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Cuves béton, bois et inox

Un choix très personnel entre cuves béton, bois et inox

Au moment de choisir une cuve en béton, bois ou inox, il n’y a pas de vérité absolue. Il faut, en effet, que chaque viticulteur sache précisément ce qu’il souhaite faire et quel vin il désire obtenir.

Un choix très personnel entre cuves béton, bois et inox

La difficulté, pour un viticulteur, réside en la multiplicité des paramètres à prendre en compte au moment de choisir sa cuve. Qu’il s’agisse du prix, de la facilité de nettoyage, de l’esthétique ou encore du style de vin élaboré.

Paramètres multifactoriels

Lorsque l’on se penche sur le facteur prix, le bois (et la céramique) demeure(nt) le(s) plus cher(s), suivis par l’inox et le béton, ce dernier étant le plus compétitif. Le béton peut bénéficier de revêtements à l’intérieur à l’image des carreaux en verre (une formule peu utilisée) ou du parafinage des cuves. Dans ce dernier cas, il faut refaire le parafinage des cuves assez régulièrement car il y a un vrai risque de dégradation du vin si le parafinage vieillit trop. La troisième solution pour la cuve béton est d’installer de l’inox à l’intérieur. Néanmoins, cela entraîne un surcoût d’environ 30 %. Quant aux résines époxydiques, elles restent peu utilisées. L’un des aspects importants concerne l’esthétique. Un point qui demeure très subjectif. Alors que le bois a sans doute plus de charme, l’inox donne un caractère plus industriel. Par contre, la cuve béton revient à la mode.

Choix techniques

Par ailleurs, si l’inox est complètement imperméable, le béton et le bois permettent des échanges d’oxygène avec l’extérieur. L’un des points sensibles se situe au niveau du nettoyage. L’inox est extrêmement facile d’entretien. Parmi les deux types d’inox, 2B et 2RB, le second, recuit et brillant, est plus cher car moins sensible au dépôt de tartre. Le béton sans revêtement est plus difficile à entretenir et s’effrite au fil du temps. Quant au bois, il y a plus de complexité. Les cuves en bois gardent un historique microbien pouvant être bénéfique lors des fermentations ou préjudiciables si une contamination a lieu.

Côté thermorégulation, elle est presque systématiquement présente avec des cuves inox, parfois pour le béton et le bois. En terme de contenance, cela peut atteindre quelques milliers d’hectolitres avec l’inox, maximum 300 hectolitres pour le béton et de plus petits volumes avec le bois. Enfin, dernier paramètre à prendre en compte : la taille de l’entreprise et donc la place dont elle dispose pour installer ses cuves.

Un choix très personnel entre cuves béton, bois et inox

Un choix très personnel entre cuves béton, bois et inox

La difficulté, pour un viticulteur, réside en la multiplicité des paramètres à prendre en compte au moment de choisir sa cuve. Qu’il s’agisse du prix, de la facilité de nettoyage, de l’esthétique ou encore du style de vin élaboré.

Paramètres multifactoriels

Lorsque l’on se penche sur le facteur prix, le bois (et la céramique) demeure(nt) le(s) plus cher(s), suivis par l’inox et le béton, ce dernier étant le plus compétitif. Le béton peut bénéficier de revêtements à l’intérieur à l’image des carreaux en verre (une formule peu utilisée) ou du parafinage des cuves. Dans ce dernier cas, il faut refaire le parafinage des cuves assez régulièrement car il y a un vrai risque de dégradation du vin si le parafinage vieillit trop. La troisième solution pour la cuve béton est d’installer de l’inox à l’intérieur. Néanmoins, cela entraîne un surcoût d’environ 30 %. Quant aux résines époxydiques, elles restent peu utilisées. L’un des aspects importants concerne l’esthétique. Un point qui demeure très subjectif. Alors que le bois a sans doute plus de charme, l’inox donne un caractère plus industriel. Par contre, la cuve béton revient à la mode.

Choix techniques

Par ailleurs, si l’inox est complètement imperméable, le béton et le bois permettent des échanges d’oxygène avec l’extérieur. L’un des points sensibles se situe au niveau du nettoyage. L’inox est extrêmement facile d’entretien. Parmi les deux types d’inox, 2B et 2RB, le second, recuit et brillant, est plus cher car moins sensible au dépôt de tartre. Le béton sans revêtement est plus difficile à entretenir et s’effrite au fil du temps. Quant au bois, il y a plus de complexité. Les cuves en bois gardent un historique microbien pouvant être bénéfique lors des fermentations ou préjudiciables si une contamination a lieu.

Côté thermorégulation, elle est presque systématiquement présente avec des cuves inox, parfois pour le béton et le bois. En terme de contenance, cela peut atteindre quelques milliers d’hectolitres avec l’inox, maximum 300 hectolitres pour le béton et de plus petits volumes avec le bois. Enfin, dernier paramètre à prendre en compte : la taille de l’entreprise et donc la place dont elle dispose pour installer ses cuves.

Un choix très personnel entre cuves béton, bois et inox

Un choix très personnel entre cuves béton, bois et inox

La difficulté, pour un viticulteur, réside en la multiplicité des paramètres à prendre en compte au moment de choisir sa cuve. Qu’il s’agisse du prix, de la facilité de nettoyage, de l’esthétique ou encore du style de vin élaboré.

Paramètres multifactoriels

Lorsque l’on se penche sur le facteur prix, le bois (et la céramique) demeure(nt) le(s) plus cher(s), suivis par l’inox et le béton, ce dernier étant le plus compétitif. Le béton peut bénéficier de revêtements à l’intérieur à l’image des carreaux en verre (une formule peu utilisée) ou du parafinage des cuves. Dans ce dernier cas, il faut refaire le parafinage des cuves assez régulièrement car il y a un vrai risque de dégradation du vin si le parafinage vieillit trop. La troisième solution pour la cuve béton est d’installer de l’inox à l’intérieur. Néanmoins, cela entraîne un surcoût d’environ 30 %. Quant aux résines époxydiques, elles restent peu utilisées. L’un des aspects importants concerne l’esthétique. Un point qui demeure très subjectif. Alors que le bois a sans doute plus de charme, l’inox donne un caractère plus industriel. Par contre, la cuve béton revient à la mode.

Choix techniques

Par ailleurs, si l’inox est complètement imperméable, le béton et le bois permettent des échanges d’oxygène avec l’extérieur. L’un des points sensibles se situe au niveau du nettoyage. L’inox est extrêmement facile d’entretien. Parmi les deux types d’inox, 2B et 2RB, le second, recuit et brillant, est plus cher car moins sensible au dépôt de tartre. Le béton sans revêtement est plus difficile à entretenir et s’effrite au fil du temps. Quant au bois, il y a plus de complexité. Les cuves en bois gardent un historique microbien pouvant être bénéfique lors des fermentations ou préjudiciables si une contamination a lieu.

Côté thermorégulation, elle est presque systématiquement présente avec des cuves inox, parfois pour le béton et le bois. En terme de contenance, cela peut atteindre quelques milliers d’hectolitres avec l’inox, maximum 300 hectolitres pour le béton et de plus petits volumes avec le bois. Enfin, dernier paramètre à prendre en compte : la taille de l’entreprise et donc la place dont elle dispose pour installer ses cuves.

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