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Prévention

Toujours plus de connexion pour la prévention

La journée d’accueil du Pass’Installation organisée chaque année par Groupama a eu lieu mercredi 30 octobre. L’occasion de présenter aux nouveaux installés bénéficiaires de ce pass les multiples avantages qu’il procure, de même que tout un ensemble d’outils œuvrant pour la prévention des risques.

Toujours plus de connexion pour la prévention

Pour Groupama, le Pass’Installation est depuis plusieurs années l’un des principaux moyens d’accompagner les jeunes installés durant leurs premières années.
La délégation de Saône-et-Loire dépend de la caisse Groupama Rhône-Alpes Auvergne, regroupant douze départements. Sur les 2.814 Jeunes agriculteurs bénéficiaires du Pass’Installation en 2019, 417 sont saône-et-loiriens dont 115 nouveaux exploitants agricoles « un chiffre en forte augmentation par rapport à d’autres années et ce, malgré la crise, témoigne Luc Chevalier, le président de la fédération départementale des caisses locales. Ce qui montre que les jeunes continuent de croire dans ce métier ». Ces jeunes représentent cependant vraiment une nouvelle génération : « ils ont une vision plus liée aux questions d’environnement, ils sont aussi plus en recherche de complément de revenus, que ce soit par le photovoltaïque, la méthanisation, la vente directe, etc ». Luc Chevalier a pu constater aussi une évolution dans leur profil, « on voit plus de paysagistes, de jeunes qui se lancent dans la notion de service à la personne ». Ils semblent ainsi vouloir « travailler moins, tout en valorisant mieux ».

Un tracteur et un portable

Pour accompagner cette nouvelle génération, Groupama tend de plus en plus à proposer des solutions connectées.
« L’avenir, ce sont les fermes connectées », rappelle Luc Chevalier, dont le principe est autant « de répondre à un besoin que d’offrir un confort de vie ».
Pour cela, la grande innovation, lancée courant 2019 par Groupama, est Gari une application agricole compilant tout un ensemble de services auxquels les agriculteurs peuvent avoir recours depuis leurs parcelles.
Trois de ces services sont gratuits, la météo, le gestionnaire de tâche et le suivi des cours (blé, maïs, colza). Trois sont payants : la vidéosurveillance agricole, les sondes à fourrage connectées, la station météo de précision.
« Le principe est vraiment d’être dans le mouvement du déploiement des nouvelles technologies au service de l’agriculture » qui ont explosé ces dernières années et qui n’ont pas fini de se déployer.
Les agriculteurs, les premiers, sont demandeurs de ces innovations puisque selon une étude réalisée en début d’année, "dans les deux prochaines années, 48 % des agriculteurs pensent investir dans au moins une nouvelle technologie qu’ils n’ont pas encore". Et en termes d’objets connectés, on peut compter sur les nouvelles générations pour être adeptes et équipées.

Expertise en drone

Ces technologies actuelles servent à différents moments de la vie des exploitations. Elles fournissent donc des informations en temps réel sur le temps qu’il va faire ou sur l’évolution des marchés, mais elles sont également utiles et de plus en plus utilisées en cas de sinistres notamment sur des cultures nécessitant le recours à un expert agricole. Le drone robot Exo.Expert simplifie ainsi le travail d’évaluation des dégâts en survolant les zones parfois difficiles d’accès. Cette estimation rendue plus juste est aussi plus rapide.
Et le recours à un drone va également au-delà. En cartographiant précisément une parcelle, cela peut aussi permettre un comptage des plantes et des fruits, l’évaluation des rendements, la détection d’un problème d’irrigation ou de début de maladies, etc.

Récoltes assurées

Autre service proposé par Groupama et présenté aux jeunes installés, le site web Granvillage qui met gratuitement en relation les consommateurs et les producteurs locaux, toute filière confondue, ce qui répond justement à la grande tendance du déploiement des circuits courts.
Enfin, si la prévention a toujours été au cœur de l’action de l’organisation professionnelle agricole, l’accent est désormais mis sur la protection des cultures face aux évolutions climatiques. « On ne peut pas continuer comme cela, sans se protéger face au dérèglement climatique », d’où l’incitation du président des caisses locales à souscrire à l’assurance multirisque climatique sur récoltes.

