Agroécologie
Un potentiel unique et original
Développer des systèmes agricoles innovants qui permettent en
particulier de n’utiliser que de très faibles quantités d’intrants :
telle est aujourd’hui l’une des préoccupations majeures de
l’agronomie. d’où les travaux menés actuellement, des travaux visant à
mieux comprendre les relations complexes entre la structure du sol, sa
biodiversité et les pratiques culturales pour mieux maîtriser les
mauvaises herbes dans les grandes cultures, l’objectif final étant de
concilier écologie et agriculture afin de produire de façon durable.
particulier de n’utiliser que de très faibles quantités d’intrants :
telle est aujourd’hui l’une des préoccupations majeures de
l’agronomie. d’où les travaux menés actuellement, des travaux visant à
mieux comprendre les relations complexes entre la structure du sol, sa
biodiversité et les pratiques culturales pour mieux maîtriser les
mauvaises herbes dans les grandes cultures, l’objectif final étant de
concilier écologie et agriculture afin de produire de façon durable.
Et pour y parvenir, les partenaires de Vitagora® disposent d’atouts relativement uniques, à commencer par Genosol[WEB], qui vient d’être retenu dans le cadre des investissements d’avenir via le projet anaee-service[/WEB]. Cet outil est un véritable conservatoire des sols et de leur biodiversité[WEB], mais aussi une plateforme technique de standardisation des outils moléculaires pour travailler en moyen débit et, enfin, une base de données permettant de gérer l’ensemble des échantillons et des données et de développer le premier référentiel de la biodiversité des sols[/WEB]. Il apparaît donc désormais en Europe comme un outil stratégique en microbiologie environnementale. Autre originalité, la Plateforme de Phénotypage Haut débit (PPHd) de l’UMR Agroécologie qui sera inaugurée ce 6 juillet prochain.
Un équipement « high-tech » sans équivalent dans le monde puisqu’il va permettre de suivre, à l’aide de caméras dans différentes longueurs d’ondes, le développement, tant aérien que racinaire, de plantes placées dans des conditions environnementales fluctuantes, contraintes ou stressantes très contrôlées. [WEB]Tout comme Genosol, la PPHD a également été retenue dans le cadre des investissements d’avenir via le projet Phenome, un financement grâce auquel cette plateforme sera dotée, d’ici quelques mois, d’un millier de rhizotrons, des dispositifs originaux, conçus par une PME bourguignonne, Inoviaflow, qui permettront aux chercheurs en particulier de visualiser le système racinaire des plantes et par conséquent l’interaction entre celles-ci et les microorganismes telluriques. [/WEB]Mais au-delà de ces deux équipements exceptionnels [WEB]dont vont bénéficier évidemment les chercheurs travaillant dans des laboratoires partenaires de Vitagora® , des équipements qui, à n’en pas douter, susciteront également l’initiation de collaborations fructueuses au niveau national et international[/WEB], nous disposons d’un adossement scientifique exceptionnel. En l’occurrence, je pense aux chercheurs et au personnel technique de la nouvelle unité mixte de recherche agroécologie (Inra/ Université de Bourgogne/CNRS/Agrosup Dijon) qui a vu le jour début 2012, suite au regroupement de différentes structures de recherche en agronomie, amélioration des plantes, microbiologie des sols et environnement, gestion des adventices. avec 250 permanents issus de différentes disciplines, celle-ci représente aujourd’hui un éventail de compétences assez unique au plan national qui, plus généralement, s’inscrit dans la démarche de Vitagora® d’une agriculture plus durable indispensable à l’émergence d’une alimentation elle aussi plus durable.
Patrick Etiévant Directeur du Centre Inra de Dijon - Partenaire de Vitagora®
Un équipement « high-tech » sans équivalent dans le monde puisqu’il va permettre de suivre, à l’aide de caméras dans différentes longueurs d’ondes, le développement, tant aérien que racinaire, de plantes placées dans des conditions environnementales fluctuantes, contraintes ou stressantes très contrôlées. [WEB]Tout comme Genosol, la PPHD a également été retenue dans le cadre des investissements d’avenir via le projet Phenome, un financement grâce auquel cette plateforme sera dotée, d’ici quelques mois, d’un millier de rhizotrons, des dispositifs originaux, conçus par une PME bourguignonne, Inoviaflow, qui permettront aux chercheurs en particulier de visualiser le système racinaire des plantes et par conséquent l’interaction entre celles-ci et les microorganismes telluriques. [/WEB]Mais au-delà de ces deux équipements exceptionnels [WEB]dont vont bénéficier évidemment les chercheurs travaillant dans des laboratoires partenaires de Vitagora® , des équipements qui, à n’en pas douter, susciteront également l’initiation de collaborations fructueuses au niveau national et international[/WEB], nous disposons d’un adossement scientifique exceptionnel. En l’occurrence, je pense aux chercheurs et au personnel technique de la nouvelle unité mixte de recherche agroécologie (Inra/ Université de Bourgogne/CNRS/Agrosup Dijon) qui a vu le jour début 2012, suite au regroupement de différentes structures de recherche en agronomie, amélioration des plantes, microbiologie des sols et environnement, gestion des adventices. avec 250 permanents issus de différentes disciplines, celle-ci représente aujourd’hui un éventail de compétences assez unique au plan national qui, plus généralement, s’inscrit dans la démarche de Vitagora® d’une agriculture plus durable indispensable à l’émergence d’une alimentation elle aussi plus durable.
Patrick Etiévant Directeur du Centre Inra de Dijon - Partenaire de Vitagora®