Espace numérique professionnel de Bourgogne
Démarcher et vendre par internet
L’Espace numérique professionnel (ENP) est un lieu qui reçoit des chefs d’entreprises qui souhaitent s’informer sur les Technologies de l'information et de la communication (TIC). Le 16 février, dans l’antenne de la CCI d’Écuisses, la parole était donné à un professionnel local qui donnait des conseils pour savoir comment « trouver et fidéliser des clients avec le e-marketing ».
Internet, réseaux sociaux, télé-procédures, e-marketing… Autant de termes barbares et pourtant répandus dans notre société moderne. « Nos ateliers de 2 heures, animés par un professionnel, permettent de parler des projets de chacun », expliquait en introduction Michel Caradot de la CCI de Saône-et-Loire. Christophe Juvanon, en charge des TIC à la CCI 71, précisait immédiatement que l’inscription était gratuite, ouverte à tous, y compris agriculteurs et viticulteurs, et les interventions seront prochainement filmées et disponibles sur internet (www.enp-bourgogne.fr).
Pour comprendre comment « trouver et fidéliser mes clients avec le e-marketing », Jean-Samuel Denis se décrivait comme un autodidacte mais ayant "créé sa société avec des processus qui tiennent la route" sur ce thème. Une forme d'encouragement. Autour de lui, à son écoute, un vendeur/loueur de bateaux, un concessionnaire de camping-car, une boulangère, une école informatique, la Camval, un syndicat d’antiquaires… formaient un auditoire curieux de vendre sur internet, de rester à la pointe en informatique ou simplement d'attirer des gens à réserver leurs gâteaux d’anniversaire à l’avance par courriel. Car, les technologies présentées permettent de vendre ou de contribuer à la vente, tout en communiquant des messages à ces clients.
Newsletter = lettre
Autrefois appelée lettres, tout le monde parle désormais de "newsletters" (lettres d’informations en anglais) pour se différencier du réel. Le virtuel internet a en effet la fâcheuse habitude d’employer nombre de termes anglophones. C'est ainsi. Le e-marketing est en fait la déclinaison Web du marketing, lui-même mercatique en français, qui se définit comme l’ensemble des actions commerciales et promotionnelles. Autant dire, que vous aussi avez certainement déjà fait des opérations marketing dans votre entreprise, parfois sans le savoir.
Place donc maintenant à la version virtuelle qui, elle, est moins coûteuse. Elle nécessite néanmoins un ordinateur avec internet au lieu d’une imprimante. « D’un simple clic de souris, on peut envoyer des milliers de mails à des contacts », explique Jean-Samuel Denis. C’est malheureusement un peu plus compliqué que cela. Là, il s’agit en fait d’avoir un outil informatique (logiciel de messagerie ou site internet) et d’avoir dans un fichier des noms et adresses (mail) de clients pour leur envoyer des informations.
Une partie des chefs d’entreprise semblait circonspect sur la technique mais comprenait que c’était de la publicité plus ou moins avouée. Ils comprenaient également l’intérêt pour les consommateurs d’avoir accès 24 heures sur 24 accès à un site d’informations Web après démarchages, permettant de commander des produits. La boulangère confirmait « à Noël, j’ai augmenté de 3 % mes ventes grâce à mon site internet. Les mauvaises conditions climatiques ont empêché les grands-mères de venir à la boutique et je leur ai conseillé de demander à leurs petits-fils de commander sur internet ». Message reçu : se servir des jeunes sur ce thème.
Par contre, lorsque l’animateur abordait les réseaux sociaux, le fossé générationnel se creusait encore un peu plus. Facebook, Twitter, Viadeo… n’inspiraient pas les participants. Ne seraient-ils pas pourtant la déclinaison électronique des réseaux d’amis et de collègues de travail à la sauce Web. Peut-être, mais c’était l’objet d’un autre atelier de la CCI…
Pour comprendre comment « trouver et fidéliser mes clients avec le e-marketing », Jean-Samuel Denis se décrivait comme un autodidacte mais ayant "créé sa société avec des processus qui tiennent la route" sur ce thème. Une forme d'encouragement. Autour de lui, à son écoute, un vendeur/loueur de bateaux, un concessionnaire de camping-car, une boulangère, une école informatique, la Camval, un syndicat d’antiquaires… formaient un auditoire curieux de vendre sur internet, de rester à la pointe en informatique ou simplement d'attirer des gens à réserver leurs gâteaux d’anniversaire à l’avance par courriel. Car, les technologies présentées permettent de vendre ou de contribuer à la vente, tout en communiquant des messages à ces clients.
Newsletter = lettre
Autrefois appelée lettres, tout le monde parle désormais de "newsletters" (lettres d’informations en anglais) pour se différencier du réel. Le virtuel internet a en effet la fâcheuse habitude d’employer nombre de termes anglophones. C'est ainsi. Le e-marketing est en fait la déclinaison Web du marketing, lui-même mercatique en français, qui se définit comme l’ensemble des actions commerciales et promotionnelles. Autant dire, que vous aussi avez certainement déjà fait des opérations marketing dans votre entreprise, parfois sans le savoir.
Place donc maintenant à la version virtuelle qui, elle, est moins coûteuse. Elle nécessite néanmoins un ordinateur avec internet au lieu d’une imprimante. « D’un simple clic de souris, on peut envoyer des milliers de mails à des contacts », explique Jean-Samuel Denis. C’est malheureusement un peu plus compliqué que cela. Là, il s’agit en fait d’avoir un outil informatique (logiciel de messagerie ou site internet) et d’avoir dans un fichier des noms et adresses (mail) de clients pour leur envoyer des informations.
Une partie des chefs d’entreprise semblait circonspect sur la technique mais comprenait que c’était de la publicité plus ou moins avouée. Ils comprenaient également l’intérêt pour les consommateurs d’avoir accès 24 heures sur 24 accès à un site d’informations Web après démarchages, permettant de commander des produits. La boulangère confirmait « à Noël, j’ai augmenté de 3 % mes ventes grâce à mon site internet. Les mauvaises conditions climatiques ont empêché les grands-mères de venir à la boutique et je leur ai conseillé de demander à leurs petits-fils de commander sur internet ». Message reçu : se servir des jeunes sur ce thème.
Par contre, lorsque l’animateur abordait les réseaux sociaux, le fossé générationnel se creusait encore un peu plus. Facebook, Twitter, Viadeo… n’inspiraient pas les participants. Ne seraient-ils pas pourtant la déclinaison électronique des réseaux d’amis et de collègues de travail à la sauce Web. Peut-être, mais c’était l’objet d’un autre atelier de la CCI…