Projection à Saint-Boil
Toi ! L’Auvergnat… dernier paysan !
Passionné par les métiers d’antan et le monde rural, René Duranton aime
passer d’une région à l’autre pour s’imprégner d’un univers qui tend à
disparaître. Cette fois, le réalisateur a posé sa caméra au cœur de la
France et plus précisément en Auvergne. Avec "Toi ! L’Auvergnat… dernier
paysan", il propose d’aller à la rencontre d’un homme qui a souhaité
résister au modernisme et au confort. Il travaille toujours avec ses
bœufs. Avec, donc pour seules richesses, ses deux bœufs Salers, ses deux
bœufs Aubrac, ses dix vaches, ses deux chèvres, ses poules et ses
lapins. A l’image de son père et de son grand-père, Michel Bourdon est
tout simplement le dernier paysan français à travailler ses vingt-sept
hectares comme au début du siècle dernier.
passer d’une région à l’autre pour s’imprégner d’un univers qui tend à
disparaître. Cette fois, le réalisateur a posé sa caméra au cœur de la
France et plus précisément en Auvergne. Avec "Toi ! L’Auvergnat… dernier
paysan", il propose d’aller à la rencontre d’un homme qui a souhaité
résister au modernisme et au confort. Il travaille toujours avec ses
bœufs. Avec, donc pour seules richesses, ses deux bœufs Salers, ses deux
bœufs Aubrac, ses dix vaches, ses deux chèvres, ses poules et ses
lapins. A l’image de son père et de son grand-père, Michel Bourdon est
tout simplement le dernier paysan français à travailler ses vingt-sept
hectares comme au début du siècle dernier.
Une vie à contretemps
Pendant un an, la caméra de René Duranton à suivi Michel Bourdon dans les multiples travaux de la ferme où tous les symboles de la terre sont réunis. En fonction des saisons, les tâches sont différentes. Qu’il s’agisse des soins du bétail et des volailles, des travaux des champs, des labours, des semailles, des foins, des moissons et du battage du grain avec la trépigneuse. Sans oublier la fabrication de l’alambic, les noix à conduire au moulin pour en extraire l’huile ou encore le ferrage des bœufs. Ce paysan n’hésite pas non plus à se livrer en évoquant aussi bien son enfance dans son Auvergne natale que les raisons qui l’ont poussé à ne pas se marier, ses talents de guérisseur et, plus original, sa passion pour les horloges. Un documentaire qui se conclue, bien évidemment, avec La chanson pour l’Auvergnat d’un certain Georges Brassens.
Alors qu’en première partie sera présenté Le charron de Georges Rouquier, évoquant la fabrication d’une roue à la main en 1943, cette journée organisée par le CCAS de Fley permettra d’aller à la rencontre du réalisateur René Duranton.
A la salle des fêtes de Saint-Boil, samedi 22 septembre à 15 h et à 20 h 30. Tarifs : 6 € (adultes) et 3 € (enfants).
Pendant un an, la caméra de René Duranton à suivi Michel Bourdon dans les multiples travaux de la ferme où tous les symboles de la terre sont réunis. En fonction des saisons, les tâches sont différentes. Qu’il s’agisse des soins du bétail et des volailles, des travaux des champs, des labours, des semailles, des foins, des moissons et du battage du grain avec la trépigneuse. Sans oublier la fabrication de l’alambic, les noix à conduire au moulin pour en extraire l’huile ou encore le ferrage des bœufs. Ce paysan n’hésite pas non plus à se livrer en évoquant aussi bien son enfance dans son Auvergne natale que les raisons qui l’ont poussé à ne pas se marier, ses talents de guérisseur et, plus original, sa passion pour les horloges. Un documentaire qui se conclue, bien évidemment, avec La chanson pour l’Auvergnat d’un certain Georges Brassens.
Alors qu’en première partie sera présenté Le charron de Georges Rouquier, évoquant la fabrication d’une roue à la main en 1943, cette journée organisée par le CCAS de Fley permettra d’aller à la rencontre du réalisateur René Duranton.
A la salle des fêtes de Saint-Boil, samedi 22 septembre à 15 h et à 20 h 30. Tarifs : 6 € (adultes) et 3 € (enfants).
