Son cheval par financement participatif
Aider un éleveur dans la gestion financière de son écurie tout en étant soi-même propriétaire équin, c’est ce que permet la plateforme de financement participatif My Horse Family. Jacques Martin, éleveur à Chalmoux, est passé deux fois par cette plateforme.

Les deux poulains doivent naître dans les semaines à venir, plus précisément courant février pour le premier et courant avril pour le second. En attendant, leurs mères respectives, Réa de Rêve et Anita Enchantée, partagent le même pré du côté de Chalmoux. Quant à savoir si ce seront de futurs cracks… c’est tout le pari que se sont lancés leurs copropriétaires, au premier rang duquel Jacques Martin, leur naisseur et éleveur. « Lorsque l’heure de la retraite a sonné, il y a dix ans, j’ai vendu toutes mes vaches pour ne plus me consacrer qu’à ma passion pour les chevaux », explique-t-il.
Jusqu’à il y a quelques années, Jacques Martin faisait naître ses poulains AQPS (voir l’encadré relatif à cette race) et partait à la recherche d’un entraineur et/ou d’un nouveau propriétaire lorsqu’ils avaient 18 mois.
Vendu en quelques semaines
Depuis l’an passé, la démarche a évolué : « j’ai entendu parler de la plateforme My Horse Family car son fondateur est le fils d’un entraineur avec lequel j’ai travaillé par le passé. Le fait de ne plus supporter seul le coût d’élevage d’un poulain et de pouvoir viser un étalon plus coté m’a séduit ». L’agriculteur à la retraite a donc inscrit une première poulinière sur la plateforme, à savoir Anita. « En quelques semaines, toutes les parts étaient vendues. J’ai donc mis une seconde poulinière, Réa. Pour celle-ci, les ventes se sont beaucoup plus étalées, mais nous sommes dans l’attente d’une confirmation qui devrait clore la vente ».
Ce n’est qu’après l’inscription et les premières ventes sur la plateforme, que Jacques Martin a sélectionné les étalons, géniteurs des futurs cracks, parmi ceux du haras de Cercy-la-Tour dans la Nièvre. « J’ai choisi selon les origines des étalons et des qualités de chaque jument, pour tenter d’obtenir des produits les plus parfaits possible ».
Pour autant aucune garantie de succès ! « Nous espérons évidemment que ces chevaux auront de bons résultats en course. Nous ferons tout pour ». Il faut savoir que l’investissement initial de plus de 23.000 € devrait être remboursé si le cheval se place cinq fois dans les cinq premiers… Pari intéressant à tenter. Ces chevaux concourront donc peut-être un jour dans des courses de plat, voire d’obstacles, sans doute plutôt en régions, mais peut-être aussi à Paris. Signe qu’ils auraient bien le niveau espéré.
Des gains à vie
Pour l’instant, on ne sait quel est le sexe de chaque poulain. « Trop compliqué à détecter, on attendra les naissances ! ». Les copropriétaires seront alors prévenus. Ils pourront venir faire connaissance avec leur futur champion… et décider de son nom (qui devra commencer par la lettre J). Les contacts perdureront tout le temps de la croissance du cheval. À 18 mois, selon ses qualités, son destin sera peut-être scellé : acheté par un entraineur, un autre propriétaire ou conservé encore quelques temps par Jacques Martin.
Si aucune aptitude pour une carrière professionnelle ne semble se dégager, l’animal sera alors sans doute vendu pour la ballade, soit pour environ 1.500 €… bien loin de l’investissement engagé.
Si c’est un crack et même si l’animal est vendu, les copropriétaires naisseurs continueront de percevoir des dividendes sur ses gains tout au long de sa carrière hippique (en France)… Leur histoire ne fait donc que commencer.
Son cheval par financement participatif

Les deux poulains doivent naître dans les semaines à venir, plus précisément courant février pour le premier et courant avril pour le second. En attendant, leurs mères respectives, Réa de Rêve et Anita Enchantée, partagent le même pré du côté de Chalmoux. Quant à savoir si ce seront de futurs cracks… c’est tout le pari que se sont lancés leurs copropriétaires, au premier rang duquel Jacques Martin, leur naisseur et éleveur. « Lorsque l’heure de la retraite a sonné, il y a dix ans, j’ai vendu toutes mes vaches pour ne plus me consacrer qu’à ma passion pour les chevaux », explique-t-il.
Jusqu’à il y a quelques années, Jacques Martin faisait naître ses poulains AQPS (voir l’encadré relatif à cette race) et partait à la recherche d’un entraineur et/ou d’un nouveau propriétaire lorsqu’ils avaient 18 mois.
