Unité, solidarité et efficacité au dernier conseil de l’agriculture de Saône-et-Loire
Après avoir accueilli les participants le 6 novembre à Verdun-sur-le-Doubs, Bernard Lacour ouvrait un conseil de l’agriculture dont l’ordre du jour - chargé - reflète les préoccupations de l’agriculture de Saône-et-Loire.
La conjoncture occupe les esprits à plus d’un titre : climatique d’abord, pour faire face à l’urgence de la situation suite à des mois de sècheresse, mais aussi économique pour nombre de filières qui ont bien des difficultés à offrir aux producteurs une rémunération décente et des perspectives. A ce contexte morose vient se rajouter un traitement médiatique anxiogène et négatif dont tous les participants se seraient bien passé. La montée en puissance de l’agribashing, des végans et de l'antispécisme et d’autres dénigrent l’agriculture en générale. La liberté de pensée et de manifester sont respectables mais la possibilité de casser, de détruire, d’imposer par la force ses idéaux doivent être condamnés. En ce sens, le silence des pouvoirs publics et des élus en Saône-et-Loire reste incompréhensible.
Du débat, il ressort que les organisations professionnelles de Saône-et-Loire font bloc - coude à coude - pour appuyer certaines demandes urgentes en direction des pouvoirs publics : versement immédiat des dégrèvements TFNB, prise en compte de la sécheresse par le fonds des calamités, évolution des critères pour prendre en compte les éleveurs laitiers et les exploitations diversifiées, soutenir les demandes auprès de la Région et du Département (lire en page HH) qui au-delà de l’aspect financier confirmeront aux éleveurs qu’ils ont été entendus et compris dans l’ampleur de leur détresse. Chaque organisation a ensuite précisé la façon dont elle accompagne ses ressortissants pour trouver, en plus, d’autres solutions adaptées à chaque cas.
Dans ce contexte, les élections professionnelles aux chambres d’Agriculture seront pour le Conseil de l’agriculture, l’occasion de conforter l’unité professionnelle autour du projet porté par la FDSEA et les JA. L’enjeu majeur est d’obtenir une participation au scrutin la plus forte possible.
Enfin, le projet de Parc naturel régional (PNR) en Bresse s’est invité dans les débats. Evoqué dans les milieux autorisés, comme disait le regretté Coluche, ce sujet est important pour les acteurs économiques de la Bresse Bourguignonne et les agriculteurs en particulier. Le Conseil de l’agriculture portera prochainement une approche partagée.
Unité, solidarité et efficacité au dernier conseil de l’agriculture de Saône-et-Loire
La conjoncture occupe les esprits à plus d’un titre : climatique d’abord, pour faire face à l’urgence de la situation suite à des mois de sècheresse, mais aussi économique pour nombre de filières qui ont bien des difficultés à offrir aux producteurs une rémunération décente et des perspectives. A ce contexte morose vient se rajouter un traitement médiatique anxiogène et négatif dont tous les participants se seraient bien passé. La montée en puissance de l’agribashing, des végans et de l'antispécisme et d’autres dénigrent l’agriculture en générale. La liberté de pensée et de manifester sont respectables mais la possibilité de casser, de détruire, d’imposer par la force ses idéaux doivent être condamnés. En ce sens, le silence des pouvoirs publics et des élus en Saône-et-Loire reste incompréhensible.
Du débat, il ressort que les organisations professionnelles de Saône-et-Loire font bloc - coude à coude - pour appuyer certaines demandes urgentes en direction des pouvoirs publics : versement immédiat des dégrèvements TFNB, prise en compte de la sécheresse par le fonds des calamités, évolution des critères pour prendre en compte les éleveurs laitiers et les exploitations diversifiées, soutenir les demandes auprès de la Région et du Département (lire en page HH) qui au-delà de l’aspect financier confirmeront aux éleveurs qu’ils ont été entendus et compris dans l’ampleur de leur détresse. Chaque organisation a ensuite précisé la façon dont elle accompagne ses ressortissants pour trouver, en plus, d’autres solutions adaptées à chaque cas.
Dans ce contexte, les élections professionnelles aux chambres d’Agriculture seront pour le Conseil de l’agriculture, l’occasion de conforter l’unité professionnelle autour du projet porté par la FDSEA et les JA. L’enjeu majeur est d’obtenir une participation au scrutin la plus forte possible.
Enfin, le projet de Parc naturel régional (PNR) en Bresse s’est invité dans les débats. Evoqué dans les milieux autorisés, comme disait le regretté Coluche, ce sujet est important pour les acteurs économiques de la Bresse Bourguignonne et les agriculteurs en particulier. Le Conseil de l’agriculture portera prochainement une approche partagée.