Toujours plus de connexion pour la prévention

Toujours plus de connexion pour la prévention

Pour Groupama, le Pass’Installation est depuis plusieurs années l’un des principaux moyens d’accompagner les jeunes installés durant leurs premières années.
La délégation de Saône-et-Loire dépend de la caisse Groupama Rhône-Alpes Auvergne, regroupant douze départements. Sur les 2.814 Jeunes agriculteurs bénéficiaires du Pass’Installation en 2019, 417 sont saône-et-loiriens dont 115 nouveaux exploitants agricoles « un chiffre en forte augmentation par rapport à d’autres années et ce, malgré la crise, témoigne Luc Chevalier, le président de la fédération départementale des caisses locales. Ce qui montre que les jeunes continuent de croire dans ce métier ». Ces jeunes représentent cependant vraiment une nouvelle génération : « ils ont une vision plus liée aux questions d’environnement, ils sont aussi plus en recherche de complément de revenus, que ce soit par le photovoltaïque, la méthanisation, la vente directe, etc ». Luc Chevalier a pu constater aussi une évolution dans leur profil, « on voit plus de paysagistes, de jeunes qui se lancent dans la notion de service à la personne ». Ils semblent ainsi vouloir « travailler moins, tout en valorisant mieux ».

Un tracteur et un portable

Pour accompagner cette nouvelle génération, Groupama tend de plus en plus à proposer des solutions connectées.
« L’avenir, ce sont les fermes connectées », rappelle Luc Chevalier, dont le principe est autant « de répondre à un besoin que d’offrir un confort de vie ».
Pour cela, la grande innovation, lancée courant 2019 par Groupama, est Gari une application agricole compilant tout un ensemble de services auxquels les agriculteurs peuvent avoir recours depuis leurs parcelles.
Trois de ces services sont gratuits, la météo, le gestionnaire de tâche et le suivi des cours (blé, maïs, colza). Trois sont payants : la vidéosurveillance agricole, les sondes à fourrage connectées, la station météo de précision.
« Le principe est vraiment d’être dans le mouvement du déploiement des nouvelles technologies au service de l’agriculture » qui ont explosé ces dernières années et qui n’ont pas fini de se déployer.
Les agriculteurs, les premiers, sont demandeurs de ces innovations puisque selon une étude réalisée en début d’année, "dans les deux prochaines années, 48 % des agriculteurs pensent investir dans au moins une nouvelle technologie qu’ils n’ont pas encore". Et en termes d’objets connectés, on peut compter sur les nouvelles générations pour être adeptes et équipées.

Expertise en drone

Ces technologies actuelles servent à différents moments de la vie des exploitations. Elles fournissent donc des informations en temps réel sur le temps qu’il va faire ou sur l’évolution des marchés, mais elles sont également utiles et de plus en plus utilisées en cas de sinistres notamment sur des cultures nécessitant le recours à un expert agricole. Le drone robot Exo.Expert simplifie ainsi le travail d’évaluation des dégâts en survolant les zones parfois difficiles d’accès. Cette estimation rendue plus juste est aussi plus rapide.
Et le recours à un drone va également au-delà. En cartographiant précisément une parcelle, cela peut aussi permettre un comptage des plantes et des fruits, l’évaluation des rendements, la détection d’un problème d’irrigation ou de début de maladies, etc.

Récoltes assurées

Autre service proposé par Groupama et présenté aux jeunes installés, le site web Granvillage qui met gratuitement en relation les consommateurs et les producteurs locaux, toute filière confondue, ce qui répond justement à la grande tendance du déploiement des circuits courts.
Enfin, si la prévention a toujours été au cœur de l’action de l’organisation professionnelle agricole, l’accent est désormais mis sur la protection des cultures face aux évolutions climatiques. « On ne peut pas continuer comme cela, sans se protéger face au dérèglement climatique », d’où l’incitation du président des caisses locales à souscrire à l’assurance multirisque climatique sur récoltes.