Vendu en quelques semaines
Depuis l’an passé, la démarche a évolué : « j’ai entendu parler de la plateforme My Horse Family car son fondateur est le fils d’un entraineur avec lequel j’ai travaillé par le passé. Le fait de ne plus supporter seul le coût d’élevage d’un poulain et de pouvoir viser un étalon plus coté m’a séduit ». L’agriculteur à la retraite a donc inscrit une première poulinière sur la plateforme, à savoir Anita. « En quelques semaines, toutes les parts étaient vendues. J’ai donc mis une seconde poulinière, Réa. Pour celle-ci, les ventes se sont beaucoup plus étalées, mais nous sommes dans l’attente d’une confirmation qui devrait clore la vente ».
Ce n’est qu’après l’inscription et les premières ventes sur la plateforme, que Jacques Martin a sélectionné les étalons, géniteurs des futurs cracks, parmi ceux du haras de Cercy-la-Tour dans la Nièvre. « J’ai choisi selon les origines des étalons et des qualités de chaque jument, pour tenter d’obtenir des produits les plus parfaits possible ».
Pour autant aucune garantie de succès ! « Nous espérons évidemment que ces chevaux auront de bons résultats en course. Nous ferons tout pour ». Il faut savoir que l’investissement initial de plus de 23.000 € devrait être remboursé si le cheval se place cinq fois dans les cinq premiers… Pari intéressant à tenter. Ces chevaux concourront donc peut-être un jour dans des courses de plat, voire d’obstacles, sans doute plutôt en régions, mais peut-être aussi à Paris. Signe qu’ils auraient bien le niveau espéré.
Des gains à vie
Pour l’instant, on ne sait quel est le sexe de chaque poulain. « Trop compliqué à détecter, on attendra les naissances ! ». Les copropriétaires seront alors prévenus. Ils pourront venir faire connaissance avec leur futur champion… et décider de son nom (qui devra commencer par la lettre J). Les contacts perdureront tout le temps de la croissance du cheval. À 18 mois, selon ses qualités, son destin sera peut-être scellé : acheté par un entraineur, un autre propriétaire ou conservé encore quelques temps par Jacques Martin.
Si aucune aptitude pour une carrière professionnelle ne semble se dégager, l’animal sera alors sans doute vendu pour la ballade, soit pour environ 1.500 €… bien loin de l’investissement engagé.
Si c’est un crack et même si l’animal est vendu, les copropriétaires naisseurs continueront de percevoir des dividendes sur ses gains tout au long de sa carrière hippique (en France)… Leur histoire ne fait donc que commencer.
Son cheval par financement participatif

Les deux poulains doivent naître dans les semaines à venir, plus précisément courant février pour le premier et courant avril pour le second. En attendant, leurs mères respectives, Réa de Rêve et Anita Enchantée, partagent le même pré du côté de Chalmoux. Quant à savoir si ce seront de futurs cracks… c’est tout le pari que se sont lancés leurs copropriétaires, au premier rang duquel Jacques Martin, leur naisseur et éleveur. « Lorsque l’heure de la retraite a sonné, il y a dix ans, j’ai vendu toutes mes vaches pour ne plus me consacrer qu’à ma passion pour les chevaux », explique-t-il.
Jusqu’à il y a quelques années, Jacques Martin faisait naître ses poulains AQPS (voir l’encadré relatif à cette race) et partait à la recherche d’un entraineur et/ou d’un nouveau propriétaire lorsqu’ils avaient 18 mois.
Vendu en quelques semaines
Depuis l’an passé, la démarche a évolué : « j’ai entendu parler de la plateforme My Horse Family car son fondateur est le fils d’un entraineur avec lequel j’ai travaillé par le passé. Le fait de ne plus supporter seul le coût d’élevage d’un poulain et de pouvoir viser un étalon plus coté m’a séduit ». L’agriculteur à la retraite a donc inscrit une première poulinière sur la plateforme, à savoir Anita. « En quelques semaines, toutes les parts étaient vendues. J’ai donc mis une seconde poulinière, Réa. Pour celle-ci, les ventes se sont beaucoup plus étalées, mais nous sommes dans l’attente d’une confirmation qui devrait clore la vente ».
Ce n’est qu’après l’inscription et les premières ventes sur la plateforme, que Jacques Martin a sélectionné les étalons, géniteurs des futurs cracks, parmi ceux du haras de Cercy-la-Tour dans la Nièvre. « J’ai choisi selon les origines des étalons et des qualités de chaque jument, pour tenter d’obtenir des produits les plus parfaits possible ».
