Trouble comportementaux inexpliqués
Penser à la géobiologie
Des vaches qui ne veulent pas rentrer dans une salle de traite, des animaux qui ne boivent jamais dans certains abreuvoirs ou qui ne se couchent jamais à certains endroits d’une stabulation,… autant de phénomènes auxquels s’attache la géobiologie.
Difficile à appréhender car pas toujours mesurable, des perturbations « invisibles » peuvent en effet agir sur un troupeau. La géobiologie étudie les différentes influences d’un lieu et de son environnement sur les êtres humains, les animaux et les végétaux.
Quelques explications permettent de mieux comprendre ces phénomènes « de pollutions cachées » :
Pré-requis de géologie
La Terre est active : preuve en est des manifestations « visibles » tels que des éruptions volcaniques, des séismes, une boussole qui indique le Nord, le phénomène des marées,… Il existe 2 champs physiques à longue portée connus et mesurables : les champs électromagnétiques (crées par une charge électrique) et gravitationnel (crées par une masse).
Les champs de torsion
Un 3ème type de champ, les champs de torsion, sont crées par des mouvements de particules ou par une forme. Ils sont de 2 sortes : - Les champs de torsion statiques créés par la forme de l’objet (par exemple menhir, mât, pylône) - Les champs de torsion dynamiques apparaissant en présence de champs électromagnétiques et que l’on appelle aussi le composant de torsion des ondes électromagnétiques. Ces champs sont véhiculés par des lignes des réseaux géomagnétiques (Hartman, curry,..) ainsi que par les failles et les courants d’eau souterrains. A ce jour, on ne sait pas quantifier les champs de torsion puisqu’ils transmettent de l'information sans énergie de transmission ce qui rend difficile leur étude. Il existe des champs de torsion droite ou gauche. Des études montrent l’influence négative des champs de torsion gauche sur les cellules des êtres vivants contrairement aux champs de torsion droit qui sont favorables au vivant. Alexandre Rusanov -géobiologue- explique : « Si un pylône avec son paratonnerre et sa mise à la terre se trouve au croisement des zones de faille (où circule l’eau ou au croisement des veines d’eau), par sa forme géométrique, le pylône crée un fort champ de torsion gauche. A ce champ de torsion s’ajoute un composant de torsion des champs électromagnétiques créé par l’équipement des émetteurs et des récepteurs montés sur le pylône. Par le réseau tellurique, ce champ de torsion gauche se propage dans le sol. Cela perturbe le réseau tellurique, parfois à une distance de plusieurs kilomètres. Cela amplifie considérablement les effets néfastes naturels des zones de failles. Si une maison ou une ferme se trouve sur le passage des champs de torsion gauche dans le sol, elle subit la conséquence de l’impact néfaste sur les animaux et sur les hommes ». La détection de ces champs de torsion peut se faire via notre corps : l’utilisation de baguette ou de pendule permettent simplement d’amplifier un signal subtil de notre corps. Les sourciers ont souvent recours à ce type d’instruments tout comme les géobiologues. On ne peut pas supprimer une faille, un courant d’eau souterrain, un réseau tellurique mais des systèmes existent pour neutraliser ou atténuer l’influence de ces éléments sur les animaux notamment (ex : plaque de silice à poser à des endroits stratégiques nécessitant l’intervention d’un professionnel). Les menhirs ont par exemple été mis en place par nos ancêtres pour corriger les « imperfections vibratoires de l’environnement » en les canalisant.
Des courants vagabonds
Un courant vagabond est un courant qui circule en dehors d’un câble électrique : il se trouve dans les tubulures des stabulations, le béton, le sol,… Dans la nature, ces courants naviguent à travers le sol et viennent amplifier la nuisance des perturbations naturelles. Ces courants suivent en priorité les zones conductrices (passage d’eau, faille, filon de minéraux,…). Ces perturbations peuvent également être neutralisées par des professionnels via des méthodes de ré-information des courants à leur origine (céramique informée, …) ou bien par une protection de la ferme via un ceinturage magnétique.
