Satisfaction autour de l'emploi partagé testé lors des vendanges
Devant la difficulté chaque année grandissante de recruter des saisonniers pour les périodes de travail important dans les vignes, le GED71 a décidé de tester cette année une campagne vendange. Le galop d’essai a été fait dès le mois de juin avec les adhérents de la cave de Lugny.

À l’issue de la campagne, tous ceux qui sont passés par le GED se disent satisfaits, à l’image de Florian Gayet, du Gaec de la Grappe d’or à Lugny.
« Cette année, pour les relevages de juin, on ne trouvait personne pour venir travailler. Dernièrement, on avait passé une annonce sur Leboncoin et on avait embauché ceux qui se présentaient… mais beaucoup ne restaient pas longtemps. Cette année, il a suffit d’appeler le groupement d’employeurs ! »
Entre trois et six personnes sont ainsi venues pendant un mois en début d’été pour une première période de travail dans les vignes, puis une équipe de 25 Bulgares est revenue un peu plus de deux semaines au moment des vendanges. « Au début je n’étais pas motivé pour embaucher des étrangers. Mais ils se sont montrés travailleurs et autonomes. Avançant tous à la même allure, ils ont fait du bon travail ». Ces Bulgares sont recrutés par l’intermédiaire d’un prestataire basé en France. Si ce n’est la barrière de la langue, les employeurs ayant eu ces salariés dans leurs vignes, ont tous été satisfaits de leur motivation et de la qualité de leur travail.
« Pour le relevage et les vendanges, on a juste eu à leur montrer les gestes, précise Florian Gayet. Pour la taille, nous avons programmé une petite formation », car le GED a d’ores et déjà programmé de nouvelles périodes de travail avec des Bulgares cet hiver.
Une gestion simplifiée
Philippe Boulay du domaine Château des Capitans, situé en limite du département à Juliénas dans le Rhône, confirme la facilité de recourir au service. « L’avantage, c’est que nous n’avons pas à nous occuper de faire les déclarations ou les fiches de paie. C’est le groupement d’employeurs qui prend tout en charge, depuis le recrutement jusqu’à la paie. Il nous facture ensuite la prestation ». Sur le domaine de 12 hectares en juliénas, 22 bulgares ont vendangé pendant un peu plus de huit jours : « ils venaient de travailler six jours à Lugny, ils avaient donc les bons gestes ». Les salariés bulgares ont ainsi pu accumuler les journées de vendanges sans interruption. « Même entre collègues viticulteurs, on se passe les salariés. Quand on sait qu’on ne va pas avoir besoin de l’ensemble du groupe pendant quelques jours, on en parle entre nous et les salariés vont ainsi sur un autre domaine. En parallèle, on le signale au groupement d’employeurs ». Une mutualisation et une souplesse qui ont ravi Florian Gayet : « l’année prochaine, je repars sans hésiter sur ce même principe ».
Satisfaction autour de l'emploi partagé testé lors des vendanges

