix des agriculteurs, animer le dialogue social, et trouver des compromis avec l’ensemble des parties prenantes qui nous entourent, c’est un choix difficile, mais lucide et courageux. C’est ce qu’on attend d’un syndicat responsable. Le syndicalisme majoritaire a prouvé d’années en années sa capacité à mobiliser, à proposer et à défendre l’agriculture française et nous continuerons à le faire. Le renouveau, cela ne se décrète pas, cela se mesure. Pour ce scrutin, près de la moitié des 2.600 candidats JA+FNSEA se présentent pour la première fois. Cela témoigne de la capacité de nos réseaux à se renouveler, à évoluer, notamment grâce aux Jeunes Agriculteurs. Cela prouve également que nous savons rester attractifs. Une attractivité que l’on doit beaucoup aux équipes départementales qui travaillent au plus proche des préoccupations des agriculteurs. Nous avons à cœur de porter une vision collective moderne et d’accompagner le plus grand nombre d’agriculteurs dans des projets individuels et collectifs pour plus de réussite, de revenu et d’enthousiasme. C’est ainsi que nous attirons de nouveaux jeunes vers nos métiers.
Pour Christiane Lambert, présidente de la FNSEA, « Voter, c’est participer au débat » redit-elle à propos des élections aux Chambres d’agriculture

Quel message portez-vous pour les élections aux Chambres d’agriculture ?
Christiane Lambert : Nous avons lançé les listes FNSEA/JA pour les élections aux Chambres d’agriculture dans tous les départements français. Ce sont plus de 2.600 agricultrices et agriculteurs qui ont accepté de s’engager pour porter notre message. Je salue leur engagement et leur dévouement au service de leurs collègues et de leur territoire. C’est la preuve du dynamisme de notre réseau qui reste convaincu de la nécessité de prendre son avenir en main. En portant ce projet, ils veulent redonner de l’espoir aux agriculteurs, en cette période troublée.
Pourquoi est-il important que les agriculteurs votent ?
C.L : L’engagement de ces responsables est un appel à la confiance des agriculteurs que nous invitons à voter nombreux pour notre projet. La participation est importante. Nous sommes une profession qui est très civique et qui vote plus que la moyenne. Voter c’est participer, participer au débat. Au moment où le rôle des corps intermédiaires est enfin reconnu comme indispensable à la représentation organisationnelle et au dialogue social constructif la force du syndicalisme majoritaire doit être confortée. Ainsi nous resterons interlocuteur privilégié du pouvoir politique et des administrations à tous les échelons. Plus que jamais l’enjeu de représentation est capital.
Quelle est la plus-value du projet FNSEA/JA ?
C.L : Notre projet se distingue par son ambition offensive pour une agriculture compétitive, durable et résiliente, seule voie possible dans un monde qui bouge dans tous les domaines. Voter et faire voter, c’est montrer que l’on croit en l’action et au projet porté par l’équipe FNSEA/JA.
En quoi le projet JA+FNSEA répond-il aux attentes des agriculteurs ?
C.L : Notre projet n’a qu’une finalité : permettre aux agriculteurs de vivre dignement de leur métier. Les défis qui nous attendent sont nombreux : une Europe instable, un climat politique difficile, des territoires ruraux qui se sentent abandonnés, déclassés, des aléas climatiques et économiques de plus en plus brutaux et des agriculteurs qui doutent dans un contexte d’agribashing exacerbé. Le projet JA+FNSEA dessine un avenir ambitieux pour l’agriculture française dans lequel chacun aura sa place car nous faisons le choix du pragmatisme, avec des mesures adaptées à la réalité des exploitations et visant à gagner le combat d’une rémunération digne pour les agriculteurs. En défendant une agriculture attractive, de progrès au cœur du projet européen et ouverte sur le monde, nous créons les conditions pour ramener du revenu dans les exploitations et renforcer leur compétitivité. Il est essentiel que les agriculteurs retrouvent le goût d’entreprendre en s’impliquant dans des projets individuels ou collectifs car là où il y a des projets il y a des territoires vivants. Notre ambition est d’œuvrer à la reconnaissance du métier, bien trop souvent décrié alors qu’il représente une fierté et une passion pour tous ceux qui l’exercent. Notre projet apporte les réponses que les agriculteurs attendent en matière technique, économique et fiscale et ouvrent de nouvelles perspectives.
Pourquoi voter pour JA+FNSEA c’est voter pour le renouveau ?
C.L : Eclairer l’avenir, faire émerger des projets et des innovations, moderniser nos pratiques et nos entreprises, c’est l’ADN du syndicalisme JA+FNSEA. S’investir, porter la voix des agriculteurs, animer le dialogue social, et trouver des compromis avec l’ensemble des parties prenantes qui nous entourent, c’est un choix difficile, mais lucide et courageux. C’est ce qu’on attend d’un syndicat responsable. Le syndicalisme majoritaire a prouvé d’années en années sa capacité à mobiliser, à proposer et à défendre l’agriculture française et nous continuerons à le faire. Le renouveau, cela ne se décrète pas, cela se mesure. Pour ce scrutin, près de la moitié des 2.600 candidats JA+FNSEA se présentent pour la première fois. Cela témoigne de la capacité de nos réseaux à se renouveler, à évoluer, notamment grâce aux Jeunes Agriculteurs. Cela prouve également que nous savons rester attractifs. Une attractivité que l’on doit beaucoup aux équipes départementales qui travaillent au plus proche des préoccupations des agriculteurs. Nous avons à cœur de porter une vision collective moderne et d’accompagner le plus grand nombre d’agriculteurs dans des projets individuels et collectifs pour plus de réussite, de revenu et d’enthousiasme. C’est ainsi que nous attirons de nouveaux jeunes vers nos métiers.