L’initiative qui peut réveiller les campagnes
À l’heure des réseaux sociaux et des plateformes participatives, même la vie rurale s’en trouve bouleversée. Et ceci, dans le bon sens du terme : il est désormais possible pour les uns de faire connaître leurs projets d’intérêt général, et pour les autres de les soutenir. L’initiative s’appelle Bouge ton coq et a pour objectif de réveiller les campagnes !

Si les idées ne manquent pas et les bonnes volontés sont souvent prêtes à agir, c’est la plupart du temps l’aspect financier qui coince. À cela un seul remède : permettre à ces projets de bénéficier "très simplement" des dons des particuliers, des mécénats des entreprises et des aides des collectivités, l’ensemble réuni sur un guichet unique.
En fait, Bouge ton coq permet à ces trois acteurs de verser une contribution à la hauteur de ce qu’ils souhaitent et de voter pour le ou les projet(s) qu’ils veulent voir soutenus.
Ces projets, initiés par tout un chacun, particulier, association, maire rural, etc., visent à soutenir une initiative de développement économique, social, écologique, un projet culturel ou festif. Comme exemple d’initiatives : le soutien à la production de bottes de paille comme matériau d’isolation en région Centre-Val de Loire, la mise en place du recyclage et de la valorisation des déchets verts d’un village de l’Essonne, le développement d’une association proposant activités et lien social aux personnes âgées isolées du Beaujolais, etc.
Les maires porteurs
Il faut signaler que l’association des maires ruraux de France (réseau national de 10.000 maires) est partenaire de Bouge ton coq. Comme en témoigne Jean-François Farenc, le président de l’AMRF 71, « nous sommes désormais dans une société où les gens sont prêts à apporter leur contribution, même modique, à des projets vertueux, et ce dans plusieurs domaines ».
Et encore une fois, si les idées ne manquent pas, entretenant le dynamisme des secteurs ruraux, ces projets pourront ainsi devenir réalité dans des communes où les budgets de fonctionnement ne permettent pas un soutien financier suffisant « Beaucoup de porteurs de projets ont à la fois envie de développer des projets en rural et de s’installer en rural, commente Jean-François Farenc. C’est dans l’air du temps ». Et on peut même espérer que ces nouvelles tendances permettront à certains villages d’échapper à une désertification annoncée.
L’initiative qui peut réveiller les campagnes

Si les idées ne manquent pas et les bonnes volontés sont souvent prêtes à agir, c’est la plupart du temps l’aspect financier qui coince. À cela un seul remède : permettre à ces projets de bénéficier "très simplement" des dons des particuliers, des mécénats des entreprises et des aides des collectivités, l’ensemble réuni sur un guichet unique.
En fait, Bouge ton coq permet à ces trois acteurs de verser une contribution à la hauteur de ce qu’ils souhaitent et de voter pour le ou les projet(s) qu’ils veulent voir soutenus.
Ces projets, initiés par tout un chacun, particulier, association, maire rural, etc., visent à soutenir une initiative de développement économique, social, écologique, un projet culturel ou festif. Comme exemple d’initiatives : le soutien à la production de bottes de paille comme matériau d’isolation en région Centre-Val de Loire, la mise en place du recyclage et de la valorisation des déchets verts d’un village de l’Essonne, le développement d’une association proposant activités et lien social aux personnes âgées isolées du Beaujolais, etc.
Les maires porteurs
Il faut signaler que l’association des maires ruraux de France (réseau national de 10.000 maires) est partenaire de Bouge ton coq. Comme en témoigne Jean-François Farenc, le président de l’AMRF 71, « nous sommes désormais dans une société où les gens sont prêts à apporter leur contribution, même modique, à des projets vertueux, et ce dans plusieurs domaines ».
Et encore une fois, si les idées ne manquent pas, entretenant le dynamisme des secteurs ruraux, ces projets pourront ainsi devenir réalité dans des communes où les budgets de fonctionnement ne permettent pas un soutien financier suffisant « Beaucoup de porteurs de projets ont à la fois envie de développer des projets en rural et de s’installer en rural, commente Jean-François Farenc. C’est dans l’air du temps ». Et on peut même espérer que ces nouvelles tendances permettront à certains villages d’échapper à une désertification annoncée.