La terre électrique
Il est essentiel de bien positionner la terre électrique dans un bâtiment d’élevage. En pratique, un mauvais positionnement de la terre électrique peut entrainer de graves troubles comportementaux sur les animaux : les animaux peuvent être incommodés par des courants électriques lorsqu’ils vont boire dans un abreuvoir par exemple ou ressentir des décharges électriques au niveau des tubulures de salle de traite ou des stalles de logettes. Voici quelques règles à respecter, d’après Luc LEROY, géobiologue, pour positionner correctement la terre électrique : - La terre doit être positionnée en zone « géobiologiquement neutre » c’est-à-dire non perturbée (hors eau souterraine, faille, réseaux, courants vagabonds,…). Le recours à un géobiologue peut permettre d’évaluer l’influence de ces zones afin de positionner correctement un bâtiment d’élevage ou de nouvelles installations. Cette pratique a d’ailleurs tendance à se développer pour l’installation de robots de traite notamment. - La terre doit être située à l’extérieur du bâtiment et non sous ou dans un béton. - Le nombre de terre sur un même site doit être limité, l’idéal étant d’en avoir qu’une. - Il faut éviter l’effet sandwich avec une terre de neutre EDF ou une autre terre et la salle de traite par exemple. - Eviter d’implanter la prise de terre dans une zone trop humide ou trop facilement séchante ainsi que sur un sol très peu profond. Les normes électriques en vigueur doivent bien évidemment être respectées lors de l’installation.
L’équipotentialité
Lorsqu’un être vivant touche deux métaux différents à la fois, un électrolyte chimique se crée générant un courant continu de 1 à 500 millivolts. C’est pourquoi, dans des stabulations contenant de nombreuses tubulures métalliques (cornadis, abreuvoirs, logettes, néons,…) et plus encore dans une salle de traite, ces courants peuvent gêner les animaux. Pour résoudre ce problème, une liaison conductrice doit être établie entre tous les éléments métalliques (tuyauterie, charpentes, métalliques, stalles,…). Cette liaison, dite équipotentielle, permet d’éviter que par suite d’un défaut d’isolement, une différence de potentiel n’apparaisse entre les éléments conducteurs. Une tension de contact peut survenir entre le corps de l’animal et un objet métallique (ici un abreuvoir). Un courant traverse alors l’animal et revient au sol par ses pattes. Source : GPSE ( Groupement Permanent de Sécurité Electrique), 2003 La conduite d’un élevage (alimentation, maîtrise sanitaire,…) reste primordiale dans la réussite des performances de production et de santé du troupeau. Cette conduite reste bien évidemment essentielle à prendre en compte pour une approche globale de l’élevage lorsque des problèmes de troupeau sont mis en évidence. Cependant, si des troubles comportementaux sont observés et que tous les autres points de maîtrise sont écartés, des aspects liés à la géobiologie peuvent alors être pris en compte pour expliquer des phénomènes observés sur certains troupeaux à condition d’avoir recours à des spécialistes.
Pré-requis de géologie
La Terre est active : preuve en est des manifestations « visibles » tels que des éruptions volcaniques, des séismes, une boussole qui indique le Nord, le phénomène des marées,… Il existe 2 champs physiques à longue portée connus et mesurables : les champs électromagnétiques (crées par une charge électrique) et gravitationnel (crées par une masse).
Les champs de torsion
Un 3ème type de champ, les champs de torsion, sont crées par des mouvements de particules ou par une forme. Ils sont de 2 sortes : - Les champs de torsion statiques créés par la forme de l’objet (par exemple menhir, mât, pylône) - Les champs de torsion dynamiques apparaissant en présence de champs électromagnétiques et que l’on appelle aussi le composant de torsion des ondes électromagnétiques. Ces champs sont véhiculés par des lignes des réseaux géomagnétiques (Hartman, curry,..) ainsi que par les failles et les courants d’eau souterrains. A ce jour, on ne sait pas quantifier les champs de torsion puisqu’ils transmettent de l'information sans énergie de transmission ce qui rend difficile leur étude. Il existe des champs de torsion droite ou gauche. Des études montrent l’influence négative des champs de torsion gauche sur les cellules des êtres vivants contrairement aux champs de torsion droit qui sont favorables au vivant. Alexandre Rusanov -géobiologue- explique : « Si un pylône avec son paratonnerre et sa mise à la terre se trouve au croisement des zones de faille (où circule l’eau ou au croisement des veines d’eau), par sa forme géométrique, le pylône crée un fort champ de torsion gauche. A ce champ de torsion s’ajoute un composant de torsion des champs électromagnétiques créé par l’équipement des émetteurs et des récepteurs montés sur le pylône. Par le réseau tellurique, ce champ de torsion gauche se propage dans le sol. Cela perturbe le réseau tellurique, parfois à une distance de plusieurs kilomètres. Cela amplifie considérablement les effets néfastes naturels des zones de failles. Si une maison ou une ferme se trouve sur le passage des champs de torsion gauche dans le sol, elle subit la conséquence de l’impact néfaste sur les animaux et sur les hommes ». La détection de ces champs de torsion peut se faire via notre corps : l’utilisation de baguette ou de pendule permettent simplement d’amplifier un signal subtil de notre corps. Les sourciers ont souvent recours à ce type d’instruments tout comme les géobiologues. On ne peut pas supprimer une faille, un courant d’eau souterrain, un réseau tellurique mais des systèmes existent pour neutraliser ou atténuer l’influence de ces éléments sur les animaux notamment (ex : plaque de silice à poser à des endroits stratégiques nécessitant l’intervention d’un professionnel). Les menhirs ont par exemple été mis en place par nos ancêtres pour corriger les « imperfections vibratoires de l’environnement » en les canalisant.
