Un vent de renouveau fait le nouveau succès des Grands jours de Bourgogne 2018
Les Grands jours de Bourgogne se sont cloturés sur un bilan largement positif. L’événement professionnel s’inscrit parfaitement dans le calendrier commercial des vins. L’édition 2020 se prépare déjà avec des nouveautés en perspective. Retour sur les événements de la deuxième partie de semaine (lire à ce sujet aussi notre édition précédente).

Pour remercier les partenaires financeurs - « surtout institutionnels » (région BFC, collectivités…) et privés (Crédit mutuel…) -, l’association organisatrice des Grands jours de Bourgogne avait convié quelques journalistes pour faire un « tour » des événements « BtoB » (pro à pro) de cette semaine dédiée aux seuls professionnels de la filière vitivinicole. Lancée en 1992 et se déroulant tous les deux ans, cette manifestation en était à sa 14e édition et a une nouvelle fois « montré la diversité de nos cinq sous régions », rappelait Raphaël Dubois. Le président de l’association organisatrice poursuit sont travail pour en faire un « salon international à ciel ouvert et sur nos terres » bourguignonnes ce qui, grâce à « des lieux différents, en fait son originalité ».
Le nouveau responsable de la commission Communication au BIVB, Claude Chevalier s’en félicitait également car, même si cela demande plus d’organisation, les Grands jours de Bourgogne ne sont « pas tombés dans la lassitude d’une grande manifestation ». Quasiment chaque jour propose jusqu’à trois lieux de dégustation proches « pour ne pas perdre trop de temps ». Ce qui explique en partie la montée des Mâconnais à Beaune notamment.
Juste avant Prowein
Le président délégué du BIVB, Louis-Fabrice Latour rappelait que cet événement est « très bien situé dans l’espace et le temps » par rapport au salon international Prowein, lequel se tient la semaine suivante à Düsseldorf en Allemagne. Le négociant beaunois se disait soulagé de voir « une atmosphère plus apaisée » que celle redoutée un temps, en raison de la faible récolte 2016. Bien qu’ayant ainsi moins de vins à vendre, le nombre d’exposants était néanmoins en légère hausse, signe que « les affaires se portent bien ». Evidemment, Louis-Fabrice Latour invitait chacun à « rester attentif aux grands jeux géopolitiques », faisant ainsi référence aux répercussions de la politique économique protectionniste du président Trump notamment.
1.171 nouveaux contacts
« Nous sommes là pour faire du business et montrer à nos prescripteurs qu’on est capable de faire des dégustations de prestige », insistait Raphaël Dubois. Et pour bien faire, le BIVB a fait un ciblage particulièrement important pour « renouveler » le visitorat de qualité.
Selon les premières estimations, 2.311 visiteurs sont venus cette année, soit seulement onze de moins qu’il y a deux ans (2.322 en 2016 ; -0,5 %). Surtout, parmi eux, 1.171 nouveaux contacts - 51 % du total donc - ont découvert l’événement. Il ne s’agissait pas pour autant de novices puisque tous devaient être acheteurs de Bourgogne au préalable. Au final, les acheteurs français ont bien fait le déplacement, représentant 43 % des inscrits. Parmi les 57 % d’étrangers, les nationalités en tête sont les Américains, les Italiens, les Belges et les Chinois. En terme de métiers, importateurs (30 %) et cavistes (21 %) constituent la moitié du visitorat, en augmentation par rapport à 2016 (51 % du total contre 48 %). Restaurants (9 %), agents commerciaux (9 %), sommeliers (7 %), négociants (7 %), distributeurs (5 %), bars à vins (3 %) et courtiers (2 %) constituent le reste de la troupe des acheteurs professionnels. Comptabilisés parmi les prescripteurs, 155 journalistes ont et vont relayer pour faire la promotion des vins de Bourgogne dans leurs médias.
Tourisme et labels
Pour le vice-président de la région Bourgogne-Franche-Comté, Patrick Ayache, les Grands jours « accompagnent la mise en tourisme », pour devenir la première région de France en matière d’œnotourisme.
Avec ce nouveau succès, l’association des Grands jours prépare déjà la prochaine édition en 2020. En réflexion, « comment on valorise les labels ? » (Farre, Terra vitis…), entrevoit Raphaël Dubois suite aux « demandes des marchés » et des acheteurs professionnels qui avaient réclamé un événement spécial pour les vins bio, lequel s'est tenu dans le cadre du programme officiel à Rully le jeudi.
