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Développement économique

Première rencontre entre le Grand Charolais et l’AER

Les représentants de l’agence économique régionale, l’AER, sont venus à la rencontre des élus du Grand Charolais le 18 décembre dernier. La visite, qui s’est déroulée de Digoin à Charolles en passant par Paray-le-Monial, a permis de faire le point sur les atouts du territoire et les soutiens possibles de la Région sur différents dossiers et projets de développement.

Première rencontre entre le Grand Charolais et l’AER

Au carrefour de trois bassins économiques de trois départements différents (Moulins dans l’Allier, Roanne dans la Loire et Le Creusot-Montceau), le Grand Charolais a une carte à jouer en termes de potentiel de développement économique, notamment pour aller au-delà de son image de poumon vert à l’extrême ouest du département. Outre la présence de huit parcs d’activités de plus de 15 ha, la communauté de communes axe déjà son action autour de démarches collectives, dont la filière bois vient de se saisir, et bénéficie du label Territoires d’industrie (voir encadré). Par ailleurs, le prolongement de la RCEA en deux fois deux voies et l’arrivée d’ici 2024 de l’autoroute A79 côté Allier ne devraient que contribuer à son attractivité.
C’est pour rappeler ses atouts pouvant intéresser de futurs investisseurs et ses besoins d’accompagnement que les représentants de la Com'com et plusieurs chefs d’entreprises ont accueilli Arnaud Marthey et Martine Abrahamse-Pleux, respectivement président et directrice générale de l’agence économique régionale, le mercredi 18 décembre dernier.

Faciliter le développement

L’un des enjeux premiers à relever pour ces différents acteurs est celui de la revitalisation et de la réindustrialisation des principales villes du territoire. « À nous de fluidifier le parcours des entreprises, d’accompagner les entrepreneurs dans leur différentes démarches », détaillait ainsi Michel Suchaut le président de la Chambre de commerce et d’industrie.
« Qu’il s’agisse d’un projet d’innovation ou de développement, ou en cas de difficultés, a expliqué pour sa part Gérald Gordat, vice-président développement économique Le Grand Charolais, la Com'com est là pour orienter vers la chambre d’agriculture, la CCI, la Région et ainsi trouver plus facilement le soutien technique, juridique, financier, etc. dont l’entreprise a besoin ».

Déjà du concret

L’agence économique régionale joue par ailleurs un rôle de promotion de l’ensemble de la région tant aux niveaux national qu’international. Et des projets comme la cité internationale de la gastronomie et du vin de Dijon ou la candidature Unesco du pays charolais-brionnais ne font que contribuer à ce rayonnement et à faire parler de BFC bien au-delà des frontières régionales.
Et donc en retour attirer de futurs investisseurs sur le secteur…
Les entrepreneurs présents dans le Grand Charolais ou en projet d’installation ont besoin de soutien et de conseils sur leur plan de développement, leur promotion à l’international, sur l’innovation, etc.
C’est sur l’ensemble de ces problématiques que « l’AER peut intervenir en proposant différentes formes d’accompagnement : technique, administratif, etc. permettant d’avancer plus vite », soulignait Martine Abrahamse-Pleux.

Côté agriculture

L’agriculture, pour sa part, est l’un des premiers pans d’activité du Grand Charolais. Entrant directement dans le giron de l’Agence économique régionale, tout le secteur agroalimentaire peut être soutenu sur les questions de développement, d’innovation, de promotion du savoir-faire et des labels qualité.
Ainsi l’AER va pouvoir à terme contribuer au développement des secteurs agricole et agroalimentaire via notamment la valorisation en vente directe et en première transformation (dont le développement d’outils de transformation ou les projets alimentaires territoriaux sont en lien avec le plan climat-air-énergie territorial, le PCAET).
La visite du 18 décembre était une première présentation des atouts et des potentiels du secteur.

Première rencontre entre le Grand Charolais et l’AER

Première rencontre entre le Grand Charolais et l’AER

Au carrefour de trois bassins économiques de trois départements différents (Moulins dans l’Allier, Roanne dans la Loire et Le Creusot-Montceau), le Grand Charolais a une carte à jouer en termes de potentiel de développement économique, notamment pour aller au-delà de son image de poumon vert à l’extrême ouest du département. Outre la présence de huit parcs d’activités de plus de 15 ha, la communauté de communes axe déjà son action autour de démarches collectives, dont la filière bois vient de se saisir, et bénéficie du label Territoires d’industrie (voir encadré). Par ailleurs, le prolongement de la RCEA en deux fois deux voies et l’arrivée d’ici 2024 de l’autoroute A79 côté Allier ne devraient que contribuer à son attractivité.
C’est pour rappeler ses atouts pouvant intéresser de futurs investisseurs et ses besoins d’accompagnement que les représentants de la Com'com et plusieurs chefs d’entreprises ont accueilli Arnaud Marthey et Martine Abrahamse-Pleux, respectivement président et directrice générale de l’agence économique régionale, le mercredi 18 décembre dernier.

Faciliter le développement

L’un des enjeux premiers à relever pour ces différents acteurs est celui de la revitalisation et de la réindustrialisation des principales villes du territoire. « À nous de fluidifier le parcours des entreprises, d’accompagner les entrepreneurs dans leur différentes démarches », détaillait ainsi Michel Suchaut le président de la Chambre de commerce et d’industrie.
« Qu’il s’agisse d’un projet d’innovation ou de développement, ou en cas de difficultés, a expliqué pour sa part Gérald Gordat, vice-président développement économique Le Grand Charolais, la Com'com est là pour orienter vers la chambre d’agriculture, la CCI, la Région et ainsi trouver plus facilement le soutien technique, juridique, financier, etc. dont l’entreprise a besoin ».

Déjà du concret

L’agence économique régionale joue par ailleurs un rôle de promotion de l’ensemble de la région tant aux niveaux national qu’international. Et des projets comme la cité internationale de la gastronomie et du vin de Dijon ou la candidature Unesco du pays charolais-brionnais ne font que contribuer à ce rayonnement et à faire parler de BFC bien au-delà des frontières régionales.
Et donc en retour attirer de futurs investisseurs sur le secteur…
Les entrepreneurs présents dans le Grand Charolais ou en projet d’installation ont besoin de soutien et de conseils sur leur plan de développement, leur promotion à l’international, sur l’innovation, etc.
C’est sur l’ensemble de ces problématiques que « l’AER peut intervenir en proposant différentes formes d’accompagnement : technique, administratif, etc. permettant d’avancer plus vite », soulignait Martine Abrahamse-Pleux.

Côté agriculture

L’agriculture, pour sa part, est l’un des premiers pans d’activité du Grand Charolais. Entrant directement dans le giron de l’Agence économique régionale, tout le secteur agroalimentaire peut être soutenu sur les questions de développement, d’innovation, de promotion du savoir-faire et des labels qualité.
Ainsi l’AER va pouvoir à terme contribuer au développement des secteurs agricole et agroalimentaire via notamment la valorisation en vente directe et en première transformation (dont le développement d’outils de transformation ou les projets alimentaires territoriaux sont en lien avec le plan climat-air-énergie territorial, le PCAET).
La visite du 18 décembre était une première présentation des atouts et des potentiels du secteur.