Des courants vagabonds
Un courant vagabond est un courant qui circule en dehors d’un câble électrique : il se trouve dans les tubulures des stabulations, le béton, le sol,… Dans la nature, ces courants naviguent à travers le sol et viennent amplifier la nuisance des perturbations naturelles. Ces courants suivent en priorité les zones conductrices (passage d’eau, faille, filon de minéraux,…). Ces perturbations peuvent également être neutralisées par des professionnels via des méthodes de ré-information des courants à leur origine (céramique informée, …) ou bien par une protection de la ferme via un ceinturage magnétique.
La terre électrique
Il est essentiel de bien positionner la terre électrique dans un bâtiment d’élevage. En pratique, un mauvais positionnement de la terre électrique peut entrainer de graves troubles comportementaux sur les animaux : les animaux peuvent être incommodés par des courants électriques lorsqu’ils vont boire dans un abreuvoir par exemple ou ressentir des décharges électriques au niveau des tubulures de salle de traite ou des stalles de logettes. Voici quelques règles à respecter, d’après Luc LEROY, géobiologue, pour positionner correctement la terre électrique : - La terre doit être positionnée en zone « géobiologiquement neutre » c’est-à-dire non perturbée (hors eau souterraine, faille, réseaux, courants vagabonds,…). Le recours à un géobiologue peut permettre d’évaluer l’influence de ces zones afin de positionner correctement un bâtiment d’élevage ou de nouvelles installations. Cette pratique a d’ailleurs tendance à se développer pour l’installation de robots de traite notamment. - La terre doit être située à l’extérieur du bâtiment et non sous ou dans un béton. - Le nombre de terre sur un même site doit être limité, l’idéal étant d’en avoir qu’une. - Il faut éviter l’effet sandwich avec une terre de neutre EDF ou une autre terre et la salle de traite par exemple. - Eviter d’implanter la prise de terre dans une zone trop humide ou trop facilement séchante ainsi que sur un sol très peu profond. Les normes électriques en vigueur doivent bien évidemment être respectées lors de l’installation.
L’équipotentialité
Lorsqu’un être vivant touche deux métaux différents à la fois, un électrolyte chimique se crée générant un courant continu de 1 à 500 millivolts. C’est pourquoi, dans des stabulations contenant de nombreuses tubulures métalliques (cornadis, abreuvoirs, logettes, néons,…) et plus encore dans une salle de traite, ces courants peuvent gêner les animaux. Pour résoudre ce problème, une liaison conductrice doit être établie entre tous les éléments métalliques (tuyauterie, charpentes, métalliques, stalles,…). Cette liaison, dite équipotentielle, permet d’éviter que par suite d’un défaut d’isolement, une différence de potentiel n’apparaisse entre les éléments conducteurs. Une tension de contact peut survenir entre le corps de l’animal et un objet métallique (ici un abreuvoir). Un courant traverse alors l’animal et revient au sol par ses pattes. Source : GPSE ( Groupement Permanent de Sécurité Electrique), 2003 La conduite d’un élevage (alimentation, maîtrise sanitaire,…) reste primordiale dans la réussite des performances de production et de santé du troupeau. Cette conduite reste bien évidemment essentielle à prendre en compte pour une approche globale de l’élevage lorsque des problèmes de troupeau sont mis en évidence. Cependant, si des troubles comportementaux sont observés et que tous les autres points de maîtrise sont écartés, des aspects liés à la géobiologie peuvent alors être pris en compte pour expliquer des phénomènes observés sur certains troupeaux à condition d’avoir recours à des spécialistes.