MAÏS
Le président de l’Association générale des producteurs de maïs (AGPM), Franck Laborde, a présenté le 30 janvier, à Paris, lors d’une conférence de presse, sa feuille de route pour 2024.
Le président de l’Association générale des producteurs de maïs (AGPM), Franck Laborde, a présenté le 30 janvier, à Paris, lors d’une conférence de presse, sa feuille de route pour 2024.
Pour les filières végétales, les accords de libre-échange avec l’Union européenne pèsent lourd sur le marché intérieur, et donc sur la valorisation des produits français. Les agriculteurs dénoncent la concurrence déloyale.
L’année 2024 sera particulière pour l’interprofession fruits et légumes, entre le développement du plan de souveraineté, l’évolution de la réglementation emballage et l’élection d’un nouveau président à l’automne.
Le gouvernement vient d’annoncer la mise en place d'un dispositif d'aide conjoncturelle et structurelle pour la viticulture. Le ministre de l’Agriculture Marc Fesneau, par voie de communiqué, dit vouloir se rendre dans les plus brefs délais dans l'Hérault pour leur présenter ces mesures.
Selon Agritel et Argus, l’abondante récolte mondiale de maïs plombera les cours de l’ensemble des grains pendant encore de longs mois. Mais sur le marché du blé, le chef d’orchestre reste la Russie.
« Ça partait de bonnes intentions, mais ça ne marche pas, les agriculteurs manquent de conseil », a déclaré Marc Fesneau à l’occasion des Rencontres du biocontrôle d’IBMA (fabricants), à Angers le 17 janvier.
L’AGPB est fermement opposée au plan Écophyto 2030, en particulier à l’indicateur de suivi des produits phytosanitaires, le Nodu. Elle s’inquiète par ailleurs des conséquences des intempéries. Elle appellera prochainement les céréaliers à descendre dans la rue.
Avec l’augmentation des résistances et le retrait progressif des herbicides, la filière céréalière fait face à un défi majeur dans la gestion des graminées, dont elle a fait sa priorité dans le cadre d’Ecophyto 2030.
En s'appuyant sur les données du recensement agricole de 2020, l'organisme de statistiques Agreste a réalisé une étude portant sur le paysage régional des exploitations, en filières céréales et oléoprotéagineux. En Bourgogne-Franche-Comté, l'Yonne, la Côte-d'Or et la Nièvre concentrent une grande partie des surfaces.
Le gaz vert, et notamment celui issu de l'agriculture, intéresse au plus haut point GRDF en Bourgogne-Franche-Comté, alors que de nouveaux sites de méthanisation se profilent.
Dans le cadre de ses prochaines Journées de l'innovation consacrées aux sols fertiles, Arvalis propose une série d'articles abordant plusieurs domaines liés à cette thématique. Aujourd'hui, on aborde le triptyque chimie-biologie-physique dans une optique de gestion durable des sols.
À compter du 15 février, le Lycée de l’horticulture et du paysage de Louhans partagera sa plateforme technique avec Le Lycée d’enseignement agricole privé de Bresse (Louhans). Une belle preuve de solidarité entre établissements de Saône-et-Loire après la débâcle du Lycée de Chamblanc l’année dernière.
Lors de ses dernières Rencontres techniques, organisées à Dijon, Terres Inovia a notamment abordé la question de la prévention des dégâts d’oiseaux à la levée en culture de tournesol et les maladies des pois d’hiver.
Après avoir divisé ses émissions de gaz à effet de serre (GES) par plus de deux en dix ans, la filière de la luzerne cherche à valoriser ses résultats environnementaux exemplaires auprès des filières d’élevage, des coopératives, des pouvoirs publics et des centres de gestion.
Pour les vins bio, la tendance d’achat est à la hausse. Une tendance qui devrait se poursuivre. Pour autant, cette progression ne semble pas assez rapide.
Pour les vins bio, la tendance d’achat est à la hausse. Une tendance qui devrait se poursuivre. Pour autant, cette progression ne semble pas assez rapide.
C'est lors du colloque Ecophyto organisé par la Chambre d'agriculture de Bourgogne-Franche-Comté qu'a été présenté un bilan des actions des groupes Déphy qui permettent à des collectifs d'agriculteurs de réfléchir sur leurs pratiques, en particulier pour réduire le recours aux produits phyto.
Pour son second exercice, la jeune coopérative Avéal a été chahutée de plein fouet par le yoyo du marché mondial des engrais. Résultat, elle présente une perte économique importante qui l’amène à se poser beaucoup de questions.