Fourrages
Pour optimiser sa récolte
Le 16 mai, le réseau Cuma organise le salon Mécafourrages à
Toutry (21) au carrefour des départements de l’Yonne, de la Côte-d’Or
et de la Nièvre.
Toutry (21) au carrefour des départements de l’Yonne, de la Côte-d’Or
et de la Nièvre.
Cette nouvelle édition de Mécafourrages –dédiée à la chaîne de récolte– va proposer des ateliers, des démonstrations et un forum-débat sur les principales thématiques liées à l’autonomie fourragère, ciblée comme un enjeu prioritaire.
Dans cette approche de l’autonomie alimentaire, de l’optimisation de la culture et de la récolte des fourrages, les cinq ateliers organisés sur ce salon revêtent une importance toute particulière. Le programme de la journée a d’ailleurs été conçu et rythmé de façon à ce que les visiteurs puissent en suivre un maximum. Pratiques et concrets, ces ateliers font le point sur un thème en trente minutes, et identifient les solutions possibles grâce aux interventions d’experts, aux témoignages d’agriculteurs et de Cuma.
Ateliers 1 : Optimiser des chantiers de récolte de foin.
Les animateurs du réseau ont sélectionné deux thématiques, la comparaison des coûts de production entre des chantiers de récolte individuels et collectifs, et un focus sur les coûts comparés entre presse à balles rondes et presses à balles carrées.
Atelier 2 : Rénovation et entretien des prairies.
L’implantation est une étape essentielle pour bénéficier de la meilleure qualité des espèces semées. Les participants pourront apprécier les résultats d’essais de sur-semis de prairies et s’informer sur les conditions requises pour entretenir ou rénover une prairie.
Atelier 3 : Les cultures dérobées, bien les choisir pour les intégrer dans le système fourrager.
Dans un contexte de recherche d’autonomie fourragère sur les exploitations, l’implantation de cultures dérobées à croissance rapide, sur les surfaces laissées libres par les cultures principales, peut représenter une piste intéressante, mais encore faut-il que le rendement soit au rendez-vous. Cet atelier rendra compte des essais réalisés sur plusieurs années par les chambres d’agriculture de Côte-d’Or, de l’Yonne et de la Saône-et-Loire et les témoignages de deux éleveurs (l’un de l’Yonne et l’autre de Côte-d’Or) compléteront la présentation.
Atelier 4 : Bien régler son matériel pour la fenaison des légumineuses.
La qualité des fourrages récoltés repose avant tout sur le stade de récolte auquel la plante est fauchée. Pour les légumineuses et en particulier la luzerne, l’enjeu principal c’est la conservation des feuilles. Le type de matériel, les réglages et les conditions d’intervention sont les trois éléments clés d’une récolte optimisée. L’atelier va aussi comparer différents matériels testés en chaîne de récolte et leur impact sur la qualité du fourrage.
Atelier 5 : Préparation des aliments à la ferme.
Investir à plusieurs dans du matériel mobile de préparation des aliments à la ferme, c’est possible mais à quels coûts ? A partir d’exemples concrets d’organisation collective, cet atelier va détailler les conditions d’un service complet de préparation d’aliment fermier. Un service qui répond pleinement à la principale motivation des éleveurs concernés, à savoir la réduction des coûts d’alimentation et une plus grande autonomie alimentaire.
Ces cinq ateliers seront complétés en fin de matinée par des démonstrations techniques de matériels, avec des commentaires d’experts. Un forum débat sur la teneur azotée et l’autonomie des systèmes fourragers nourrira les échanges et les exposés l’après-midi. Et toute la journée un village des exposants se situera au cœur de l’événement.
Ouverture des portes le 16 mai à Toutry (21) dès 9 h. Entrée 5 euros (gratuit pour les moins de 14 ans). Restauration et buvette sur place. Billets d’entrée gratuits en se connectant sur : www.mecafourrages.cuma.fr/content/billeterie
Dans cette approche de l’autonomie alimentaire, de l’optimisation de la culture et de la récolte des fourrages, les cinq ateliers organisés sur ce salon revêtent une importance toute particulière. Le programme de la journée a d’ailleurs été conçu et rythmé de façon à ce que les visiteurs puissent en suivre un maximum. Pratiques et concrets, ces ateliers font le point sur un thème en trente minutes, et identifient les solutions possibles grâce aux interventions d’experts, aux témoignages d’agriculteurs et de Cuma.
Ateliers 1 : Optimiser des chantiers de récolte de foin.
Les animateurs du réseau ont sélectionné deux thématiques, la comparaison des coûts de production entre des chantiers de récolte individuels et collectifs, et un focus sur les coûts comparés entre presse à balles rondes et presses à balles carrées.
Atelier 2 : Rénovation et entretien des prairies.
L’implantation est une étape essentielle pour bénéficier de la meilleure qualité des espèces semées. Les participants pourront apprécier les résultats d’essais de sur-semis de prairies et s’informer sur les conditions requises pour entretenir ou rénover une prairie.
Atelier 3 : Les cultures dérobées, bien les choisir pour les intégrer dans le système fourrager.
Dans un contexte de recherche d’autonomie fourragère sur les exploitations, l’implantation de cultures dérobées à croissance rapide, sur les surfaces laissées libres par les cultures principales, peut représenter une piste intéressante, mais encore faut-il que le rendement soit au rendez-vous. Cet atelier rendra compte des essais réalisés sur plusieurs années par les chambres d’agriculture de Côte-d’Or, de l’Yonne et de la Saône-et-Loire et les témoignages de deux éleveurs (l’un de l’Yonne et l’autre de Côte-d’Or) compléteront la présentation.
Atelier 4 : Bien régler son matériel pour la fenaison des légumineuses.
La qualité des fourrages récoltés repose avant tout sur le stade de récolte auquel la plante est fauchée. Pour les légumineuses et en particulier la luzerne, l’enjeu principal c’est la conservation des feuilles. Le type de matériel, les réglages et les conditions d’intervention sont les trois éléments clés d’une récolte optimisée. L’atelier va aussi comparer différents matériels testés en chaîne de récolte et leur impact sur la qualité du fourrage.
Atelier 5 : Préparation des aliments à la ferme.
Investir à plusieurs dans du matériel mobile de préparation des aliments à la ferme, c’est possible mais à quels coûts ? A partir d’exemples concrets d’organisation collective, cet atelier va détailler les conditions d’un service complet de préparation d’aliment fermier. Un service qui répond pleinement à la principale motivation des éleveurs concernés, à savoir la réduction des coûts d’alimentation et une plus grande autonomie alimentaire.
Ces cinq ateliers seront complétés en fin de matinée par des démonstrations techniques de matériels, avec des commentaires d’experts. Un forum débat sur la teneur azotée et l’autonomie des systèmes fourragers nourrira les échanges et les exposés l’après-midi. Et toute la journée un village des exposants se situera au cœur de l’événement.
Ouverture des portes le 16 mai à Toutry (21) dès 9 h. Entrée 5 euros (gratuit pour les moins de 14 ans). Restauration et buvette sur place. Billets d’entrée gratuits en se connectant sur : www.mecafourrages.cuma.fr/content/billeterie