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Glorieuse de Bresse à Louhans

Un sentiment diffus

Après la venue, en grandes pompes, du ministre de l’Agriculture l’an passé, la version 2018 de la Glorieuse louhannaise a été un millésime particulier entre sécheresse estivale, émotion au moment d’évoquer quelques figures historiques trop tôt disparues et mobilisation des "gilets jaunes".

Un sentiment diffus

Destinée à célébrer le travail des éleveurs et une volaille d’exception, la Glorieuse de Louhans s’est déroulée dans une atmosphère sinon pesante du moins peu propice à faire la fête. Pour preuve la forte mobilisation des forces de l’ordre en cette période troublée, suite aux événements tragiques de Strasbourg et à la mobilisation des gilets jaunes à quelques encablures de la salle de la Grenette.

L’impact de la sécheresse

Ce 153e concours était aussi l’occasion de saluer la mémoire de figures qui ont tant œuvré au bon déroulement de cet événement. On pense, bien évidemment, à Maurice Mazuy. Mais aussi à Lucien Marquis, éleveur de volailles de Bresse, qui a tant fait pour la mise en valeur de l’AOC. Un amour du travail qu’il aura transmis à son fils Jean-Claude et à son petit-fils Laurent.

Lorsque l’on se concentre sur le concours, force est de constater l’impact, forcément négatif, de la sécheresse, sur les animaux. Ce que n’a pas manqué de rappeler le président Jean-Paul Treboz, évoquant « un travail fastidieux. La filière a connu une année atypique avec cette période de sécheresse. Les volailles ont souffert. Les éleveurs ont bien su redresser la situation malgré une diminution de poids des animaux. » Soulignant le rôle essentiel du jury, composé d’une cinquantaine de personnes qui, pour certaines, n’hésitent pas à effectuer un long déplacement pour seulement quelques heures, Jean-Paul Treboz a salué l’arrivée de deux nouveaux éleveurs.

Côté palmarès, après la victoire du Belge Dimitri de Cuyper l’an passé, le Vase de Sèvres est revenu en 2018 à Angèle Hyon et Raphaël Lamberet de Béréziat. Un couple qui s’est également imposé dans la catégorie mariages. On retiendra les habituels grands prix d’honneur de Fabrice Gacon en pintades et canards de barbarie, la relève de la famille Marquis incarnée désormais pas Laurent, lauréat en poulets pliés, et la belle promesse symbolisée par Johan Morand, grand prix d’honneur en poulettes pliées, et accessoirement fils d’un certain Jacques.

Un sentiment diffus

Un sentiment diffus

Destinée à célébrer le travail des éleveurs et une volaille d’exception, la Glorieuse de Louhans s’est déroulée dans une atmosphère sinon pesante du moins peu propice à faire la fête. Pour preuve la forte mobilisation des forces de l’ordre en cette période troublée, suite aux événements tragiques de Strasbourg et à la mobilisation des gilets jaunes à quelques encablures de la salle de la Grenette.

L’impact de la sécheresse

Ce 153e concours était aussi l’occasion de saluer la mémoire de figures qui ont tant œuvré au bon déroulement de cet événement. On pense, bien évidemment, à Maurice Mazuy. Mais aussi à Lucien Marquis, éleveur de volailles de Bresse, qui a tant fait pour la mise en valeur de l’AOC. Un amour du travail qu’il aura transmis à son fils Jean-Claude et à son petit-fils Laurent.

Lorsque l’on se concentre sur le concours, force est de constater l’impact, forcément négatif, de la sécheresse, sur les animaux. Ce que n’a pas manqué de rappeler le président Jean-Paul Treboz, évoquant « un travail fastidieux. La filière a connu une année atypique avec cette période de sécheresse. Les volailles ont souffert. Les éleveurs ont bien su redresser la situation malgré une diminution de poids des animaux. » Soulignant le rôle essentiel du jury, composé d’une cinquantaine de personnes qui, pour certaines, n’hésitent pas à effectuer un long déplacement pour seulement quelques heures, Jean-Paul Treboz a salué l’arrivée de deux nouveaux éleveurs.

Côté palmarès, après la victoire du Belge Dimitri de Cuyper l’an passé, le Vase de Sèvres est revenu en 2018 à Angèle Hyon et Raphaël Lamberet de Béréziat. Un couple qui s’est également imposé dans la catégorie mariages. On retiendra les habituels grands prix d’honneur de Fabrice Gacon en pintades et canards de barbarie, la relève de la famille Marquis incarnée désormais pas Laurent, lauréat en poulets pliés, et la belle promesse symbolisée par Johan Morand, grand prix d’honneur en poulettes pliées, et accessoirement fils d’un certain Jacques.

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