Retour sur la traditionnelle cérémonie des vœux de la MSA qui est l'occasion de passer en revue l'actualité du régime social agricole
Ce 8 janvier, la MSA de Bourgogne organisait ses traditionnels vœux au personnel de son antenne de Saône-et-Loire. Retour sur les moments forts.

2017 a été marquée par le départ à la retraite de Jean Boissière, directeur général, à qui Armelle Rutkowski a succédé le 1er juillet. Changement à la direction générale et changement de style manifesté lors de la pourtant très traditionnelle cérémonie des vœux. Avec des prises de parole plus courtes notamment.
Pour autant, ni Dominique Bossong, président, ni Armelle Rutkowski n’ont cherché à éviter « les dysfonctionnements et donc les mécontentements sur le terrain et dans les services ». Tous deux ont rappelé à quel points l’activité avait été marquée par de nombreuses et complexes évolutions législatives et donc réglementaires. Étaient ainsi évoqués la DSN, la LURA, la RCO principalement. « Nos évolutions réglementaire ne sont toujours pas maîtrisées entièrement et nous demandent encore plus de vigilance pour maintenir notre qualité de service », complétait la directrice générale qui n’hésitait pas à parler, sur le sujet, de « frustrations », celles « de subir des changements réguliers, sans avoir le sentiment d’avoir stabilisé les évolutions précédentes ».
Des atouts et des points forts
Cela dit, le ton n’était pas à la remontrance, mais à la mise en avant et à la défense des atouts du régime agricole. « Notre régime repose sur des piliers forts », rappelait Dominique Bossong, « une gouvernance qui fonctionne et qui est représentative du secteur agricole dans sa diversité, des agents qui accomplissent leurs missions auprès des assurés de manière remarquable, notamment en temps de crise, et notre guichet unique qui répond aux besoins de nos ressortissants ». Et dans le cadre des réformes à venir et annoncées par les dirigeants du pays, la MSA entend bien faire « reconnaître nos atouts et nos points forts ».
Président et directrice évoquaient la « mutualisation de proximité avec nos voisins de Franche-Comté » qui, « en avril prochain, va permettre de gagner en performance et de conserver la proximité avec nos adhérents ». À ce titre, « 2018 sera l’année de la concrétisation de cette évolution majeure pour le réseau des MSA. Nous continuerons encore avant le mois d’avril à enrichir ce projet et à le faire évoluer au fil des difficultés rencontrées, mais aussi des réussites actées ».
Bref, 2018 devrait être une année tout aussi dense que 2017. Dense certes, mais aussi « riche de satisfaction, de frustrations et d’espoirs ».
Retour sur la traditionnelle cérémonie des vœux de la MSA qui est l'occasion de passer en revue l'actualité du régime social agricole

2017 a été marquée par le départ à la retraite de Jean Boissière, directeur général, à qui Armelle Rutkowski a succédé le 1er juillet. Changement à la direction générale et changement de style manifesté lors de la pourtant très traditionnelle cérémonie des vœux. Avec des prises de parole plus courtes notamment.
Pour autant, ni Dominique Bossong, président, ni Armelle Rutkowski n’ont cherché à éviter « les dysfonctionnements et donc les mécontentements sur le terrain et dans les services ». Tous deux ont rappelé à quel points l’activité avait été marquée par de nombreuses et complexes évolutions législatives et donc réglementaires. Étaient ainsi évoqués la DSN, la LURA, la RCO principalement. « Nos évolutions réglementaire ne sont toujours pas maîtrisées entièrement et nous demandent encore plus de vigilance pour maintenir notre qualité de service », complétait la directrice générale qui n’hésitait pas à parler, sur le sujet, de « frustrations », celles « de subir des changements réguliers, sans avoir le sentiment d’avoir stabilisé les évolutions précédentes ».
Des atouts et des points forts
Cela dit, le ton n’était pas à la remontrance, mais à la mise en avant et à la défense des atouts du régime agricole. « Notre régime repose sur des piliers forts », rappelait Dominique Bossong, « une gouvernance qui fonctionne et qui est représentative du secteur agricole dans sa diversité, des agents qui accomplissent leurs missions auprès des assurés de manière remarquable, notamment en temps de crise, et notre guichet unique qui répond aux besoins de nos ressortissants ». Et dans le cadre des réformes à venir et annoncées par les dirigeants du pays, la MSA entend bien faire « reconnaître nos atouts et nos points forts ».
Président et directrice évoquaient la « mutualisation de proximité avec nos voisins de Franche-Comté » qui, « en avril prochain, va permettre de gagner en performance et de conserver la proximité avec nos adhérents ». À ce titre, « 2018 sera l’année de la concrétisation de cette évolution majeure pour le réseau des MSA. Nous continuerons encore avant le mois d’avril à enrichir ce projet et à le faire évoluer au fil des difficultés rencontrées, mais aussi des réussites actées ».
Bref, 2018 devrait être une année tout aussi dense que 2017. Dense certes, mais aussi « riche de satisfaction, de frustrations et d’espoirs ».
Retour sur la traditionnelle cérémonie des vœux de la MSA qui est l'occasion de passer en revue l'actualité du régime social agricole

2017 a été marquée par le départ à la retraite de Jean Boissière, directeur général, à qui Armelle Rutkowski a succédé le 1er juillet. Changement à la direction générale et changement de style manifesté lors de la pourtant très traditionnelle cérémonie des vœux. Avec des prises de parole plus courtes notamment.
Pour autant, ni Dominique Bossong, président, ni Armelle Rutkowski n’ont cherché à éviter « les dysfonctionnements et donc les mécontentements sur le terrain et dans les services ». Tous deux ont rappelé à quel points l’activité avait été marquée par de nombreuses et complexes évolutions législatives et donc réglementaires. Étaient ainsi évoqués la DSN, la LURA, la RCO principalement. « Nos évolutions réglementaire ne sont toujours pas maîtrisées entièrement et nous demandent encore plus de vigilance pour maintenir notre qualité de service », complétait la directrice générale qui n’hésitait pas à parler, sur le sujet, de « frustrations », celles « de subir des changements réguliers, sans avoir le sentiment d’avoir stabilisé les évolutions précédentes ».
Des atouts et des points forts
Cela dit, le ton n’était pas à la remontrance, mais à la mise en avant et à la défense des atouts du régime agricole. « Notre régime repose sur des piliers forts », rappelait Dominique Bossong, « une gouvernance qui fonctionne et qui est représentative du secteur agricole dans sa diversité, des agents qui accomplissent leurs missions auprès des assurés de manière remarquable, notamment en temps de crise, et notre guichet unique qui répond aux besoins de nos ressortissants ». Et dans le cadre des réformes à venir et annoncées par les dirigeants du pays, la MSA entend bien faire « reconnaître nos atouts et nos points forts ».
Président et directrice évoquaient la « mutualisation de proximité avec nos voisins de Franche-Comté » qui, « en avril prochain, va permettre de gagner en performance et de conserver la proximité avec nos adhérents ». À ce titre, « 2018 sera l’année de la concrétisation de cette évolution majeure pour le réseau des MSA. Nous continuerons encore avant le mois d’avril à enrichir ce projet et à le faire évoluer au fil des difficultés rencontrées, mais aussi des réussites actées ».
Bref, 2018 devrait être une année tout aussi dense que 2017. Dense certes, mais aussi « riche de satisfaction, de frustrations et d’espoirs ».