Rendez-vous donc en 2020 pour découvrir les prochaines nouveautés.
Un vent de renouveau fait le nouveau succès des Grands jours de Bourgogne 2018

Pour remercier les partenaires financeurs - « surtout institutionnels » (région BFC, collectivités…) et privés (Crédit mutuel…) -, l’association organisatrice des Grands jours de Bourgogne avait convié quelques journalistes pour faire un « tour » des événements « BtoB » (pro à pro) de cette semaine dédiée aux seuls professionnels de la filière vitivinicole. Lancée en 1992 et se déroulant tous les deux ans, cette manifestation en était à sa 14e édition et a une nouvelle fois « montré la diversité de nos cinq sous régions », rappelait Raphaël Dubois. Le président de l’association organisatrice poursuit sont travail pour en faire un « salon international à ciel ouvert et sur nos terres » bourguignonnes ce qui, grâce à « des lieux différents, en fait son originalité ».
Le nouveau responsable de la commission Communication au BIVB, Claude Chevalier s’en félicitait également car, même si cela demande plus d’organisation, les Grands jours de Bourgogne ne sont « pas tombés dans la lassitude d’une grande manifestation ». Quasiment chaque jour propose jusqu’à trois lieux de dégustation proches « pour ne pas perdre trop de temps ». Ce qui explique en partie la montée des Mâconnais à Beaune notamment.
Juste avant Prowein
Le président délégué du BIVB, Louis-Fabrice Latour rappelait que cet événement est « très bien situé dans l’espace et le temps » par rapport au salon international Prowein, lequel se tient la semaine suivante à Düsseldorf en Allemagne. Le négociant beaunois se disait soulagé de voir « une atmosphère plus apaisée » que celle redoutée un temps, en raison de la faible récolte 2016. Bien qu’ayant ainsi moins de vins à vendre, le nombre d’exposants était néanmoins en légère hausse, signe que « les affaires se portent bien ». Evidemment, Louis-Fabrice Latour invitait chacun à « rester attentif aux grands jeux géopolitiques », faisant ainsi référence aux répercussions de la politique économique protectionniste du président Trump notamment.
1.171 nouveaux contacts
« Nous sommes là pour faire du business et montrer à nos prescripteurs qu’on est capable de faire des dégustations de prestige », insistait Raphaël Dubois. Et pour bien faire, le BIVB a fait un ciblage particulièrement important pour « renouveler » le visitorat de qualité.
Selon les premières estimations, 2.311 visiteurs sont venus cette année, soit seulement onze de moins qu’il y a deux ans (2.322 en 2016 ; -0,5 %). Surtout, parmi eux, 1.171 nouveaux contacts - 51 % du total donc - ont découvert l’événement. Il ne s’agissait pas pour autant de novices puisque tous devaient être acheteurs de Bourgogne au préalable. Au final, les acheteurs français ont bien fait le déplacement, représentant 43 % des inscrits. Parmi les 57 % d’étrangers, les nationalités en tête sont les Américains, les Italiens, les Belges et les Chinois. En terme de métiers, importateurs (30 %) et cavistes (21 %) constituent la moitié du visitorat, en augmentation par rapport à 2016 (51 % du total contre 48 %). Restaurants (9 %), agents commerciaux (9 %), sommeliers (7 %), négociants (7 %), distributeurs (5 %), bars à vins (3 %) et courtiers (2 %) constituent le reste de la troupe des acheteurs professionnels. Comptabilisés parmi les prescripteurs, 155 journalistes ont et vont relayer pour faire la promotion des vins de Bourgogne dans leurs médias.
Tourisme et labels
Pour le vice-président de la région Bourgogne-Franche-Comté, Patrick Ayache, les Grands jours « accompagnent la mise en tourisme », pour devenir la première région de France en matière d’œnotourisme.
Avec ce nouveau succès, l’association des Grands jours prépare déjà la prochaine édition en 2020. En réflexion, « comment on valorise les labels ? » (Farre, Terra vitis…), entrevoit Raphaël Dubois suite aux « demandes des marchés » et des acheteurs professionnels qui avaient réclamé un événement spécial pour les vins bio, lequel s'est tenu dans le cadre du programme officiel à Rully le jeudi.
