Festival du boeuf
Reconnaissance bien méritée
Cette année, le Festival du bœuf a encore pulvérisé son record de popularité. A force d’opiniâtreté, les animations imaginées par la Société d’agriculture suscitent reconnaissances et retombées.
On le dit presque tous les ans, mais cette année encore, le Festival du bœuf a battu des records de fréquentation. On parle de 1.500 repas et 1.500 entrées payantes : ce qui serait encore mieux que les années passées. Un succès populaire qui s’ajoute à un concours d’animaux de boucherie fort réussi. Cette année, le concours de vitrine de boucherie a pris beaucoup d’ampleur. Huit centres de formation étaient en compétition et les candidats ont concocté huit magnifiques vitrines qui ont été très regardées par le public. Très regardée aussi fut la remise des prix en présence du président national du syndicat de la boucherie, Christian Le Lann, le président de la chambre des métiers, Marcel Chifflot, et, bien sûr, le président des bouchers de Saône-et-Loire, Pascal Moine. Signe de reconnaissance de ce concours initié par la Société d’agriculture et l’Institut charolais et porté par Yves Durand, les apprentis titulaires du premier prix présenteront une vitrine sur le stand de la confédération nationale de la boucherie au prochain salon de l’agriculture à Paris.
L’excellence française en commun
Signe qui ne trompe pas non plus, le cortège des officiels comptait dans ses rangs cette année le préfet de Saône-et-Loire en personne. Pour le président de la société d’agriculture Gilles Degueurce, cette visite constituait un véritable honneur. Le représentant de l’Etat n’était pas venu au festival depuis une bonne douzaine d’années. Profitant une fois de plus de l’incroyable réseau de connaissances de l’éleveur de Vendenesse, Serge Leureault, la Société d’agriculture accueillait le chef ingénieur responsable technique du programme Airbus A 380, Marc Guinot. Guidé par Paul Chevalier, ce cadre de l’industrie de pointe a visité les environs (faïencerie de Charolles, établissement Lagrost, Gaec Barge, Domaine Michel…). Se révélant très accessible et curieux de ce nouvel univers, Marc Guinot s’est dit impressionné tant par l’ampleur de la manifestation que par la recherche d’excellence mise en œuvre dans l’élevage et la finition des animaux. L’ingénieur a également été épaté par le système de traçabilité de la viande bovine. Au final, l’échange a mis en évidence une véritable similitude dans l’excellence de savoir-faire qui réside à la fois dans l’élevage et dans l’industrie de pointe en France.
L’excellence française en commun
Signe qui ne trompe pas non plus, le cortège des officiels comptait dans ses rangs cette année le préfet de Saône-et-Loire en personne. Pour le président de la société d’agriculture Gilles Degueurce, cette visite constituait un véritable honneur. Le représentant de l’Etat n’était pas venu au festival depuis une bonne douzaine d’années. Profitant une fois de plus de l’incroyable réseau de connaissances de l’éleveur de Vendenesse, Serge Leureault, la Société d’agriculture accueillait le chef ingénieur responsable technique du programme Airbus A 380, Marc Guinot. Guidé par Paul Chevalier, ce cadre de l’industrie de pointe a visité les environs (faïencerie de Charolles, établissement Lagrost, Gaec Barge, Domaine Michel…). Se révélant très accessible et curieux de ce nouvel univers, Marc Guinot s’est dit impressionné tant par l’ampleur de la manifestation que par la recherche d’excellence mise en œuvre dans l’élevage et la finition des animaux. L’ingénieur a également été épaté par le système de traçabilité de la viande bovine. Au final, l’échange a mis en évidence une véritable similitude dans l’excellence de savoir-faire qui réside à la fois dans l’élevage et dans l’industrie de pointe en France.