L’aventure au fil de l’eau depuis Digoin
L’aventure peut commencer au port de plaisance de Digoin… ou bien à partir d’une quarantaine d’autres bases, partout en France, en Europe et même au-delà. Cette aventure sera cependant au rythme effréné de… 8 km/h maximum ! Mais le simple fait de poser le pied sur le pont d’un bateau c’est déjà un tout autre univers qui s’ouvre… et qui s’avère accessible même à ceux qui n’ont jamais tenu la barre.

Les Canalous, c’est avant tout une histoire de famille de passionnés. Tout a commencé il y a plusieurs dizaines d'années avec René le grand-père ébéniste, qui fabrique pour lui-même et sa famille son premier bateau en bois. Ce n’est là que le début d’un souhait partagé avec son fils Claude de mêler hébergement et transport, tourisme et insolite. Dès les années 1980, ils créent tous les deux leur réseau de location de bateaux de plaisance fluviale. À partir de 2009, Alfred le petit fils succède à son grand-père. Aujourd’hui, Les Canalous ce sont plus de 300 bateaux en location, répartis dans 43 bases en France, Italie, Grande-Bretagne, Portugal, Belgique, Pays-Bas, Suède, Allemagne, Pologne et même en Russie.
Et ce qui est " plaisant ", c’est que chacun peut se rêver capitaine ! Ces bateaux ne nécessitent en effet qu’une formation théorique et pratique, dispensée juste avant de partir et qui permet d’obtenir un permis provisoire. « Il faut juste intégrer l'inertie de ces bateaux, mais en moins d’une demi heure on s’est approprié la navigation », rassure Alfred Carignant.
Seules exceptions, précise encore l’actuel président : « le Portugal demande le permis fluvial et la Russie exige un permis russe… De ce fait nous louons un skipper avec le bateau ! ».
Un souffle de liberté
Ensuite, une fois le moteur en route et le port dans le dos, " vogue le tarpon, la pénichette ou le triton ". Car là aussi, toute une gamme est proposée « nous voulons vraiment avoir une offre qui s’adresse à tous les groupes et à tous les budgets ». Ainsi la semaine de location commence à 350 € et les plus grands bateaux peuvent accueillir jusqu’à 12 personnes. Différents niveaux de confort sont aussi disponibles permettant de s’adresser à toutes les exigences. Certains bateaux sont accessibles aux personnes handicapées. « Tout budget, toute destination, tout confort, nous proposons une cinquantaine de solutions différentes ! », résume Alfred Carignant. Il existe même des péniches en version électrique.
Points de vue inédits
Se poursuit alors l’aventure au fil de l’eau. « Les attentes des touristes sont vraiment en train d’évoluer : ils aspirent de plus en plus à prendre leur temps, au calme et à la liberté », constate-t-il. Certains canaux sont loin d’être des autoroutes fluviaux et le soir venu (la navigation est autorisée jusqu’à 19 h), on s’arrête où l’on veut puisqu’aucune réglementation n’impose encore quoi que ce soit. Les passagers apprécieront alors de se réunir autour de la table plancha extérieure et de partager quelques boissons fraîches à disposition dans le frigo de pont...
Dans la journée, il y aura eu le charme de passer les écluses, de découvrir des villes et des paysages depuis un point de vue inédit, d’être rafraîchi, même en pleine canicule, par le souffle léger et permanent de la navigation.
Il faut compter une trentaine de kilomètres parcourus par jour. Tout dépend du nombre d’écluses, des visites programmées,… et surtout des envies !
L’aventure au fil de l’eau depuis Digoin

Les Canalous, c’est avant tout une histoire de famille de passionnés. Tout a commencé il y a plusieurs dizaines d'années avec René le grand-père ébéniste, qui fabrique pour lui-même et sa famille son premier bateau en bois. Ce n’est là que le début d’un souhait partagé avec son fils Claude de mêler hébergement et transport, tourisme et insolite. Dès les années 1980, ils créent tous les deux leur réseau de location de bateaux de plaisance fluviale. À partir de 2009, Alfred le petit fils succède à son grand-père. Aujourd’hui, Les Canalous ce sont plus de 300 bateaux en location, répartis dans 43 bases en France, Italie, Grande-Bretagne, Portugal, Belgique, Pays-Bas, Suède, Allemagne, Pologne et même en Russie.
Et ce qui est " plaisant ", c’est que chacun peut se rêver capitaine ! Ces bateaux ne nécessitent en effet qu’une formation théorique et pratique, dispensée juste avant de partir et qui permet d’obtenir un permis provisoire. « Il faut juste intégrer l'inertie de ces bateaux, mais en moins d’une demi heure on s’est approprié la navigation », rassure Alfred Carignant.
Seules exceptions, précise encore l’actuel président : « le Portugal demande le permis fluvial et la Russie exige un permis russe… De ce fait nous louons un skipper avec le bateau ! ».
Un souffle de liberté
Ensuite, une fois le moteur en route et le port dans le dos, " vogue le tarpon, la pénichette ou le triton ". Car là aussi, toute une gamme est proposée « nous voulons vraiment avoir une offre qui s’adresse à tous les groupes et à tous les budgets ». Ainsi la semaine de location commence à 350 € et les plus grands bateaux peuvent accueillir jusqu’à 12 personnes. Différents niveaux de confort sont aussi disponibles permettant de s’adresser à toutes les exigences. Certains bateaux sont accessibles aux personnes handicapées. « Tout budget, toute destination, tout confort, nous proposons une cinquantaine de solutions différentes ! », résume Alfred Carignant. Il existe même des péniches en version électrique.
Points de vue inédits
Se poursuit alors l’aventure au fil de l’eau. « Les attentes des touristes sont vraiment en train d’évoluer : ils aspirent de plus en plus à prendre leur temps, au calme et à la liberté », constate-t-il. Certains canaux sont loin d’être des autoroutes fluviaux et le soir venu (la navigation est autorisée jusqu’à 19 h), on s’arrête où l’on veut puisqu’aucune réglementation n’impose encore quoi que ce soit. Les passagers apprécieront alors de se réunir autour de la table plancha extérieure et de partager quelques boissons fraîches à disposition dans le frigo de pont...
Dans la journée, il y aura eu le charme de passer les écluses, de découvrir des villes et des paysages depuis un point de vue inédit, d’être rafraîchi, même en pleine canicule, par le souffle léger et permanent de la navigation.
Il faut compter une trentaine de kilomètres parcourus par jour. Tout dépend du nombre d’écluses, des visites programmées,… et surtout des envies !