Rendez-vous donc en 2020 pour découvrir les prochaines nouveautés.
Un vent de renouveau fait le nouveau succès des Grands jours de Bourgogne 2018

Pour remercier les partenaires financeurs - « surtout institutionnels » (région BFC, collectivités…) et privés (Crédit mutuel…) -, l’association organisatrice des Grands jours de Bourgogne avait convié quelques journalistes pour faire un « tour » des événements « BtoB » (pro à pro) de cette semaine dédiée aux seuls professionnels de la filière vitivinicole. Lancée en 1992 et se déroulant tous les deux ans, cette manifestation en était à sa 14e édition et a une nouvelle fois « montré la diversité de nos cinq sous régions », rappelait Raphaël Dubois. Le président de l’association organisatrice poursuit sont travail pour en faire un « salon international à ciel ouvert et sur nos terres » bourguignonnes ce qui, grâce à « des lieux différents, en fait son originalité ».
Le nouveau responsable de la commission Communication au BIVB, Claude Chevalier s’en félicitait également car, même si cela demande plus d’organisation, les Grands jours de Bourgogne ne sont « pas tombés dans la lassitude d’une grande manifestation ». Quasiment chaque jour propose jusqu’à trois lieux de dégustation proches « pour ne pas perdre trop de temps ». Ce qui explique en partie la montée des Mâconnais à Beaune notamment.
Juste avant Prowein
Le président délégué du BIVB, Louis-Fabrice Latour rappelait que cet événement est « très bien situé dans l’espace et le temps » par rapport au salon international Prowein, lequel se tient la semaine suivante à Düsseldorf en Allemagne. Le négociant beaunois se disait soulagé de voir « une atmosphère plus apaisée » que celle redoutée un temps, en raison de la faible récolte 2016. Bien qu’ayant ainsi moins de vins à vendre, le nombre d’exposants était néanmoins en légère hausse, signe que « les affaires se portent bien ». Evidemment, Louis-Fabrice Latour invitait chacun à « rester attentif aux grands jeux géopolitiques », faisant ainsi référence aux répercussions de la politique économique protectionniste du président Trump notamment.
1.171 nouveaux contacts
« Nous sommes là pour faire du business et montrer à nos prescripteurs qu’on est capable de faire des dégustations de prestige », insistait Raphaël Dubois. Et pour bien faire, le BIVB a fait un ciblage particulièrement important pour « renouveler » le visitorat de qualité.
Selon les premières estimations, 2.311 visiteurs sont venus cette année, soit seulement onze de moins qu’il y a deux ans (2.322 en 2016 ; -0,5 %). Surtout, parmi eux, 1.171 nouveaux contacts - 51 % du total donc - ont découvert l’événement. Il ne s’agissait pas pour autant de novices puisque tous devaient être acheteurs de Bourgogne au préalable. Au final, les acheteurs français ont bien fait le déplacement, représentant 43 % des inscrits. Parmi les 57 % d’étrangers, les nationalités en tête sont les Américains, les Italiens, les Belges et les Chinois. En terme de métiers, importateurs (30 %) et cavistes (21 %) constituent la moitié du visitorat, en augmentation par rapport à 2016 (51 % du total contre 48 %). Restaurants (9 %), agents commerciaux (9 %), sommeliers (7 %), négociants (7 %), distributeurs (5 %), bars à vins (3 %) et courtiers (2 %) constituent le reste de la troupe des acheteurs professionnels. Comptabilisés parmi les prescripteurs, 155 journalistes ont et vont relayer pour faire la promotion des vins de Bourgogne dans leurs médias.
Tourisme et labels
Pour le vice-président de la région Bourgogne-Franche-Comté, Patrick Ayache, les Grands jours « accompagnent la mise en tourisme », pour devenir la première région de France en matière d’œnotourisme.
Avec ce nouveau succès, l’association des Grands jours prépare déjà la prochaine édition en 2020. En réflexion, « comment on valorise les labels ? » (Farre, Terra vitis…), entrevoit Raphaël Dubois suite aux « demandes des marchés » et des acheteurs professionnels qui avaient réclamé un événement spécial pour les vins bio, lequel s'est tenu dans le cadre du programme officiel à Rully le jeudi.
