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Détours en Tournugeois

Un festival au cœur de la ruralité

Depuis près d’une décennie, Détours en Tournugeois participe à la diffusion de la culture en milieu rural. Avec un franc succès à la clé.

Un festival au cœur de la ruralité

Dix. 2018 sera la dixième édition d’un festival aussi anachronique qu’attachant : Détours en Tournugeois. Un festival visant à propager l’univers rural et la culture au sens noble du terme. Un festival qui cherche à mobiliser pour faire vivre le territoire. Avec réussite puisque le public se déplace en nombre afin d’assister à la copieuse programmation de Détours en Tournugeois concoctée par Quentin Marotine et Amélie Venisse.

L’embarras du choix

Du jeudi 30 août au dimanche 2 septembre, le festival s’installera à Tournus les trois premiers jours et à La-Chapelle-sous-Brancion le dimanche. La dixième édition aura, comme chaque année, l’ambition de faire vivre - à quelque 6.000 personnes - quatre jours de spectacles, de magie, de rencontres et d’échanges. Car la force et le principal atout de cet événement est, de s’adresser à toutes les générations, permettant ainsi à une famille de se retrouver autour d’un ou plusieurs spectacles. Charge à chacun de donner, en fonction du plaisir et des émotions ressentis, ce qu’il souhaite puisque les prix sont libres.

Cela débutera le jeudi à 19h30 avec Cheval des 3, un diabolique, lyrique et euphorique trio de rue. On citera aussi, lors de cette soirée, Passion coco à 22h15 pour une cumbia qui devrait embraser la scène et faire danser le public. Place sera laissée, le lendemain, à quelques délicieux moments. On citera, en premier lieu, le voyage vertigineux et musclé au pays du cirque avec Pierre Déaux le funambule. Mais surtout, à 22h30, le concert de Sofiane Saidi & Mazalda. L’occasion de danser et vibrer en mêlant les sons d’aujourd’hui aux ondes mystiques du Nord de l’Afrique pour retrouver un univers qui trouve une inspiration venue des profondeurs du Raï. La journée de samedi verra se succéder plusieurs temps forts tout au long de la soirée. On pense, par exemple, à la Fanfare des lendemain qui, à 19h, invitera à redécouvrir des morceaux de Duke Ellington aux Beatles dans une esthétique profondément New-Orleans. Mais aussi aux trapézistes de la Cie les P'tits Bras ou encore à l’Histoire intime d’Elephant Man en compagnie de Fantazio.

Déménagement dominical

Quittant le site du Pas Fleury à Tournus, le festival déménagera dimanche en direction de La-Chapelle-sous-Brancion lors du dernier jour de festival. Le public aura notamment plaisir à se laisser porter à 17h par la compagnie Tout vrac et sa Cuisinière. Quant au final, il prendra la forme de la prestation toujours très appréciée de l’Impérial Kikiristan. Troubadours des métropoles, baladins des contrées oubliées, l’Impérial Kikiristan délivrera un spectacle éclectique dans la tradition des fêtes de la Cour Impériale de Kigrad. Entre taraf robotique, mariachis psychédéliques et brass band de salon (de coiffure), la troupe offrira près d’une heure de joutes musicales sur fond de spectacle folklorique. Entre danses traditionnelles « Kiks », music-hall low-cost, sérénades acrobatiques, révision du mobilier urbain et même dressage d’enfants. Pour le meilleur et pour le rire.

Un festival au cœur de la ruralité

Un festival au cœur de la ruralité

Dix. 2018 sera la dixième édition d’un festival aussi anachronique qu’attachant : Détours en Tournugeois. Un festival visant à propager l’univers rural et la culture au sens noble du terme. Un festival qui cherche à mobiliser pour faire vivre le territoire. Avec réussite puisque le public se déplace en nombre afin d’assister à la copieuse programmation de Détours en Tournugeois concoctée par Quentin Marotine et Amélie Venisse.

L’embarras du choix

Du jeudi 30 août au dimanche 2 septembre, le festival s’installera à Tournus les trois premiers jours et à La-Chapelle-sous-Brancion le dimanche. La dixième édition aura, comme chaque année, l’ambition de faire vivre - à quelque 6.000 personnes - quatre jours de spectacles, de magie, de rencontres et d’échanges. Car la force et le principal atout de cet événement est, de s’adresser à toutes les générations, permettant ainsi à une famille de se retrouver autour d’un ou plusieurs spectacles. Charge à chacun de donner, en fonction du plaisir et des émotions ressentis, ce qu’il souhaite puisque les prix sont libres.

Cela débutera le jeudi à 19h30 avec Cheval des 3, un diabolique, lyrique et euphorique trio de rue. On citera aussi, lors de cette soirée, Passion coco à 22h15 pour une cumbia qui devrait embraser la scène et faire danser le public. Place sera laissée, le lendemain, à quelques délicieux moments. On citera, en premier lieu, le voyage vertigineux et musclé au pays du cirque avec Pierre Déaux le funambule. Mais surtout, à 22h30, le concert de Sofiane Saidi & Mazalda. L’occasion de danser et vibrer en mêlant les sons d’aujourd’hui aux ondes mystiques du Nord de l’Afrique pour retrouver un univers qui trouve une inspiration venue des profondeurs du Raï. La journée de samedi verra se succéder plusieurs temps forts tout au long de la soirée. On pense, par exemple, à la Fanfare des lendemain qui, à 19h, invitera à redécouvrir des morceaux de Duke Ellington aux Beatles dans une esthétique profondément New-Orleans. Mais aussi aux trapézistes de la Cie les P'tits Bras ou encore à l’Histoire intime d’Elephant Man en compagnie de Fantazio.

Déménagement dominical

Quittant le site du Pas Fleury à Tournus, le festival déménagera dimanche en direction de La-Chapelle-sous-Brancion lors du dernier jour de festival. Le public aura notamment plaisir à se laisser porter à 17h par la compagnie Tout vrac et sa Cuisinière. Quant au final, il prendra la forme de la prestation toujours très appréciée de l’Impérial Kikiristan. Troubadours des métropoles, baladins des contrées oubliées, l’Impérial Kikiristan délivrera un spectacle éclectique dans la tradition des fêtes de la Cour Impériale de Kigrad. Entre taraf robotique, mariachis psychédéliques et brass band de salon (de coiffure), la troupe offrira près d’une heure de joutes musicales sur fond de spectacle folklorique. Entre danses traditionnelles « Kiks », music-hall low-cost, sérénades acrobatiques, révision du mobilier urbain et même dressage d’enfants. Pour le meilleur et pour le rire.

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