Toujours plus de connexion pour la prévention

Toujours plus de connexion pour la prévention

Pour Groupama, le Pass’Installation est depuis plusieurs années l’un des principaux moyens d’accompagner les jeunes installés durant leurs premières années.
La délégation de Saône-et-Loire dépend de la caisse Groupama Rhône-Alpes Auvergne, regroupant douze départements. Sur les 2.814 Jeunes agriculteurs bénéficiaires du Pass’Installation en 2019, 417 sont saône-et-loiriens dont 115 nouveaux exploitants agricoles « un chiffre en forte augmentation par rapport à d’autres années et ce, malgré la crise, témoigne Luc Chevalier, le président de la fédération départementale des caisses locales. Ce qui montre que les jeunes continuent de croire dans ce métier ». Ces jeunes représentent cependant vraiment une nouvelle génération : « ils ont une vision plus liée aux questions d’environnement, ils sont aussi plus en recherche de complément de revenus, que ce soit par le photovoltaïque, la méthanisation, la vente directe, etc ». Luc Chevalier a pu constater aussi une évolution dans leur profil, « on voit plus de paysagistes, de jeunes qui se lancent dans la notion de service à la personne ». Ils semblent ainsi vouloir « travailler moins, tout en valorisant mieux ».

Un tracteur et un portable

Pour accompagner cette nouvelle génération, Groupama tend de plus en plus à proposer des solutions connectées.
« L’avenir, ce sont les fermes connectées », rappelle Luc Chevalier, dont le principe est autant « de répondre à un besoin que d’offrir un confort de vie ».
Pour cela, la grande innovation, lancée courant 2019 par Groupama, est Gari une application agricole compilant tout un ensemble de services auxquels les agriculteurs peuvent avoir recours depuis leurs parcelles.
Trois de ces services sont gratuits, la météo, le gestionnaire de tâche et le suivi des cours (blé, maïs, colza). Trois sont payants : la vidéosurveillance agricole, les sondes à fourrage connectées, la station météo de précision.
« Le principe est vraiment d’être dans le mouvement du déploiement des nouvelles technologies au service de l’agriculture » qui ont explosé ces dernières années et qui n’ont pas fini de se déployer.
Les agriculteurs, les premiers, sont demandeurs de ces innovations puisque selon une étude réalisée en début d’année, "dans les deux prochaines années, 48 % des agriculteurs pensent investir dans au moins une nouvelle technologie qu’ils n’ont pas encore". Et en termes d’objets connectés, on peut compter sur les nouvelles générations pour être adeptes et équipées.

Expertise en drone

Ces technologies actuelles servent à différents moments de la vie des exploitations. Elles fournissent donc des informations en temps réel sur le temps qu’il va faire ou sur l’évolution des marchés, mais elles sont également utiles et de plus en plus utilisées en cas de sinistres notamment sur des cultures nécessitant le recours à un expert agricole. Le drone robot Exo.Expert simplifie ainsi le travail d’évaluation des dégâts en survolant les zones parfois difficiles d’accès. Cette estimation rendue plus juste est aussi plus rapide.
Et le recours à un drone va également au-delà. En cartographiant précisément une parcelle, cela peut aussi permettre un comptage des plantes et des fruits, l’évaluation des rendements, la détection d’un problème d’irrigation ou de début de maladies, etc.

Récoltes assurées

Autre service proposé par Groupama et présenté aux jeunes installés, le site web Granvillage qui met gratuitement en relation les consommateurs et les producteurs locaux, toute filière confondue, ce qui répond justement à la grande tendance du déploiement des circuits courts.
Enfin, si la prévention a toujours été au cœur de l’action de l’organisation professionnelle agricole, l’accent est désormais mis sur la protection des cultures face aux évolutions climatiques. « On ne peut pas continuer comme cela, sans se protéger face au dérèglement climatique », d’où l’incitation du président des caisses locales à souscrire à l’assurance multirisque climatique sur récoltes.