Rendez-vous donc en 2020 pour découvrir les prochaines nouveautés.
Un vent de renouveau fait le nouveau succès des Grands jours de Bourgogne 2018

Pour remercier les partenaires financeurs - « surtout institutionnels » (région BFC, collectivités…) et privés (Crédit mutuel…) -, l’association organisatrice des Grands jours de Bourgogne avait convié quelques journalistes pour faire un « tour » des événements « BtoB » (pro à pro) de cette semaine dédiée aux seuls professionnels de la filière vitivinicole. Lancée en 1992 et se déroulant tous les deux ans, cette manifestation en était à sa 14e édition et a une nouvelle fois « montré la diversité de nos cinq sous régions », rappelait Raphaël Dubois. Le président de l’association organisatrice poursuit sont travail pour en faire un « salon international à ciel ouvert et sur nos terres » bourguignonnes ce qui, grâce à « des lieux différents, en fait son originalité ».
Le nouveau responsable de la commission Communication au BIVB, Claude Chevalier s’en félicitait également car, même si cela demande plus d’organisation, les Grands jours de Bourgogne ne sont « pas tombés dans la lassitude d’une grande manifestation ». Quasiment chaque jour propose jusqu’à trois lieux de dégustation proches « pour ne pas perdre trop de temps ». Ce qui explique en partie la montée des Mâconnais à Beaune notamment.
Juste avant Prowein
Le président délégué du BIVB, Louis-Fabrice Latour rappelait que cet événement est « très bien situé dans l’espace et le temps » par rapport au salon international Prowein, lequel se tient la semaine suivante à Düsseldorf en Allemagne. Le négociant beaunois se disait soulagé de voir « une atmosphère plus apaisée » que celle redoutée un temps, en raison de la faible récolte 2016. Bien qu’ayant ainsi moins de vins à vendre, le nombre d’exposants était néanmoins en légère hausse, signe que « les affaires se portent bien ». Evidemment, Louis-Fabrice Latour invitait chacun à « rester attentif aux grands jeux géopolitiques », faisant ainsi référence aux répercussions de la politique économique protectionniste du président Trump notamment.
1.171 nouveaux contacts
« Nous sommes là pour faire du business et montrer à nos prescripteurs qu’on est capable de faire des dégustations de prestige », insistait Raphaël Dubois. Et pour bien faire, le BIVB a fait un ciblage particulièrement important pour « renouveler » le visitorat de qualité.
Selon les premières estimations, 2.311 visiteurs sont venus cette année, soit seulement onze de moins qu’il y a deux ans (2.322 en 2016 ; -0,5 %). Surtout, parmi eux, 1.171 nouveaux contacts - 51 % du total donc - ont découvert l’événement. Il ne s’agissait pas pour autant de novices puisque tous devaient être acheteurs de Bourgogne au préalable. Au final, les acheteurs français ont bien fait le déplacement, représentant 43 % des inscrits. Parmi les 57 % d’étrangers, les nationalités en tête sont les Américains, les Italiens, les Belges et les Chinois. En terme de métiers, importateurs (30 %) et cavistes (21 %) constituent la moitié du visitorat, en augmentation par rapport à 2016 (51 % du total contre 48 %). Restaurants (9 %), agents commerciaux (9 %), sommeliers (7 %), négociants (7 %), distributeurs (5 %), bars à vins (3 %) et courtiers (2 %) constituent le reste de la troupe des acheteurs professionnels. Comptabilisés parmi les prescripteurs, 155 journalistes ont et vont relayer pour faire la promotion des vins de Bourgogne dans leurs médias.
Tourisme et labels
Pour le vice-président de la région Bourgogne-Franche-Comté, Patrick Ayache, les Grands jours « accompagnent la mise en tourisme », pour devenir la première région de France en matière d’œnotourisme.
Avec ce nouveau succès, l’association des Grands jours prépare déjà la prochaine édition en 2020. En réflexion, « comment on valorise les labels ? » (Farre, Terra vitis…), entrevoit Raphaël Dubois suite aux « demandes des marchés » et des acheteurs professionnels qui avaient réclamé un événement spécial pour les vins bio, lequel s'est tenu dans le cadre du programme officiel à Rully le jeudi.
Rendez-vous donc en 2020 pour découvrir les prochaines nouveautés.