Pascal Touvrey à Varennes-Saint-Sauveur
Valoriser le travail des éleveurs
Au cœur de la Bresse, Pascal Touvrey fait en sorte de parfaitement mettre en exergue le travail des éleveurs en proposant sur table une volaille à la texture et à la saveur incomparables.
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Natif de Louhans, Pascal Touvrey garde de délicieux souvenirs de la cuisine de sa mère et de sa grand-mère. C’est à l’âge de seize ans qu’il débute son apprentissage de cuisinier au Domaine touristique du Revermont situé à Passenars. Au fur et à mesure des douze années qu’il y reste, il gravit un à un tous les échelons qui mènent de l’apprentissage à la responsabilité de chef de cuisine.
Un maximum de produits locaux
Suite à cette belle expérience, il décide de s’installer avec son épouse à Varennes-Saint-Sauveur. Ce qui fut fait 10 mars 1997, date à laquelle il reprend le restaurant Le Saint-Sauveur.
« Je propose différents styles de cuisine, aussi bien familiale que plus simple en semaine et plus travaillée le week-end. Ma cuisine est basée sur le terroir. J’utilise un maximum de produits locaux comme le bœuf charolais, le beurre, la crème et le fromage blanc de Bresse ainsi que différents fromages. Sans oublier la volaille de Bresse produite par Jean-Claude Marquis et Alain Magnin ! En étant installé au cœur de cette région, cela me semble logique de proposer un tel produit. C’est une volaille qui a une texture et une saveur incomparables. Il y a aussi une fermeté qui provient du fait que les volailles sortent des poulaillers et peuvent ainsi courir librement ».
Des volailles assez grosses
Généreux dans sa cuisine, Pascal Touvrey l’est également lorsqu’il cuisine la volaille de Bresse.
« Je souhaite avoir des volailles assez grosses pour que les gens aient de bonnes quantités dans leur assiette. Les touristes sont demandeurs de volaille de Bresse. J’aime bien la présenter simplement rôtie, servie avec son jus. Je la propose aussi à la crème, aux morilles… ».
Quant aux Glorieuses de Bresse et plus particulièrement celle de Louhans, Pascal Touvrey souligne leur importance. « Ces concours - et notamment celui de Louhans - sont une belle occasion de mettre en valeur la volaille de Bresse et le travail des éleveurs. C’est un travail difficile, de titan, que d’élever des volailles de Bresse. Le grand public ne se rend pas forcément compte de tout ce que cela suppose en terme de contraintes pour présenter de tels animaux. C’est une tradition qui est impressionnante et qui permet encore aujourd’hui de mettre en avant les professionnels ».
Un maximum de produits locaux
Suite à cette belle expérience, il décide de s’installer avec son épouse à Varennes-Saint-Sauveur. Ce qui fut fait 10 mars 1997, date à laquelle il reprend le restaurant Le Saint-Sauveur.
« Je propose différents styles de cuisine, aussi bien familiale que plus simple en semaine et plus travaillée le week-end. Ma cuisine est basée sur le terroir. J’utilise un maximum de produits locaux comme le bœuf charolais, le beurre, la crème et le fromage blanc de Bresse ainsi que différents fromages. Sans oublier la volaille de Bresse produite par Jean-Claude Marquis et Alain Magnin ! En étant installé au cœur de cette région, cela me semble logique de proposer un tel produit. C’est une volaille qui a une texture et une saveur incomparables. Il y a aussi une fermeté qui provient du fait que les volailles sortent des poulaillers et peuvent ainsi courir librement ».
Des volailles assez grosses
Généreux dans sa cuisine, Pascal Touvrey l’est également lorsqu’il cuisine la volaille de Bresse.
« Je souhaite avoir des volailles assez grosses pour que les gens aient de bonnes quantités dans leur assiette. Les touristes sont demandeurs de volaille de Bresse. J’aime bien la présenter simplement rôtie, servie avec son jus. Je la propose aussi à la crème, aux morilles… ».
Quant aux Glorieuses de Bresse et plus particulièrement celle de Louhans, Pascal Touvrey souligne leur importance. « Ces concours - et notamment celui de Louhans - sont une belle occasion de mettre en valeur la volaille de Bresse et le travail des éleveurs. C’est un travail difficile, de titan, que d’élever des volailles de Bresse. Le grand public ne se rend pas forcément compte de tout ce que cela suppose en terme de contraintes pour présenter de tels animaux. C’est une tradition qui est impressionnante et qui permet encore aujourd’hui de mettre en avant les professionnels ».