À l’issue de la campagne, tous ceux qui sont passés par le GED se disent satisfaits, à l’image de Florian Gayet, du Gaec de la Grappe d’or à Lugny.
« Cette année, pour les relevages de juin, on ne trouvait personne pour venir travailler. Dernièrement, on avait passé une annonce sur Leboncoin et on avait embauché ceux qui se présentaient… mais beaucoup ne restaient pas longtemps. Cette année, il a suffit d’appeler le groupement d’employeurs ! »
Entre trois et six personnes sont ainsi venues pendant un mois en début d’été pour une première période de travail dans les vignes, puis une équipe de 25 Bulgares est revenue un peu plus de deux semaines au moment des vendanges. « Au début je n’étais pas motivé pour embaucher des étrangers. Mais ils se sont montrés travailleurs et autonomes. Avançant tous à la même allure, ils ont fait du bon travail ». Ces Bulgares sont recrutés par l’intermédiaire d’un prestataire basé en France. Si ce n’est la barrière de la langue, les employeurs ayant eu ces salariés dans leurs vignes, ont tous été satisfaits de leur motivation et de la qualité de leur travail.
« Pour le relevage et les vendanges, on a juste eu à leur montrer les gestes, précise Florian Gayet. Pour la taille, nous avons programmé une petite formation », car le GED a d’ores et déjà programmé de nouvelles périodes de travail avec des Bulgares cet hiver.
Une gestion simplifiée
Philippe Boulay du domaine Château des Capitans, situé en limite du département à Juliénas dans le Rhône, confirme la facilité de recourir au service. « L’avantage, c’est que nous n’avons pas à nous occuper de faire les déclarations ou les fiches de paie. C’est le groupement d’employeurs qui prend tout en charge, depuis le recrutement jusqu’à la paie. Il nous facture ensuite la prestation ». Sur le domaine de 12 hectares en juliénas, 22 bulgares ont vendangé pendant un peu plus de huit jours : « ils venaient de travailler six jours à Lugny, ils avaient donc les bons gestes ». Les salariés bulgares ont ainsi pu accumuler les journées de vendanges sans interruption. « Même entre collègues viticulteurs, on se passe les salariés. Quand on sait qu’on ne va pas avoir besoin de l’ensemble du groupe pendant quelques jours, on en parle entre nous et les salariés vont ainsi sur un autre domaine. En parallèle, on le signale au groupement d’employeurs ». Une mutualisation et une souplesse qui ont ravi Florian Gayet : « l’année prochaine, je repars sans hésiter sur ce même principe ».
Satisfaction autour de l'emploi partagé testé lors des vendanges

À l’issue de la campagne, tous ceux qui sont passés par le GED se disent satisfaits, à l’image de Florian Gayet, du Gaec de la Grappe d’or à Lugny.
« Cette année, pour les relevages de juin, on ne trouvait personne pour venir travailler. Dernièrement, on avait passé une annonce sur Leboncoin et on avait embauché ceux qui se présentaient… mais beaucoup ne restaient pas longtemps. Cette année, il a suffit d’appeler le groupement d’employeurs ! »
Entre trois et six personnes sont ainsi venues pendant un mois en début d’été pour une première période de travail dans les vignes, puis une équipe de 25 Bulgares est revenue un peu plus de deux semaines au moment des vendanges. « Au début je n’étais pas motivé pour embaucher des étrangers. Mais ils se sont montrés travailleurs et autonomes. Avançant tous à la même allure, ils ont fait du bon travail ». Ces Bulgares sont recrutés par l’intermédiaire d’un prestataire basé en France. Si ce n’est la barrière de la langue, les employeurs ayant eu ces salariés dans leurs vignes, ont tous été satisfaits de leur motivation et de la qualité de leur travail.
« Pour le relevage et les vendanges, on a juste eu à leur montrer les gestes, précise Florian Gayet. Pour la taille, nous avons programmé une petite formation », car le GED a d’ores et déjà programmé de nouvelles périodes de travail avec des Bulgares cet hiver.
Une gestion simplifiée
Philippe Boulay du domaine Château des Capitans, situé en limite du département à Juliénas dans le Rhône, confirme la facilité de recourir au service. « L’avantage, c’est que nous n’avons pas à nous occuper de faire les déclarations ou les fiches de paie. C’est le groupement d’employeurs qui prend tout en charge, depuis le recrutement jusqu’à la paie. Il nous facture ensuite la prestation ». Sur le domaine de 12 hectares en juliénas, 22 bulgares ont vendangé pendant un peu plus de huit jours : « ils venaient de travailler six jours à Lugny, ils avaient donc les bons gestes ». Les salariés bulgares ont ainsi pu accumuler les journées de vendanges sans interruption. « Même entre collègues viticulteurs, on se passe les salariés. Quand on sait qu’on ne va pas avoir besoin de l’ensemble du groupe pendant quelques jours, on en parle entre nous et les salariés vont ainsi sur un autre domaine. En parallèle, on le signale au groupement d’employeurs ». Une mutualisation et une souplesse qui ont ravi Florian Gayet : « l’année prochaine, je repars sans hésiter sur ce même principe ».