Pour autant aucune garantie de succès ! « Nous espérons évidemment que ces chevaux auront de bons résultats en course. Nous ferons tout pour ». Il faut savoir que l’investissement initial de plus de 23.000 € devrait être remboursé si le cheval se place cinq fois dans les cinq premiers… Pari intéressant à tenter. Ces chevaux concourront donc peut-être un jour dans des courses de plat, voire d’obstacles, sans doute plutôt en régions, mais peut-être aussi à Paris. Signe qu’ils auraient bien le niveau espéré.
Des gains à vie
Pour l’instant, on ne sait quel est le sexe de chaque poulain. « Trop compliqué à détecter, on attendra les naissances ! ». Les copropriétaires seront alors prévenus. Ils pourront venir faire connaissance avec leur futur champion… et décider de son nom (qui devra commencer par la lettre J). Les contacts perdureront tout le temps de la croissance du cheval. À 18 mois, selon ses qualités, son destin sera peut-être scellé : acheté par un entraineur, un autre propriétaire ou conservé encore quelques temps par Jacques Martin.
Si aucune aptitude pour une carrière professionnelle ne semble se dégager, l’animal sera alors sans doute vendu pour la ballade, soit pour environ 1.500 €… bien loin de l’investissement engagé.
Si c’est un crack et même si l’animal est vendu, les copropriétaires naisseurs continueront de percevoir des dividendes sur ses gains tout au long de sa carrière hippique (en France)… Leur histoire ne fait donc que commencer.
Son cheval par financement participatif

Les deux poulains doivent naître dans les semaines à venir, plus précisément courant février pour le premier et courant avril pour le second. En attendant, leurs mères respectives, Réa de Rêve et Anita Enchantée, partagent le même pré du côté de Chalmoux. Quant à savoir si ce seront de futurs cracks… c’est tout le pari que se sont lancés leurs copropriétaires, au premier rang duquel Jacques Martin, leur naisseur et éleveur. « Lorsque l’heure de la retraite a sonné, il y a dix ans, j’ai vendu toutes mes vaches pour ne plus me consacrer qu’à ma passion pour les chevaux », explique-t-il.
Jusqu’à il y a quelques années, Jacques Martin faisait naître ses poulains AQPS (voir l’encadré relatif à cette race) et partait à la recherche d’un entraineur et/ou d’un nouveau propriétaire lorsqu’ils avaient 18 mois.
Vendu en quelques semaines
Depuis l’an passé, la démarche a évolué : « j’ai entendu parler de la plateforme My Horse Family car son fondateur est le fils d’un entraineur avec lequel j’ai travaillé par le passé. Le fait de ne plus supporter seul le coût d’élevage d’un poulain et de pouvoir viser un étalon plus coté m’a séduit ». L’agriculteur à la retraite a donc inscrit une première poulinière sur la plateforme, à savoir Anita. « En quelques semaines, toutes les parts étaient vendues. J’ai donc mis une seconde poulinière, Réa. Pour celle-ci, les ventes se sont beaucoup plus étalées, mais nous sommes dans l’attente d’une confirmation qui devrait clore la vente ».
Ce n’est qu’après l’inscription et les premières ventes sur la plateforme, que Jacques Martin a sélectionné les étalons, géniteurs des futurs cracks, parmi ceux du haras de Cercy-la-Tour dans la Nièvre. « J’ai choisi selon les origines des étalons et des qualités de chaque jument, pour tenter d’obtenir des produits les plus parfaits possible ».
Pour autant aucune garantie de succès ! « Nous espérons évidemment que ces chevaux auront de bons résultats en course. Nous ferons tout pour ». Il faut savoir que l’investissement initial de plus de 23.000 € devrait être remboursé si le cheval se place cinq fois dans les cinq premiers… Pari intéressant à tenter. Ces chevaux concourront donc peut-être un jour dans des courses de plat, voire d’obstacles, sans doute plutôt en régions, mais peut-être aussi à Paris. Signe qu’ils auraient bien le niveau espéré.
Des gains à vie
Pour l’instant, on ne sait quel est le sexe de chaque poulain. « Trop compliqué à détecter, on attendra les naissances ! ». Les copropriétaires seront alors prévenus. Ils pourront venir faire connaissance avec leur futur champion… et décider de son nom (qui devra commencer par la lettre J). Les contacts perdureront tout le temps de la croissance du cheval. À 18 mois, selon ses qualités, son destin sera peut-être scellé : acheté par un entraineur, un autre propriétaire ou conservé encore quelques temps par Jacques Martin.
Si aucune aptitude pour une carrière professionnelle ne semble se dégager, l’animal sera alors sans doute vendu pour la ballade, soit pour environ 1.500 €… bien loin de l’investissement engagé.
Si c’est un crack et même si l’animal est vendu, les copropriétaires naisseurs continueront de percevoir des dividendes sur ses gains tout au long de sa carrière hippique (en France)… Leur histoire ne fait donc que commencer.